Crise financière mondiale

Je serais d'accord avec vous si réellement il y avait un problème de disponibilité d'argent.

Les peurs vont passer, et les disponibilités vont revenir.

L'argent qui ne bouge pas, c'est de l'argent qui se consume. Les fonds sont déjà restés trop longtemps sont être placés, après la crise ça va repartir comme si rien ne s'est passé.



Sans activité économique la matière première ne vaut rien, les devises ne valent rien. Donc la Baisse de placement d’activité peut provoquer une basse des coûts des matières premières ce qui impacte positivement les dividendes des entreprises et qui rend le marché de l’action plus attractif, jusqu’à ce que les placements financiers reviennent vers ce secteur.

vos arguments ne tiennent qui si réellement il y avait un problème de liquidité.

hors encore une fois, même avec 4 000 milliards de moins il rien encore de l'argent sur la planète.

De vous a moi, celui qui a aujourd'hui 50 milliards à mettre dans la bourse de paris fera plus que tripler son capital en 2 ans, car à lui seul il aura les moyens de faire monter la bourse. Et de vous à moi toujours, ils sont nombreux ceux qui peuvent le faire.

Le problème n'est pas la disponibilité l'argent, c'est la confiance. Et si on a pas confiance, on sait pas où mettre l'argent.

la confiance n'est pas là maintenant par ce que c'est la panique, lorsqu'ils font reprendre leurs espris ça ira mieux.

Il faut pas inverser le problème, la panique est la résultante du manque de confiance, qui lui même est causé par l'incertitude sur l'ampleur des dégâts chez les différentes institutions.

Si c'était une simple questions de temps, les dirigeants des Etats ne seraient pas en train de se décarcasser à droite et à gauche pour trouver des solutions qui rétablissent la confiance, et laisseraient les marchés se débrouiller tous seuls.

C'est ce que je me disais aussi qu'il n'y avait pas que du mauvais dans cette crise voilà un bel article de Bechir Ben Yahmed. Jeune Afrique

mardi 14 octobre 2008 Economie

Spoiler:

la journé s'annance mal sur la bourse de tunis...

J'adore cet article de Stéphane Guillon sur la crise financière

Je suis un FAN de Guillon c'est incontestablement le numero 1 de l'humour noir !

Vous savez qui est en train de profiter de la crise pour faire de la propagande ?

Les islamistes 5wenejeyyas, c'est fou ! plein d'islamistes en herme sont en train de precher les bienfaits de la banque islamique en ventant la gestion saine .. Alors que toutes les banques islamisques dans le monde , ne sont que des banques normales deguisees en islamiques .. Bref de plsu tous les pays arabes du golf ayant recours a ce systeme hypocrite subissent de plein fouet la crise .. comme lesautres pays occidentaux !

Top10 des mensonges sur la crise actuelle :
01 - mahmoud l'antisémite dit que la crise est là parce que ce sont des koffars qui l'ont créée
02 - la crise économique ne touche pas la Tunisie
03 - les banques islamiques auraient sauvé la finance
04 - la crise est un complot sioniste
05 - la crise est une punition divine des koffars américains
06 - la date de la crise était inscrite dans le coran
07 - la crise est la faute de sarkozy
08 - il n'y a pas de crise en corée du nord et cuba
09 - tout vas bien
10 - on va s'en sortir

Dr Denfer a écrit:

Vous savez qui est en train de profiter de la crise pour faire de la propagande ?

Les islamistes 5wenejeyyas, c'est fou ! plein d'islamistes en herme sont en train de precher les bienfaits de la banque islamique en ventant la gestion saine .. Alors que toutes les banques islamisques dans le monde , ne sont que des banques normales deguisees en islamiques .. Bref de plsu tous les pays arabes du golf ayant recours a ce systeme hypocrite subissent de plein fouet la crise .. comme lesautres pays occidentaux !

les communistes aussi en profitent (ou du moins ils essayent)

Bernard madoff .... ou le plus gros escroc en col blanc

Il vient de pomper des milliards juste en appliquant le principe de l'escroqueries la plus ancienne du monde ... la pyramide !

Citation :

Scandale Madoff : BNP Paribas annonce une possible perte de 350 millions d'euros
Par LeMonde.fr
lun 15 déc, 5h56 Envoyer par mail Envoyer via Y! Messenger Blog via Yahoo! 360 Imprimer

Deux mois après avoir pâti des effets de la faillite de la banque d'affaires américaine Lehman Brothers, les gestionnaires de fortunes en Europe se remettent à trembler face à la fraude gigantesque du gérant de fonds new-yorkais Bernard Madoff. Selon de premiers décomptes non officiels, les "banques privées", européennes spécialistes en gestion de fortunes et les investisseurs spécialisés dans les placements à risque de type "hedge funds" seraient exposés à hauteur de plusieurs milliards de dollars.

La société d'investissements du célèbre courtier de Wall Street, qui a avoué une fraude "pyramidale" de 50 milliards de dollars, attirait "l'aristocratie financière mondiale", soulignait dimanche le journal espagnol El Pais. Parmi les clients de la Bernard L. Madoff Investment Securities LLC, on trouve les grandes banques internationales, les plus discrètes "banques privées" et les confidentiels "family offices", sociétés chargées de gérer le patrimoine d'une seule riche famille.

En France, d'ores et déjà, la banque BNP Paribas a indiqué, dimanche soir, qu'elle pourrait perdre 350 millions d'euros. La banque souligne qu'elle n'a pas investi directement dans les fonds spéculatifs du gérant, mais qu'elle est exposée via "ses activités de marchés" et les prêts qu'elle a accordés à certains fonds qui ont en revanche investi dans les hedge funds de Madoff. "Si la valeur des actifs de ces derniers était totalement anéantie, la perte de BNP Paribas pourrait s'élever à 350 millions d'euros", affirme la banque.

En Espagne, la première banque, Santander, a annoncé dimanche que les clients de son fonds spéculatif Optimal Strategic étaient exposés à hauteur de 2,33 milliards d'euros à la fraude Madoff. Santander, deuxième banque européenne par la capitalisation, a ajouté qu'elle avait investi 17 millions d'euros pour son propre compte dans des produits de Madoff. Selon L'Expansion, les investisseurs de M&B Advisers Gestion (M&B Capital Advisers) sont également concernés.

En suisse, les banquiers, traditionnels spécialistes de la gestion de fortune, pourraient perdre, eux, jusqu'à cinq milliards de dollars, selon le journal helvétique Le Temps.

lui c'est un boss, et s'il n'y avait pas eu la crise financière, il aurait pu continuer son manège trankilou.
un seul mot : BRAVO !

El_Manchou a écrit:

lui c'est un boss, et s'il n'y avait pas eu la crise financière, il aurait pu continuer son manège trankilou.
un seul mot : BRAVO !

Tu admire les crapules et les escrocs ?

Decidement c'est culturel ... les escrocs et les gangsters sont toujours respectes !

KIM a écrit:

El_Manchou a écrit:

lui c'est un boss, et s'il n'y avait pas eu la crise financière, il aurait pu continuer son manège trankilou.
un seul mot : BRAVO !

Tu admire les crapules et les escrocs ?

Decidement c'est culturel ... les escrocs et les gangsters sont toujours respectes !

50 milliards, 10 Kerviel, le tout sur fond de système pyramidal bête et méchant !

Voici une carte mondiale decrivant le solde bugetaire des pays du G20 ... La Russie et l'arabir Saoudite s'en sortent tres bien !

http://www.lemonde.fr/economie/infographie/2008/11/25/des-etats-inegaux-face-au-ralentissement-mondial_1122650_3234.html

L'équipementier canadien en télécommunications Nortel se déclare en faillite

Citation :

LE MONDE | 15.01.09 | 17h06 • Mis à jour le 15.01.09 | 18h30

Nortel, qui fut un temps le leader mondial des équipements de télécommunications et la plus grosse firme canadienne, s'est déclaré en faillite, mercredi 14 janvier. Le groupe, basé à Toronto, a demandé la protection des lois américaine et canadienne sur les faillites. Incapable de rembourser ses dettes, il a obtenu l'aide de la justice pour faire face à ses créanciers et tenter une ultime restructuration. Pionnier dans la fibre optique, Nortel a pris à temps le virage Internet au point qu'à la fin des années 1990, la moitié du trafic mondial de données transitait via des équipements que la société avait mis en place.

Sa lente agonie a débuté avec l'éclatement de la bulle technologique au tournant des années 2000. "Durant la période euphorique, Nortel achetait tout ce qui bougeait sans compter", se souvient René Vézina, analyste financier au journal canadien Les Affaires. Quand la bulle a éclaté, le groupe, endetté, s'est retrouvé dans l'obligation de vendre des actifs à prix bradés. "La vague de restructuration n'a plus jamais cessé. En huit ans, le nombre de salariés est passé de 100 000 à 25 000 dans le monde". Par ailleurs, des accusations d'irrégularités dans les livres de comptes ont entaché sa réputation. La confiance s'est effritée et les commandes se sont reportées, notamment, sur Alcatel-Lucent et Cisco.
Nortel a aussi connu une impressionnante valse de PDG - quatre dirigeants en cinq ans. Quant à la vente de l'activité de téléphonie mobile UMTS à Alcatel en 2006, elle l'a encore fragilisé.

LE COUP DE GRÂCE
L'actuelle crise a donné le coup de grâce. Les clients ont gelé leurs investissements, tandis que les filiales mises en vente, comme la division Metro Ethernet, en septembre 2008, n'ont pas trouvé preneur, privant Nortel de liquidités. En moins d'un an, l'action a été réduite à néant. Elle cotait 123 dollars canadiens en 2001, seulement 12 cents, mercredi 14 janvier, à la clôture de la Bourse de Toronto.
La société, qui a affiché un chiffre d'affaires de 7,7 milliards de
dollars (5,8 milliards d'euros) sur les neuf premiers mois de 2008, accuse une perte de 3,7 milliards de dollars sur cette période, dont 3,4 sur le seul troisième trimestre.Le plan de restructuration, sur lequel la direction doit plancher, pourrait comprendre le démantèlement du groupe. "La majorité des départements sera probablement vendue en pièces détachées au rabais", prévoit M. Vézina. Les finances ne devraient pas permettre à Nortel de poursuivre ses recherches, et il sera difficile de préserver la division chargée du développement de la 4G, la quatrième génération de téléphonie mobile. En France, Nortel emploie 860 personnes réparties principalement entre le centre mondial des solutions GSM et UMTS à Châteaufort (Yvelines), et le centre européen du service clients à Valbonne (Alpes-Maritimes). Intérim (avec Laurence Girard)

Un beau concentré des démesures économiques de ces dernières années, avec euphories et dépressions, expansionnisme et récession, toute puissance et faillite.

Plus de 70 000 licenciements annoncés en un jour dans le monde. Les plans sociaux annoncés hier lundi 26 janvier 2009 concernent plus de 70 000 suppressions de postes dans le monde. Les américains Pfizer et Caterpillar ainsi que les européens Philips et ING ont fait part des mesures "d'allégement" les plus importantes.

Citation :

Lundi 26 janvier 2009
Reuters - De grandes entreprises européennes et américaines ont annoncé lundi leur intention de supprimer plus de 70.000 emplois en
réaction à la crise économique. Les plans sociaux les plus impressionnants ont été dévoilés par les groupes américains Pfizer et
Caterpillar, mais les européens ING et Philips s'apprêtent eux aussi à
des réductions d'effectifs massives.

Parmi les principales décisions annoncées lundi :

- Le groupe pharmaceutique Pfizer, qui a confirmé le rachat de son compatriote Wyeth, prévoit de réduire de 15% les effectifs combinés des deux entreprises, soit 130.000 personnes environ, ce qui implique 19.500 suppressions de postes.

- Caterpillar, le géant américain des engins de terrassement et de travaux, s'apprête à licencier 17.000 personnes et à offrir un plan de départs volontaires à 2.500 autres;

- L'opérateur de télécommunications Sprint Nextel prévoit de supprimer 8.000 postes, ce qui représente une réduction de 14% de ses effectifs.

- Home Depot, le numéro un mondial des magasins de bricolage et d'aménagement intérieur, a l'intention de supprimer 7.000 emplois, soit 2% de ses effectifs, après la fermeture annoncée de son enseigne de décoration Expo.

- Le bancassureur néerlandais ING veut réduire ses effectifs de7.000 personnes pour économiser un milliard d'euros.

- Le conglomérat industriel Philips, lui aussi néerlandais, entend supprimer 6.000 postes après l'annonce de sa première perte
trimestrielle depuis 2003.

- Corus, numéro deux européen de la sidérurgie et filiale de l'indien Tata Steel, va supprimer 3.500 postes dans le monde, soit 8% de ses effectifs.

La crise est un bon argument pour ceux qui avaient déjà planifié de dégraisser le mammouth.
On peut licencier sans trop de tracas vu que "la crise l'impose".

OverDrive a écrit:

La crise est un bon argument pour ceux qui avaient déjà planifié de dégraisser le mammouth.
On peut licencier sans trop de tracas vu que "la crise l'impose".

Hélas oui, une véritable aubaine pour tous ceux qui avaient un plan de ré organisation en attente !

OverDrive a écrit:

La crise est un bon argument pour ceux qui avaient déjà planifié de dégraisser le mammouth.
On peut licencier sans trop de tracas vu que "la crise l'impose".

fi 5edmti on fait des benefices ... amma el idara talbet bech tnatter 2500 !! c'est incroyable

Igor a écrit:

OverDrive a écrit:

La crise est un bon argument pour ceux qui avaient déjà planifié de dégraisser le mammouth.
On peut licencier sans trop de tracas vu que "la crise l'impose".

fi 5edmti on fait des benefices ... amma el idara talbet bech tnatter 2500 !! c'est incroyable

j'ai vu encore mieux : la boite va bien, fait un plan de départ et vire 250 personnes et pendant ce temps-là : surprise, la boite organise un salon de recrutement !!!

Le nombre de chômeurs dans le monde pourrait augmenter de 51 millions. Celui des travailleurs précaires de 200 millions. De quoi alimenter encore plus les déséquilibres sociaux ...

Citation :

LEMONDE.FR avec AFP | 28.01.09 | 13h33 • Mis à jour le 28.01.09 | 13h50

La crise économique mondiale pourrait mettre jusqu'à 51 millions de personnes au chômage "si la situation continue de se détériorer", a averti, mercredi 28 janvier, le Bureau international du travail (BIT) dans son rapport sur l'emploi en 2009.

"Par rapport à 2007, le nombre de chômeurs pourrait augmenter de 18 à 30 millions à travers le monde, et même de 51 millions si la situation continue de se détériorer", affirme le BIT. Selon ce dernier scénario, le plus défavorable, le nombre de chômeurs dans le monde atteindrait 230 millions, contre 190 millions en 2008 et 179 millions en 2007. Soit une augmentation d'environ 28 % entre 2007 et 2009.

Le rapport indique également que "plus de 200 millions de personnes, la plupart dans les économies en développement, pourraient venir grossir les rangs des travailleurs extrêmement pauvres" si ce "scénario du pire" se concrétisait. Le BIT se veut "réaliste, non alarmiste". Il considère que la crise économique "a élevé le niveau d'inquiétude" au sujet des répercussions sociales de la mondialisation.

"L'agitation sociale est déjà là", a remarqué Juan Somavia, directeur général du BIT, qui a appelé les gouvernements à "ne pas oublier les gens" dans leurs plans de relance économique. Selon M. Somavia, les pays du G20, qui se réuniront le 2 avril prochain, à Londres, doivent s'accorder, "outre les mesures financières, sur des mesures urgentes à prendre pour promouvoir l'investissement productif, les objectifs de travail décent et de protection sociale".