Votre dernier film

Kahéna a écrit:

supracrevette a écrit:

J'ai vu le dernier Miyazaki : Ponyo sur la falaise



Trop mimi, j'adore les univers qu'il crée

Je l'ai vu hier, comme ça fait des mois que je l'attends en qualité dvd , j'ai fini par perdre patience et je l'ai vu en screener, on retombe en enfance avec les films de Miyasaki, il est excellent, c'est trop mignon les personnages sont craquants!Mais j'aurais préféré cependant un autre style de dessin ( plus moderne) là ça ressemble aux dessins des années 80.

c'est ce qui fait sa particularité entre autre Kahena!

j'ai pas vraiment aimé, les autres sont, pour moi, d'un cran plus originals et mieux fait que celui ci.

Belial a écrit:

Dragonball Evolution (James Wong, 2009, USA/Hong Kong)

Piccolo, un extra-terrestre qui a failli détruire la terre 2000 ans plus tôt, revient de nouveau en vue d'achever son travail.

Je ne vais pas trop perdre de temps avec une merde pareille. Il n'y a vraiment rien, rien du tout qu'on puisse apprécier là-dedans. Ca n'a absolument rien à voir avec le manga, à part les noms de certains personnages.
L'histoire est ratée, les évènements trop bâclés et les dialogues sont extrêmement pauvres, et les acteurs alors là...
Quant aux effets spéciaux, je suis surpris de voir à quel point ils sont nuls étant donné que le film est sorti cette année. Plein d'autres films sortis cette année et même beaucoup plus tôt dépassent de très, très loin ce qu'on voit ici. Plein de couleurs et de "lumières" qui ne servent en fait qu'à cacher certains défauts des animations qu'on a devant nos yeux, tellement elles sont pauvres.
L'un des points forts du manga est sans doute les combats, on aurait pensé qu'ils pouvaient assurer dans le film sur ce côté mais non...

Ca doit être l'un des pires films que j'ai vu, et pas seulement parce que je suis fan du manga...

0/10

ben dis donc, tu regardes de tout toi!

ce n'est pas une histoire d'amour, mais une histoire sur l'amour!

ce n'est non plus un film pour "filles" ni à regarder en couple le soir de saint valentin! malgré le sourire féérique d'une sublimissime Zooey Deschanel (j'arrive pas à croire que mon cousin l'invite à ses soirées newyorkaises) c'est un film un peu cruel sur les dégats causés lorsqu'on se lance consciemment dans une histoire d'amour pas vraiment unilatérale mais à degrés inégals selon les partenaires et qu'on se laisse emporter par l'instant présent pour se trouver quelque temps après délaissé et victime de son propre aveuglement.

c'est absolument à voir! et la BO est aussi sublime que le film, notemment ce morceau the temper trap *** sweet disposition

Dans 500 Daysof summer il y a cette meme actrice que j'ai vu dernierement ici ( son visage aux yeux globuleux m'énervait):





PHENOMENES 2008* de Shyamalan

Je ne voulais pas voir ce film, mais bon comme j'avais rien d'autre à me mettre sous la dent, j'ai regardé, j'ai trouvé que c'était plutôt débile comme film, mais juste une fois marrant lorsque le héros parle à une plante verte en plastique!à la fin du film on finit par avoir peur du vent, cependant j'ai apprécié le discours écolo du réalisateur:)

4 ou 5/10

SIN NOMBRE 2009 de Cary Fukunaga ( tiens je m'attendais à nom plus spanishisé)

C'est un film qu'on m'a vivement conseillée alors je m'attendais au top du top, mais en fait ça n'est qu'un énième film sur les gang ici les "marras",ça ne donne pas envie d'aller faire du tourisme au Mexique mais ce film si réalise n'est tout de même pas trop mal, on s'attache au pauvre Willy qui a perdu sa petite amie à cause de son chef de gang et à la jeune Sayra ( dont le visage me semble si familier et tunisien), et on est attristé de voir qu'il est impossible de fuire à ces Marras.

06/10

Kahéna a écrit:

mais juste une fois marrant lorsque le héros parle à une plante verte en plastique!

C'est parce que les plantes sont plus aware que les autres species !

Belial a écrit:

Kahéna a écrit:

mais juste une fois marrant lorsque le héros parle à une plante verte en plastique!

C'est parce que les plantes sont plus aware que les autres species !

C'est ce que pense Shyenmalade!)

Michael J fox, je suis sceptique. Le barbu ce n'est pas l'hypnotiseur du scorpion de Jade?

Il me semble que quelqun a posté une critique sur ce film" LES BEAUX GOSSES" mais le mode "recherche messages" ne me donne rien.

La bande annonce m'avait attirée cet été, nous avons des ado qui sont en 3 eme et qui sont obsédés par le sexe et vantards, et pas gâtés par la nature! Le héros du film a une maman horrible, qui ne lui laisse aucune intimité.

Tous ceux qui ont eu une véritable adolescence pourront se reconnaître! Le film manque un peu de dynamique, certains ados ne sont pas bons acteurs ds le film mais pour le reste ça va.

5/10

Belial a écrit:

Je viens de terminer un blog où je regroupe ce que je poste ici et ailleurs :
http://belialmv.blogspot.com/

Excellent travail Belial
Une proposition : tu pourrais mettre un label a chaqu'un des films avec la note que tu lui as attribué. Et si ca te causera aucun problème, des liens de téléchargement aussi, ca va booster la popularité de ton blog

Pour les labels, tu veux dire des labels genre "8/10" "9/10" etc. ? Peut-être, mais les labels déjà présents sont un peu trop nombreux et pas très faciles à distinguer. Je vais essayer de travailler sur un script qui pourrait me permettre de faire ce que j'ai dans la tête.
Pour les liens j'y pense toujours.
En tout cas merci pour l'encouragement et la proposition

Belial a écrit:

Pour les labels, tu veux dire des labels genre "8/10" "9/10" etc. ? Peut-être, mais les labels déjà présents sont un peu trop nombreux et pas très faciles à distinguer. Je vais essayer de travailler sur un script qui pourrait me permettre de faire ce que j'ai dans la tête.
Pour les liens j'y pense toujours.
En tout cas merci pour l'encouragement et la proposition

Tu pourrais mettre ton point de v ue a propos des imdb ratings, parce que y a des films qui ne meritent meme pas des 5 ou des 4 sur dix, moi comme j'ai une confience aveugle dans tes choix cinématographique, je vais envoyer balader ces ratings et te croire toi

Herr Mannelig a écrit:

Tu
pourrais mettre ton point de v ue a propos des imdb ratings, parce que
y a des films qui ne meritent meme pas des 5 ou des 4 sur dix, moi
comme j'ai une confience aveugle dans tes choix cinématographique, je
vais envoyer balader ces ratings et te croire toi

heh merci
Faut juste savoir qu'il ne s'agit que de mon point de vue ni plus ni moins. Les ratings de l'imdb peuvent parfois servir, mais c'est vrai que des fois c'est très loin de ce que je pense.
Tant qu'on parle de ces notes, certains m'ont dit "comment peux-tu donner une meilleure note au film X qu'au film Y ?!!!", en fait c'est, comme je l'ai dit, tout simplement mon avis à propos du film. De plus quand je donne ces notes il ne faut pas les "comparer", si par exemple je donne un 9/10 pour une comédie, et que je donne un 8/10 pour un film plus 'sérieux', ça ne veut pas systématiquement dire que le premier film est meilleur, mais qu'il arrive tout simplement à atteindre son but : faire rire.
Puis d'un autre côté, pour les paresseux qui ne veulent pas tout lire, la note est là pour leur donner une petite idée sur mon appréciation du film !

The Tripper



un petit film sans pretention, avec petit budget, mais tout de meme originial. Le scenario est assez classique, une bande de hippies rejoignent un festival rock qui se tient dans une foret dans un bled perdu au trou du cul des US. Et forcement dans cete foret, il y a un serial killer qui deteste les hippies et qui se deguise en Ronal Reagan pour passer a l'acte. en fait ce film est un pretexte pour passer un message anti-republicain , anti-bush, anti-Reagan .. certains trouveront ce message un peu neu-neu.
Le film commence par une citation de Reagan (qui fera bander Manchou) : "A hippie is someone who looks like Tarzan, walks like Jane, and smells like Cheetah"

Sinon le film vous fera plus rire que peur !!

Le resalisateur est David Arquette

quelle note tu lui donnes?

Zapp a écrit:

quelle note tu lui donnes?

Les notes sont tres subjectives et varient d'un user a un autre ... Par exemple un 9/10 est une notre tres tres rare que je ne donnerai qu'a qqes pur chef d'oeuvres ... pourtant sur ce forum cette note est souvent utilisee et je ne suis pas d'accord avec ce genre de notes tres cool.

C'est pour ca que je prefere ne jamais mettre de notes au risque de fausser la comprehension ...

behi sama7ni

The Limits of Control (Jim Jarmusch, 2009, USA/Espagne/Japon)


Un homme solitaire se dirige en Espagne en vu de mener un travail criminel. Il reçoit les instructions au fur et à mesure à travers des personnes différentes.

Ceci est une sorte de voyage à l'intérieur d'un esprit pas très conventionnel. Un inconnu qui rencontre des inconnus. Un homme silencieux qui ne fait rien d'autre à part observer et écouter les monologues des autres. Quelqu'un de si strict et droit qu'il refuse le sexe pour une simple raison : "Never while I'm working.", alors qu'il n'est visiblement en train de ne rien faire de spécial. Il boit toujours deux espressos dans deux tasses différentes, il est tout le temps seul, il ne parle que très rarement, seulement là où c'est nécessaire.

Les rencontres qu'il fait sont tout aussi bizarres. Elles commencent toutes par la même question : "Do you speak spanish?", toujours la même réponse, "No.". Ses interlocuteurs s'engagent tout de suite dans des discussions diverses, sans qu'il ne le leur demande et sans qu'il ne les stoppe non plus, à propos de choses différentes. Chacun d'eux s'intéresse à quelque chose en particulier, souvent en rapport très étroit avec l'art.

C'est un film rempli de symboles et de métaphores en tout genre. Chacun des personnages représente quelque chose, chacune des actions qui se répètent encore et encore veut dire quelque chose, et là où on se tuerait pour savoir comment le personnage a pu faire ce qu'il a fait à un certain moment dans le film, il se contente de dire "I used my imagination.", l'imagination qui triomphe sur les choses palpables ! Une invitation à tous les spectateurs pour faire de même s'ils veulent saisir le "message" du film...

8/10

Ink (Jamin Winans, 2009, USA)


À la tombée de la nuit, deux forces opposées font leur apparition auprès des gens endormis, chacune d'elles a une tâche bien déterminée : instaurer une sorte d'équilibre à travers les rêves ou les cauchemars qu'ils procurent aux personnes qu'elles visitent...

Ca ne m'arrive pas tout le temps de m'intéresser à un film seulement à cause de son affiche. Pourtant elle n'a rien de vraiment spécial, mais ces sortes de silhouettes aux regards lumineux m'ont intrigué. Quelque chose de mystérieux se cacherait derrière cette noirceur, et je voulais donc en savoir plus.

Au début on est confu, on ne comprend pas grand chose à ce qui se passe. On voit le "bien" et le "mal" en train d'agir sur les endormis, puis quelque chose d'inattendu arrive : un clash entre les deux. Un petit combat à la Matrix prend place (avec quelques excellentes idées en ce qui concerne l'interaction avec le décor), et c'est le "mal", interprêté ici par un incube nommé Ink, qui en sort vainqueur. Il kidnappe l'esprit d'une petite fille qui, dans son sommeil, assiste à tout ceci sans rien comprendre, tout comme le spectateur...
Le film ressemble à un rêve en fait, avec toutes ces couleurs, ces contrastes et lumières spéciales, ces personnages bizarres et leurs capacités surhumaines...

En somme, ça n'a pas dépassé mes attentes. C'est quand même très bien foutu pour un film indépendant, et je vois bien son idée plus exploitée au futur (un remake verra probablement le jour dans quelques années), mais son plus gros problème réside dans le fait que l'histoire qu'on nous présente suit un schéma très classique de "bien contre le mal"...

7.5/10

Borat (Larry Charles, 2006, USA)


Borat est un reporter Kazakh qui décide d'aller aux USA en vue d'apprendre de ce pays, et de trouver des solutions aux nombreux problèmes du Kazakhstan...

Sacha Baron Cohen est un génie de la comédie ! Ali G in da House était bon, avec un humour crade que j'aime beaucoup, mais il n'avait finalement pas grand chose de spécial. Là c'est très différent...

Dès le tout début les fous rires commencent ! Borat nous présente son village avec tous ses habitants très... particuliers. Il embrasse passionément une fille avant de nous la présenter en tant que sa soeur, "Number 4 prostitute in all of Kazakhstan", ou encore son voisin qui occupe le titre de "rapist" du village. Puis, départ vers les "US and A" comme il l'appelle...

C'est là qu'on se rend compte de l'audacité de cet acteur. Mis à part les quelques personnes impliquées, personne n'est au courant qu'il s'agit en fait d'un faux documentaire. Au début j'étais très surpris par le "jeu" des acteurs, je me disais que c'était tout bonnement impossible que des acteurs 'inconnus' soient aussi bons, aussi naturels, mais en fin de compte ils ne 'jouaient' pas. Ils pensaient que ce dénommé Borat était vraiment un Kazakh venu en apprendre le plus possible sur les habitudes du pays, et ils n'étaient tout simplement pas des acteurs...

Les opportunités que ça présente sont vastes. Borat s'exprime mal en anglais, et les traditions de son pays, où plutôt ce qu'il fait croire aux américains, sont très bizarres... il se masturbe en pleine rue sur la vitrine d'un magazin de sous-vêtements, il pense que l'ascenseur est sa chambre d'hôtel, et à la vue de Pamela Anderson, il n'a plus qu'une seule idée en tête : "I will go to Pamela and she will grant me entry to her vagin.".

Ce film est rempli de répliques légendaires :
"The only thing keeping me going was my dream of one day holding Pamela in my arms and making romance explosion on her stomach. "
"My moustache still tastes of your testes!"
"I like to make sexy time!"
"I arrived in America's airport with clothings, US dollars, and a jar of gypsy tears to protect me from AIDS."
"Her vagin hang like sleeve of wizard's robe."
"Although Kazakhstan a glorious country, it have a problem, too: economic, social, and Jew."

Et surtout la meilleure scène de toutes, celle de la bagarre dans l'hôtel...

Si vous aimez l'humour très gras et osé, les situations débiles où il faut improviser pour ridiculiser au plus les autres, Borat est à ne pas rater. L'une des meilleures comédies de ces dernières années !

9.5/10

MILLENIUM, le film 2009 de Niels Arden Oplev



Comme j'avais offert à ma grand mère la trilogie Millenium de Stieg Larsson, j'ai été curieuse de voir son adaptation sur grand écran!

L'histoire parle d'un journaliste d'investigation très connu Mikael Bloomkist qui est accusé d'avoir diffamé un grand industriel, ses preuves ayant disparu il a été condamné à de la prison et à une amende considérable. Mais voilà qu'un autre homme d'affaires Erik Vanger, l'invite ( en le payant gracieusement) à venir dans son domaine pour élucider le meurtre de sa nièce disparue depuis 40 ans. Un second personnage très important va apparaitre, celui d'une hackeuse Lisbeth au look grunge dont le passé psychologique est assez trouble, cette derniere va apporter une très grande aide à Mikael.

Ce film est un très bon thriller les acteurs sont très bons , ce film rappelle un peu Seven, il faut vraiment le voir ne serait ce pour le personnage de Lisbeth qui est fascinant!

8/10

j'ai bien aimé ce film ! je ne savais pas que c'était une adaptation d'un livre.

Zapp a écrit:

j'ai bien aimé ce film ! je ne savais pas que c'était une adaptation d'un livre.

Un livre (enfin une trilogie si je ne me trompe pas) qui coûterait dans les 110 DT
En tout cas ça a l'air intéressant.

London River (Rachid Bouchareb, 2009, UK/Algérie/France)


Londres, le 7 Juillet 2005, des attaques terroristes prennent place. Des bus ont explosé, et les morts se comptent par dizaines. Au milieu de tout ce chaos, une mère anglaise cherche désespérément sa fille, et un homme africain fait de même pour son fils.

Elisabeth est une mère chrétienne assez attachée à sa religion. Un jour elle entend parler des attaques terroristes qui ont eu lieu à Londres, et commence à s'inquiéter quant au sort de sa fille. Elle l'appelle, sans aucune réponse. Elle l'appelle encore et encore, toujours rien. Elle décide d'aller à Londres pour la chercher elle-même.
Parallèlement, un homme musulman nommé Ousmane cherche son fils. Il n'a aucune idée sur où il peut être, ses amis, ses fréquentations. Il travaille en France, et sa femme est en Afrique. Morte d'inquiétude, elle demande à son mari d'aller chercher leur fils.
Ousmane et Elisabeth vont inévitablement se rencontrer ne effectuant leurs recherches. Elisabeth, en apprenant plus au sujet de sa fille et de ses fréquentations, craint le pire, et commence à se poser sur des questions à propos d'Ousmane. Ce dernier aussi n'est pas très optimiste, mais tous les deux continuent leurs recherches...

Ce film présente une sorte de clash entre deux croyances différentes, deux cultures différentes. Les préjugés que porte l'un sur l'autre prennent une part importante, d'où, à mons avis, le nom du film. Une rivière 'coupe' généralement une partie de terre en deux, et pour traverser d'une rive à une autre il faut un moyen qui relie les deux rives. Ce moyen est les attaques qui ont eu lieu à Londres, et qui ont servi à deux croyants de religions différentes de s'approcher.

Le réalisateur veut nous montrer que la différence existe entre "terroriste" et "musulman modéré", et que ces actes terroristes ignobles affectent tout le monde sans exception.
Mais London River reste avant tout un drame de très bonne qualité, et on se sent très facilement touché et impliqué dans l'histoire, qui est très touchante...

9/10

Brüno (Larry Charles, 2009, USA)


Brüno est un gay autrichien très impliqué dans le monde de la "fashion". Après plusieurs échecs en Europe, il part aux USA en vue de devenir "the biggest Austrian celebrity since Hitler".

Suivant le même chemin que Borat, Sacha Baron Cohen frappe encore fort. On a quasiment la même formule ici, un faux documentaire où seules quelques personnes sont vraiment impliquées, et à travers lequel il n'hésite pas à pousser les gens à bout et à les ridiculiser d'une façon directe. La scène où il demande à des parents ce qu'ils sont prêts à faire avec leurs bébés afin de gagner un peu d'argent en témoigne suffisament.

L'effet de la surprise chez le spectateur n'est donc plus le même, il fallait alors trouver d'autres moyens pour maintenir le même niveau. Nous voilà donc en train d'assister à Brüno, habillé de façon extrêmement provoquante, en train de marcher dans les rues du moyen orient, au milieu de toutes sortes de religieux juifs qui se mettent aussitôt à lui courir après. Il va encore loin en invitant des personnalités Israéliennes et Palestiniennes en vue de... trouver une solution au conflit !

Avant de finir, je me dois de mentionner la fameuse scène du "pénis qui parle". Elle est totalement inattendue et hilarante, et les réactions qui s'ensuivent sont tout simplement énormes !

8.5/10

moch barcha 3lik brüno et borat dans la même semaine? :p

en tout cas, je suis sûr qu'on aura le droit prochaienement à un Brüno VS Borat à la alien VS predator, Jason VS Freddy etc