[FRANCE] Cette présidence me fait penser aux Romains de la décadence

[quote="Igor"]

Citation :

Fillon annonce à tort la mort d'un policier

En meeting hier soir à Paris, le Premier ministre, lancé dans une tirade sur le thème de la sécurité, a dit que l'un des policiers caillassés à Epernay était mort. Alors qu'il est sorti du coma.



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Le petit Nicolas des quartiers
Il n'habite pas la cité, se fiche de Zidane et n'a pas l'accent local. Mais Anatole Poisson a trouvé sa place dans cet établissement réputé difficile de Marseille

En cette rentrée 2008, JeanRoger Ribaud, le principal du collège Henri-Barnier, affiche une mine circonspecte. Inscrire le petit Anatole Poisson en sixième dans son établissement lui pose question : «Je ne vous cache pas que ce ne sera pas simple pour lui», lâche-t-il à sa mère.
Dans ce collège ZEP des quartiers Nord de Marseille, l'immense majorité des élèves est issue des cités HLM de la Bricarde et de la Castellane, 80% sont boursiers. Au milieu, Anatole Poisson est un drôle de phénomène : il n'a pas un brin d'accent, n'habite pas la cité, se fiche bien du football, et même de Zidane, le héros élevé ici. Mais surtout, il n'est d'origine ni maghrébine, ni comorienne, ni gitane, ni même tchétchène, comme la quasitotalité de ses camarades. Il s'appelle Poisson comme un poisson, il est né à Paris et il a la peau toute blanche. Au collège, il est « le payot ». Un surnom, presque une insulte made in Marseille que donnent les minots de la cité pour désigner les Blancs.
Après discussion, c'est finalement entendu, Anatole sera scolarisé ici. Mais avec quelques aménagements. Il sera dans la même classe que son copain de primaire Alexandre, et bénéficiera d'une vigilance particulière dans les couloirs et la cour. Le principal conseille aussi au futur collégien de prendre l'option «bilangue, anglais-arabe », histoire de lui inculquer certains des codes de ses futurs camarades.
Mais le jour de la rentrée, Alexandre n'est pas là, sa famille a quitté Marseille sans prévenir. Anatole se retrouve seul dans la cour. Deux billes noisette et une bouille d'enfant sage perdues au milieu de 700 gosses élevés ensemble entre la cité et Grand Littoral, l'immense centre commercial qui domine les quartiers Nord. Un Petit Nicolas débarqué dans les quartiers.


Anatole n'est pas un fils de bourgeois mais chez lui on lit « Télérama » et on regarde les films en VO. Le père est resté à Paris. La mère et le fils se sont installés il y a trois ans à Saint-André, un noyau villageois coincé entre l'Estaque de Guédiguian et la cité de la Castellane.

Langage châtié
Il a fait sa primaire à l'école du quartier, a sauté son CM1. Quand s'est posée la question de la sixième, tous les parents s'étaient déjà passé le mot : pas question d'aller à Barnier ! Le collège traîne depuis toujours une mauvaise réputation : la cité d'en face effraie. Les résultats aux évaluations à l'entrée en sixième sont catastrophiques. 5% décrocheront un bac S ...
Mais Geneviève Houssaye, la mère d'Anatole, n'est pas du genre à s'en laisser conter. Cette femme énergique de 54 ans, déléguée de parents d'élèves, croit en l'école de la République et à la mixité sociale. La primaire de son fils dépend de Barnier, pourquoi n'irait-il pas là-bas ?
Au collège, lorsqu'on le titille, qu'on se moque de son accent de parigot, ou qu'on l'accuse à tort, Anatole esquive ou répond par des pirouettes. « La prochaine fois qu'ils m'appellent «le payot», je les traiterai de racistes. Ca va leur faire bizarre ! », lance-t-il du haut de ses 11 ans et demi, sans se décontenancer. Il prend même un certain plaisir à imposer sa singularité, quitte à en faire des tonnes. Quand il cite un mot en anglais ou en arabe, il met l'accent. Il lève souvent le doigt. Et ne se départit jamais d'un langage châtié et excessivement précis. C'est sa façon à lui de se faire respecter. «Anatole, il est trop intelligent ! Par exemple, il ne dit pas «il gèle» mais «il y a du givre» », remarque Karim, un élève de sa classe.


Violence contenue
Quand sonne l'heure de la récré, tous les élèves se dirigent dans la cour. Pas Anatole. Il préfère le centre de documentation. Au calme, il compulse des livres sur les animaux, sa passion, fait des recherches sur le faucon pèlerin, « le plus rapide du monde en piqué», ou rêve qu'il rencontre Tim Burton, son cinéaste préféré.
Ces dernières années, l'ambiance à Barnier s'est plutôt pacifiée - les incivilités ont régressé, les conseils de discipline aussi -, mais la violence reste contenue, tapie dans les coins de la cour. Retranché là-haut, Anatole évite les tensions. Il ne voit pas Moussa (1), cet élève de cinquième qui a sauté sur sa prof de français à cause d'une punition mal digérée. Il fait abstraction de ces surveillants tous équipés de talkies-walkies. Officiellement pour s'appeler d'un étage à l'autre. Mais aussi pour demander du renfort en cas d'attroupement imprévu. Dans sa bulle, Anatole Poisson n'est finalement pas si mal. D'ailleurs, il a toujours refusé de changer d'établissement. «Je n'aimerais pas être dans un collège surprotégé. Ici, au moins, j 'apprends à gérer et à désamorcer les conflits», justifie-t-il avec cet étonnant mélange de candeur et d'hypermaturité. « Parce que la vie des grands, elle est tout aussi féroce, non ? »
(1)Le prénom a été changé.




Marion Kressmann
Le Nouvel Observateur

Un immigre, quoi!

Citation :

18.03.2010
Pourquoi Sarkozy perd du côté des classes populaires comme du coté de l'électorat traditionnel de la droite

De la même manière que le parti sarkozyste a eu tort de croire avant le premier tour qu'il fallait miser sur les questions d'immigration, il a tort de croire qu'il va redresser la barre en ressortant les vieux pots dans lesquels il pense qu'il a fait ses meilleures soupes : l'insécurité. Il fallait, avait dit Sarkozy, « du gros rouge qui tache », ajoutant « allez y à fond la caisse, manière peu amène de qualifier les milieux populaires qui, pour une part, l'ont élu. Donc, on y allé à fond sur le « mariage gris », la burqa, les expulsions ! Maintenant le meurtre d'un policier par un commando de l'ETA est en train de fournir à la majorité l'occasion de ressortir le thème ressassé depuis Jacques Chirac et largement utilisé par Nicolas Sarkozy de l'Insécurité.

Depuis l'insécurité, n'est plus en tête des préoccupations des Français

Mais nous ne sommes plus en avril 2002, lorsqu'avant la présidentielle, l'agression de "papy Voise" - un retraité de la région d'Orléans - avait permis à Jacques Chirac de gloser autour de la sécurité. Depuis l'insécurité, n'est plus en tête des préoccupations des Français. Et si Sarkozy croit qu'il a été élu à cause de son action contestée au ministère de l'intérieur, il se trompe. Même si le Figaro tordant les résultats d'un sondage titrait : "Sarkozy est jugé le plus crédible contre la délinquance», alors que Nicolas Sarkozy et son gouvernement était jugé "crédible pour lutter contre la délinquance" par 39% des sondés. Ce qui signifie que 61% des Français interrogés ne considéraient plus Nicolas Sarkozy et son gouvernement pour lutter contre l'insécurité.

Mais le « travailler plus pour gagner plus » a été la déception majeure et la question sociale la grande absente

S'il a été élu c'est beaucoup plus à cause de thèmes comme « travailler plus pour gagner plus » qui permettaient aux couches populaires de se situer dans ce que Stéphane Rozès nomme un « récit national », entre le travailleur et l'assisté, le bon jeune de la « racaille », la « France qui se lève tôt » et celle qui se lève tard, « l'immigré choisi » et « l'immigré subi ». Mais le « travailler plus pour gagner plus » a été la déception majeure. Depuis les « caisses sont vides » de Fillon jusqu'au bouclier fiscal, ces promesses se sont évanouies. Et surtout la crise est passée par là. L'immigration et l'insécurité ne sont plus au centre des préoccupations des Français, Nicolas Sarkozy qui est grand consommateur de sondages ne peut pas l'ignorer. La priorité c'est l'emploi et le pouvoir d'achat. Mais que peut le gouvernement ? Il faudrait qu'il se préoccupe de la question sociale mais on a vu l'efficacité de Christian Estrosi. Par ailleurs les délocalisations n'ont pas cessées et les plans de soutiens aux banques, sans contrepartie, se doublent d'un regain des bonus et d'une santé retrouvée du CAC40.

Ce que Nicolas Sarkozy dans son profond autisme, n'a pas compris, c'est qu'il était en train de perdre sur ses deux tableaux

Que préfère-t-il ? Montrer ses muscles en promettant des peines incompressibles de 30 ans pour les meurtriers de policiers, alors qu'il ne peut pas ignorer, lui qui est avocat de formation que sa proposition se heurte au principe constitutionnel d'individualisation de la peine, qui contraint les juges à adapter celle-ci aux circonstances et aux personnes. "Nous comprenons l'émotion des policiers mais nous ne pensons pas qu'un terroriste qui a devant lui un policier va hésiter à tirer parce que la peine de sûreté encourue passera de 22 à 30 ans", a fait valoir Christophe Régnard, président l'USM, le principal syndicat de magistrats. Ce que Nicolas Sarkozy dans son profond autisme, n'a pas compris, c'est qu'il était en train de perdre sur les deux tableaux : du côté des classes populaires comme du coté de l'électorat traditionnel de la droite qui ne se retrouve plus dans ce Président là. Dans le 16e arrondissement de Paris on s'est a été tout à la fois l'endroit où l'on s'est beaucoup abstenu (55,15%) et où l'on a le plus voté FN (7,06 %) de la capitale.

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Ha ha la petite saucisse de Strasbourg !!!!

heureusement que les français avaient repris l'alsace aux allemands après la guerre

sof a écrit:

heureusement que les français avaient repris l'alsace aux allemands après la guerre

....très vrai et qu'ils aient colonisé l'ile de la Reunion!

Ayeeeeee on n'a plus besoin de l'arabe de service ... hop dans la poublelle

Citation :

L’UMP refuse un 5 étoiles à Rachida Dati

Décidemmdati.1270719325.jpgent, les temps changent pour Rachida Dati. Plus de limousine, plus de gardes du corps du ministère de l’intérieur. Et voilà que La Tribune de Genève nous apprend que l’UMP a refusé à Rachida Dati une nuit dans un cinq-étoiles genevois. Le 15 mars, l’ancienne garde des sceaux est en Suisse pour une conférence sur le thème des restructurations industrielles en Europe. Alain Jourdan raconte l’histoire : “Lorsqu’elle arrive à Genève vers 17 heures, on lui apprend que le secrétariat de l’UMP à Paris refuse de prendre en charge la réservation de sa chambre à l’hôtel Mandarin. Trop cher, aurait-on fait savoir. L’UMP lui a fait réserver une chambre au NH Hôtel, un établissement situé près de l’aéroport international de Genève, en bout de piste, route de Mategnin à Meyrin. Même si l’établissement est bien coté, le cadre est nettement moins glamour. Ce quatre- étoiles est situé en bord de route et près d’un terrain vague qui sert de parking au centre commercial voisin. Ce n’est pas un hôtel étape pour V.I.P., mais plutôt pour V.R.P.

(..) Mais une bien plus mauvaise surprise attend Rachida Dati. A 23h30, lorsqu’elle arrive à son hôtel, la réceptionniste ne trouve pas la réservation. Rachida Dati est au bord des larmes. Finalement, on découvre qu’une chambre double a bien été réservée, mais au nom de son attachée parlementaire. Il semble qu’elle ait dû se résigner à faire chambre commune.”

Par ailleurs, Carla Bruni-Sarkozy a déclaré hier sur Europe 1 «Rachida Dati reste tout à fait notre amie»

Par ailleurs, Claude Guéant a affirmé que s’il avait bien dit au Canard Enchaîné que le chef de l’Etat ne voulait plus voir Rachida Dati, il n’en reste pas moins que « la vérité d’hier n’est peut-être pas celle d’aujourd’hui ». Le principal collaborateur du chef de l’Etat à l’Elysée a également souligné que tout cela était «sans aucun rapport avec les rumeurs» concernant le couple présidentiel. Alors qu’on lui demandait si le président Sarkozy allait recevoir son ancienne ministre, Claude Guéant a répondu : « Je ne sais pas ». (RTL)

Sarkozette doit bien chialer dans son coin, son ideole se fait rouler dans la boue !

Personne n'en parle ?? bizarre c'est pourtant la primiere fois que ca arrive en france depuis la 5ieme republique !!!

Racisme : Hortefeux condamné




Le ministre de l’Intérieur avait tenu des propos
outrageants envers un militant UMP d’origine arabe. Il a fait appel de
la décision ; le Mrap, qui avait déposé plainte contre le ministre,
aussi.


2 réactions






Par OLIVIER BERTRAND Lyon, de notre
correspondant., ANTOINE LANNUZEL




Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, le 3 juin 2010
à Luxembourg.
(© AFP Georges Gobet)




Une «injure envers un groupe de personnes en raison de
leur origine». C’est ainsi que le tribunal correctionnel de Paris a
qualifié, vendredi, les propos de Brice Hortefeux, adressés à un jeune
militant UMP d’origine arabe le 6 septembre 2009, à Seignosse (Landes).
En cause, le désormais célèbre : «Quand il y en a un, ça va. C’est
quand il y en a beaucoup qu’il y a des problèmes». Le ministre de
l’Intérieur écope d’une amende de 750 euros et de 2 000 euros de
dommages et intérêts à verser au Mrap (Mouvement contre le racisme et
pour l’amitié entre les peuples), partie civile dans cette affaire. L’un
des avocats d’Hortefeux a indiqué qu’il faisait «immédiatement»
appel. Le Mrap aussi, qui veut que «la condamnation soit confirmée»
et «la sanction rehaussée», selon son secrétaire général,
Mouloud Aounit, qui demande «la démission du ministre».
Phrase. La polémique avait éclaté le 11 septembre
2009, après la diffusion d’une séquence vidéo tournée à l’université
d’été de l’UMP à Seignosse par la chaîne Public Sénat. On y voit Brice
Hortefeux discutant avec Jean-François Copé et plusieurs personnes, dont
Amine Brouch-Benalia, d’origine arabe. Une militante UMP explique
qu’Amine est «catholique, mange du cochon et boit de la bière».
Brice Hortefeux lance : «Ah ! Mais ça ne va pas du tout, alors, il
ne correspond pas du tout au prototype !» Le tribunal n’a pas
trouvé cette phrase «outrageante», même si le mot «prototype»
est «malheureux et incongru». Ce n’est pas le cas de la
suivante, quand la militante glisse à Brice Hortefeux, au sujet d’Amine,
qui veut être pris en photo avec le ministre : «C’est notre petit
arabe !». La réponse d’Hortefeux («Quand il y en a un…»)
est «incontestablement outrageante, sinon méprisante, pour les
personnes concernées» qui sont non seulement «exclusivement définies par
leur origine» mais aussi «présentées comme facteurs de
problèmes».
Pris dans la polémique, le ministre avait tenté de rectifier le tir
en affirmant avoir parlé des Auvergnats. Le jeune militant, lui, avait
soutenu qu’Hortefeux parlait des photographes de presse. Autant
d’explications qui n’ont pas convaincu le tribunal, qui considère que «l’enregistrement
est sans ambiguïté.»
Le jugement précise cependant que le ministre ne peut «être
pénalement comptable d’un propos non destiné à être entendu», et
requalifie donc le délit en simple contravention de 4^e
classe. Le 16 avril, le procureur avait requis la relaxe, estimant que
le doute planait sur le caractère public de la conversation.
Souvenir. Interrogé par Libération, l’écrivain
Azouz Begag, qui a côtoyé Brice Hortefeux au gouvernement de 2005 à 2007
et n’en a pas gardé un bon souvenir, rappelle que «dans l’histoire de
la République française, il n’y a pas dû y avoir beaucoup de ministres
condamnés pour injure raciale». «Ce n’était pas une bavure,
c’était une faute, elle est punie, même si l’amende est faible.» «A
présent, ajoute l’ancien ministre de Dominique de Villepin, j’ai hâte de
connaître la réaction de Nicolas Sarkozy. […] Ce n’est pas possible de
laisser la police républicaine qui patrouille dans les zones urbaines
sous la responsabilité d’un ministre condamné pour injures raciales !»
Côté socialistes, une semaine après le déchaînement UMP contre le
parallèle établi par Martine Aubry entre l’escroc Madoff et Nicolas
Sarkozy, cette condamnation tombe à pic. «Dans la République
exemplaire de Nicolas Sarkozy, s’est indigné Benoît Hamon, il
ne devrait pas y avoir de place pour un ministre de l’Intérieur condamné
pour injure raciale.» «A nos yeux, la dignité, c’est d’abord
de commencer à s’excuser et ensuite de partir», a asséné le
porte-parole du PS. Ségolène Royal a jugé, elle, que ce n’est «vraiment
pas glorieux».
Rapidement, François Fillon a voulu calmer le jeu. Dans un
communiqué, il a «tenu à réaffirmer son soutien» et «renouvelé
son amitié et sa confiance» au ministre. «Tous
ceux qui connaissent Brice Hortefeux savent qu’il a montré, par son
action, qu’il était respectueux des personnes et des lois. Les Français
lui savent gré du travail qu’il effectue chaque jour au service de leur
sécurité», écrit le Premier ministre.

Sarko, champion de la langue française:):

Spoiler:

Le debut de la phrase "Quelles qu'avaient pu etre..." n'est pas mal non plus!

je ne l'avais pas vue, c'est du Jonnhy sans doute!

suite du sarkolangue:

construction de phrase. Voici quelques exemples tirés de notre guide de la Sarkolangue:

- «On commence par les infirmières parce qu'ils sont les plus nombreux» ( transexualité?)- Rambouillet le 13 mars 2009, plan de réforme des hôpitaux.

- «Je sors de ma douche parce que j'étais faire sport» - Rencontre avec des lectrices de Femme Actuelle en mai 2009.

- «Qu'est-ce que j'm'aperçois?» et «Si y en a que ça les démange d'augmenter les impôts...» - Le 17 mars 2009, devant les ouvriers d'Alstom à Ornans.

- «C'est quand même agréable de voir des hauts fonctionnaires à qui vous comprenez quand y parlent» - Provins, 20 janvier 2009. (z'ont bien de la chance, ceux-là! )

- «Descends un peu! Si t'as que... Si tu crois que... Si tu crois que... Si tu crois qu'c'est en insultant qu'tu vas régler le problème des pêcheurs, et ben pe-permets moi d'te dire, permets moi... pe-pe-tu-tu-tu-tu-tu... Eh ben viens!» - Le 6 novembre 2007, devant les pêcheurs du Guilvinec.

Guillon dépeint le gouvenrment actuel !! trop balaise !!

Il n'y pas qu'en Tunisie ou on censure .... En France aussi !!!
Guillon et didier porte vires par le larbin a sarko

http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2010/06/23/jean-luc-hees-annonce-le-retrait-de-stephane-guillon-de-l-antenne-de-france-inter_1377223_3236.html#ens_id=1375635

Vive la republique bananiere Francaise

Et l'affaire Bettencour/Woerth, pas de commentaires?

sarko dans le 9-3, lol

El_Manchou a écrit:

sarko dans le 9-3, lol

maintenant tu rigoles ?
bayyou3

Max a écrit:

El_Manchou a écrit:

sarko dans le 9-3, lol

maintenant tu rigoles ?
bayyou3

je rigole de lui parce que quand il fait n'importe quoi, je le dénonce, contrairement aux adeptes de marie-ségo qui essayent de la soutenir et de la défendre même dans les pires des cas

Fillon drague les barbus


PS: qu'est ce qu'elle est mignionne la petite fillette voilee qui a surement du choisir elle meme de mettre le voile

Citation :

Fillon en opération apaisement auprès de la communauté musulmane






67 réactions






Liberation.fr




(Reuters)




François Fillon s’est livré ce lundi à un éloge de l’islam
de France, culte «de paix et de dialogue», à l'occasion de
l'inauguration de la mosquée Al Ihsan à Argenteuil (Val-d'Oise), une
première pour un chef de gouvernement.
En travaux depuis des années mais déjà fréquenté de même que l'école
coranique qu'elle comprend, l'édifice, doté d'un petit minaret, pourra
désormais accueillir jusqu’à 2500 fidèles.
Située dans le quartier du Val-d’Argent, là même où en 2005 Sarkozy
s'en était pris à la «racaille», la mosquée est plus connue
localement sous le nom de «mosquée Renault», car le bâtiment abritait
jadis un ancien garage de la marque au losange.
L'édifice a été presque intégralement financé par les dons des
fidèles. «Aucun pays ne nous a aidés, il a fallu emprunter 1,7
million de francs pour acheter le bâtiment», souligne dans La Croix Abdelkader Achebouche, président
fondateur de cette mosquée qu'il dit avoir a voulue «très ouverte,
en toute indépendance».

A quelques jours du débat parlementaire sur le niqab, qui démarre le 6
juillet, le Premier ministre a coupé le ruban rouge sans le ministre de
l’Intérieur Brice Hortefeux, dont la présence avait pourtant été
annoncée. Interrogé sur cette absence, Matignon a assuré que le Premier
ministre avait demandé à celui qui est également ministre des cultes de «préparer
le texte sur les collectivités territoriales» qui sera discuté en
fin de journée au Sénat.
Dans un communiqué, le maire PS de la ville Philippe Doucet, tout en
qualifiant l'édifice de «représentatif du bien vivre ensemble à
Argenteuil», déplore
l'opportunisme, à ses yeux, de «cette visite vise à racheter la
faute du gouvernement sur le mauvais débat à propos de l’identité
nationale».
Devant plusieurs représentants d’une communauté musulmane en partie
ébranlée par le débat sur l’identité nationale et celui sur le port du
voile intégral, François Fillon a assuré que «la réalité de l’islam
de France aujourd’hui» était «celle d’un islam de paix et de
dialogue», une religion du «juste milieu» où l’on vit sa
foi dans le respect «des principes de la République».
«Aujourd’hui
les personnes de confession musulmane et leurs lieux de cultes sont
encore trop souvent l’objet de discriminations et la cible d’agressions
que nous ne pouvons tolérer. Oui, il y a en France des actes
anti-musulmans», a-t-il poursuivi, promettant d’être «intraitable»
contre ces actes.
«Repli clanique»


Dans le même temps, il a estimé que «l’ennemi de la cohésion
nationale» était «le repli clanique et le communautarisme»,
dont l’une des formes les plus dangereuses était «l’intégrisme
religieux».
«En renvoyant une image sombre et sectaire, les personnes qui
dissimulent leur visage au prétexte de leur foi sont, consciemment ou
non, les opposantes à l’islam de France que vous avez contribué à
construire», a enchaîné le Premier ministre, appelant les musulmans
à se dresser contre «ce détournement du message religieux».