Votre dernier film

Christopher Nolan a un certain sens de l'intrigue que nous autres simples mortels en manquent.
Dans le teaser, ça se voyait que le film n'était pas ordinaire mais j'aurais quand même préféré en rester là. Maitnenant plus le temps avance, et plus j'en apprend sur ce film malgré moi.
J'ai le même sentiment que j'avais en attendant The Dark Knight.

OCEANS de Jacques PERRIN et Jacques Cluzaud


Alors voici un film qui ne peut sur grand écran, les images sont d'une beauté saisissante et chargées d'émotion, j'ai été si touchée par le film que j'en ai eu les larmes aux yeux (pour une scène à la fin de reconstitution d'un massacre de requins/baleines), c'est un doc où il n'y a pratiquement pas de voix off ce qui est parfois dommage car j'avais envie de connaître le nom de bcp d'espèces que je n'avais jamais vues. La musique de Bruno Coulais, est aussi belle et parfaitement adaptée au film.

09/10

I LOVE YOU PHILIP MORRIS 2009 Avec JIM CARREY, EWAN MAC GREGOR



L'histoire commence assez drôlement, Steven est un flic ,il a été abandonné à la naissance par sa mère, il a une jolie femme qui l'aime et qui aime aussi bcp Dieu. Sous sa couverture de parfait mari, il se révele que Steve aime les hommes, il va utiliser ses connaissances et son statut de flic pour retrouver la mère qui l'a abandonné. Une fois retrouvée sa mère le rejete....

Le début est assez fun mais la suite n'était pas terrible, c'est un film qui se laisse regarder,

05/10

BOF !! assez déçue.. moi qui m'attendais à quelque chose qui fasse de l'effet, j'étais déçue à la fin oui ! d'ailleurs je ne suis même pas sûre d'avoir tout compris et c'est ce qui m'énerve par dessus tout

j'ai apprécié l'idée en elle-même du film, le début, il y avait une bonne dose de suspens aussi, mais ensuite rien !

c'est l'histoire que tout le monde connaît, sauf que là, il s'agit d'un film (un documentaire plutôt) dans le film, le révérend avait eu l'idée de faire ce docu pour prouver que l'exorcisme, c'est rien que de l'arnaque, lui-même ne croyant pas aux démons.. il emmène alors l'équipe pour l'une de ses missions d'exorcisme..




là par contre : M-A-G-N-I-F-I-Q-U-E !!!

moi qui suis loin d'être une fan des films français, j'ai adoré. à voir et revoir !

il faut mentionner quand même que c'est un style particulier, c'est à dire, il faut aimer le genre..

"Que reste-t-il de nos amours,
que reste-t-il de ces beaux jours?
une photo, vielle photo, de ma jeunesseeee

que reste-t-il des billets doux,
des mois d'avril, des rendez-vous?
un souvenir qui me poursuit sans cesse"

Family Plot (1976) d'Alfred Hitchcock


Une pseudo voyante Blanche doit retrouver avec son petit ami chauffeur de taxi, le neveu ( Edward ) d'une femme très riche qui a été abandonné et adopté par un couple qui est décédé depuis plus de 20 ans. IL va s'avérer qu'Edward n'est autre qu'un impitoyable kidnappeur/bijoutier qui agit avec la complicité de sa petite amie

Ce film est plein d'humour et d'intrigue, avec un humour assez surprenant pour l'époque.


10/10

Film historique nécessaire pour la France. Il est très important que la jeune génération sache ce qui c'est réellement passe durant cette sale guerre. L'interprétation y est magistrale bouchareb a fait un film a l'amercaine très efficace. Aux US les grands cinéastes ont su faire l'auto- critique de la guerre du Vietnam, en France pas vraiment a part qqes petits chef d'oeuvres comme "ennemi intime" et ce dernier hors la loi. Il manquerait peut être a l'histoire du film plus de français qui ont véritablement aide les Algériens dans leur lutte. En tout cas ce film est a voir absolument.

Bon ce film a fait couler bcp d'encre, notamment a cause des nombreuses manifestations fascistes du front national et de certains fachos de l'UMP ! En effet quand on voit ce film la et qu'on est fils de collabo ou ancien membre de l'OAS on a du mouron a se faire. surtout que maintenant cette vermine fasciste vit moins dans l'ombre grace a la politique de la droite decomplexee du nain. Une veritable lecon d'histoire qui devrait etre inscrite dans les mauels d'histoire en France autant que la shoha ou autre chapitres sombres de l'histoire Francaise.

Je vous encourage vraiment a y aller ... d'autant plus qu'on y reconnait certains figurants Tunisiens

A Serbian Film (Srdjan Spasojevic, 2010, Serbie)


Un ex-star du porno serbe est contacté pour un nouveau rôle qui promet d'être différent de tout ce qu'il a déjà fait... très différent...

Un autre film à rajouter dans ma liste des films les plus choquants que j'ai pu voir. Et cette fois il ne s'agit pas uniquement de sexe et de violence extrême sans aucun objectif, bien au contraire. C'est même là l'un des points forts du film, contrairement à des films comme August Underground.

J'ai vu quelques allusions çà et là à propos du film et de ce qu'il implique. Le réalisateur étant, selon ses propres paroles, un très fan des "métaphores", il faut prendre le film comme une sorte de grande métaphore sur la vie des serbes, et par extension de la vie de tous les êtres humains aussi.

Certaines scènes peuvent être à la fois horriblement violentes et marrantes en même temps, mais la plus grande partie du film prend un chemin plutôt sérieux. Rajoutons à cela le côté extrêmement pervers, sombre, glauque, violent... et on comprend très vite pourquoi ce film va en repousser plus d'un.

La suite ici.

Shutter Island (Martin Scorsese, 2010, USA)


1954, un marshal américain enquête sur la disparition d'une femme d'un hôpital psychiatrique qui se trouve sur l'île Shutter Island. Petit à petit il va découvrir que les choses ne sont pas aussi simples qu'il ne l'aurait cru...

Malgré le bruit qu'a fait le film, j'avoue que je ne m'y suis pas trop intéressé à sa sortie. Je m'attendais à quelque chose du même niveau que The Departed (que j'aurais pu aimer beaucoup plus si je n'avais pas vu Infernal Affairs avant) et je n'étais donc pas très motivé.
Bon bref, tout ça pour dire que je n'avais pas une grande idée sur ce que raconte le film. J'ai donc découvert l'histoire en le regardant, et c'était tant mieux.

La suite ici.

Jackie Brown (Quentin Tarantino, 1997, USA)


Jackie Brown, hôtesse de l'air, se trouve impliquée dans une affaire entre la police et un dangereux dealer d'armes à feu.

C'est certainement le film le moins populaire de Tarantino, et pourtant il n'est pas très loin derrière ses deux premiers chef d'oeuvres Reservoir Dogs et Pulp Fiction. Mais j'avoue que je ne comprends toujours pas pourquoi. C'est peut-être parce que Jackie Brown n'est pas écrit par Tarantino à la base. De plus, le style non-linéaire auquel il a commencé à nous habituer n'était plus au rendez-vous. La violence est également beaucoup moins brute ici, voire pratiquement absente. L'accent est mis sur le développement des personnages plutôt que sur l'action. J'imagine que tout ça devrait dépayser pas mal de monde.

La suite ici.

Ben moi Jackie Brown est mon prefere de Tarantino, derriere bien sur Pulp fiction qui est un chef-d'oeuvre a part.

Moi non j'avais pas trop aimé Jackie Brown, le suspens est coupée dés le début , et il ne reste plus qu'à s'ennuyer en attendant la fin. Je sais que ce n'est pas le seul film qui utilise cette trame mais quand on veut couper le suspens il faut au moins avoir quelque chose d'intéressant à raconter au milieu, et j'ai pas retrouvé ça.

Jacky Brown j'ai moyennement aime la premiere fois ... mais je l'ai de plus en plus apprecie lors des re-visionnage. Je dirais qu'il est comme le bon vin rouge, il se bonifie en vieillissant !

Kahéna a écrit:

LES CHATS PERSANS 2009 de Bahman Ghobadi



La bande annonce m'avait donnée envie de le voir, il s'agit d'un groupe de jeunes iraniens sortis de prison, qui se battent pour jouer tout simplement de la musique et qui espèrent partir jouer à l'étranger, ils sont à la recherche d'autres membres pour la formation, et à travers cette recherche, on découvre plusieurs musiciens talentueux qui jouent dans divers registres ( blues, rock, metal, rap).

Je ne m'attendais pas à écouter de le si bonne musique iranienne, ils ont un vivier de jeunes artistes assez impressionnant( je ne sais pas si c'est la censure qui les rend si prolifiques et doués), et malgré ce climat horrible de censures absurdes, ces jeunes sont plein de vie et d'humour!

http://culturebox.france3.fr/all/18217/%22Les-chats-persans%22-de-Bahman-Ghobadi:-le-rock-en-cachette-%E0-T%E9h%E9ran/#/all/18217/

08/10

L'idée du film est louable et très courageuse. Un film tourne dans des conditions très dures. Mais la façon de présenter les choses est très naïve et parfois mielleuse. La musique est très bonne et le film reste quand même une référence du genre. mais bon un peu decu, je m'attendait a mieux.

Personnellement je l'ai adoré. Le style y est pour beaucoup, on dirait un documentaire, ce qui donne un air très authentique que j'aime beaucoup dans les films.
Et si je me souviens bien, il a été tourné sans autorisations, chose compréhensible dans un pays comme l'Iran.

il était une fois la révolution de sergio leone
Il ya tout pour comprendre les révolutions passés,leurs financement et la naiveté des idéalistes.

Kahéna a écrit:

ROBIN HOOD de Ridley Scott



Robin Longstride ( Russel Crowe ) rentre en Grande Bretagne avec la couronne de Richard Coeur de Lion mort au combat. Nous avons ici un film sur l'avant Robin des Bois, il ne vit pas encore dans la forêt avec Marianne, il se fait prend l'identité d'un chevalier mort, Robert Huntington, ce dernier lui avait demandé comme service avant d'agonir de rendre son épée à son père...

Il y a des passages avec de belles images mais ça reste très très nian nian, on ne s'accroche pas au film, c'est du mauvais gladiator.

05/10

De belles images, un film epique et des personnages pas tout a fait idealises, au contraire des Robin des Bois et Richard Coeurs de Lion habituels, je trouve que c'est pas mal quand meme... Pas un chef-d'aoeuvre, mais je serai content de voir la suite (il va bien y avoir une suite?)

chidd-min-ghadi a écrit:

il était une fois la révolution de sergio leone
Il ya tout pour comprendre les révolutions passés,leurs financement et la naiveté des idéalistes.

"Giu la testa, coglione!"

Un film jubilatoire que je viens de revoir pour la je-ne-sais-combienieme fois avec beaucoup de plaisir, un des meilleurs de Sergio Leone, celui avec le plus d'humour et toujours sa facon de filmer si particuliere, gros plans et grands espaces, des personnages avec des Gueules pas possible, bref du grand art!

Au sujet de Robin

Citation :

De belles images, un film epique et des personnages pas tout a fait idealises, au contraire des Robin des Bois et Richard Coeurs de Lion habituels, je trouve que c'est pas mal quand meme... Pas un chef-d'aoeuvre, mais je serai content de voir la suite (il va bien y avoir une suite?)[/qu

ote]


L'amourette entre Robin&Marianne était d'un ridicule, avec des zooms pour marquer leurs premiers effleurement de peau...on n'attend meme pas la fin du film car aucune intrigue jamais de suspens!Les Français en ont bien pris leur grade encore une fois.

un air de déja vu,mais un bon film quand même

AsTaZ a écrit:

un air de déja vu,mais un bon film quand même

*

Je l'ai détesté ce film il est trop creux, à classer
aussi dans la rubrique "nian nian"je n'ai meme pas pu le finir tellement il m'agaçait!

DES HOMMES et DES DIEUX de Xavier Beauvois

Je ne sais pas trop quoi penser de ce film qui ressemble plus à un documentaire qu'à un film d'ailleurs, je me suis sentie plus triste en lisant les articles sur ces moines de Tibérine qu'en voyant le film; le réalisateur a réussi à tout de même faire un film sur un événement tragique dont on ne connait pas les véritables circonstances, en nous livrant un message de paix entre les communautés, le film n'est pas fait d'une manière manichéenne, on comprend mieux pourquoi ces moines avaient décidé de rester dans le village malgré tout.

07/10

Hadewijch (Bruno Dumont, 2009, France)


Céline, étudiante en théologie, est renvoyée de son couvent à cause de fanatisme extrême.

Voilà que j'arrive enfin à voir le dernier film de Bruno Dumont. Je l'attendais depuis plus d'une année depuis sa sortie, et voilà que j'ai finalement eu la chance de le voir. Une longue attente qui au final s'est revêlée être bien méritée.

Céline est une jeune fille très, très pieuse. Même aux yeux des mères dans le monastère elle sombre dans un excès dangereux. Elles décident donc de la renvoyer afin qu'elle puisse découvrir le monde extérieur et de s'ouvrir un peu à la vie. C'est là qu'on découvre qu'elle est la fille d'un homme très riche qui vit dans un appartement paradisiaque dans l'un des meilleurs quartiers parisiens. Un changement plus que radical par rapport à ce qu'elle vivait dans le couvent, et pourtant ça ne semble pas du tout la toucher, même au contraire. Elle semble éprouver une certaine haine à l'encontre de son père.

Céline n'a aucun ami. Chez elle c'est le vide total avec ses parents tout le temps occupés, et à l'extérieur c'est le vide total à cause de son côté asocial. Mais en ayant aussi peu d'expérience dans "la vie réelle", elle accepte très facilement de faire connaissance avec trois jeunes inconnus qu'elle rencontre dans un café. Les trois sont arabes, et l'un d'eux, Yassine, semble être particulièrement intéressé par elle, mais en fait il n'est intéressé que par quelque chose de bien précis. Il découvre petit à petit qu'elle est assez difficile à comprendre, surtout avec son dévouement à ses croyances. Il est surpris d'apprendre qu'elle veut garder sa virginité au Christ...

La suite ici.

Gozu (Takashi Miike, 2003, Japon)


Ozaki et Minami sont deux frères qui travaillent chez un gang de yakuzas. Ce dernier est chargé par son boss de se débarrasser d'Ozaki, qu'il respecte énormémentà parce qu'il commence à délirer. En effectuant cette mission, c'est Minami qui commence à douter de ses capacités mentales...

Ceci est de loin le film le plus bizarre de Takashi Miike que j'ai pu voir. Gozu est très différent de ce qu'on voit d'habitude de la part de Miike, mais il garde toujours sa touche personnelle. De l'humour crade, de la violence, du sexe, des bizarreries à la fois grotesques et hilarantes...

J'ai vu pas mal de monde comparer ce film à ce que fait David Lynch mais je ne suis pas vraiment d'accord avec. Gozu est plus proche d'un Jacob's Ladder que d'un Eraserhead. L'histoire peut être suivie et interprêtée de façon très directe malgré toutes les difficultés qu'on pourrait rencontrer dans ce processus. D'ailleurs les interpretations varient d'une personne à une autre.

La suite ici.

The Blacks (Goran Devic & Zvonimir Juric, 2009, Croatie)


Un cessez-le-feu est déclaré. Un équipe de militaires nommée "The Blacks", qui s'occupe de faire le sale boulot, doit être dissoute. Mais Ivo, le chef de cette équipe, doit sauver trois de ses soldats d'un champ de mines ennemi, et compte se venger à sa façon.

Un film de guerre de l'Europe de l'est est à ne pas rater en ce qui me concerne. Ils ont un côté très naturel et très réaliste qu'on ne trouve pratiquement nulle part ailleurs. Et le programme des Journées Cinématographiques de Carthage semble riche en ce genre de films.

Le film commence par la scène finale, chronologiquement parlant. Un peu similaire à la scène d'ouverture de No Man's Land, je m'y suis tout de suite retrouvé. Une bande de soldats marchant dans un territoire ennemi pendant des heures. Ils sont sur leurs nerfs. Ils ont avec eux un nouveau qui n'est pas trop habitué à tout ceci. Ils commencent à se perdre. Mais toujours pas d'ennemi à l'horizon. Et plus le temps passe, plus ils deviennent nerveux. À un moment ils sont perdus. La tension monte de plus en plus, jusqu'à ce qu'elle atteigne un point de non-retour. L'ennemi qu'ils cherchaient n'était finalement pas aussi loin qu'ils ne le pensaient. L'ennemi c'était eux-mêmes...

La suite ici.

Poetry (Lee Chang-Dong, 2010, Corée du Sud)


Mija a 65 ans. Elle travaille en tant que femme de ménage, et s'occupe seule de son petit fils. À cet âge, elle ne sait plus vraiment que faire de sa vie, jusqu'au jour où elle décide de rejoindre un cours de poésie...

J'étais assez hésitant d'aller voir ce film. Généralement ce n'est pas le style que je cherche dans le cinéma coréen, ou pas le style que je cherche tout court. Une vieille femme qui s'intéresse à la poésie, c'est vraiment l'un de mes derniers soucis.

Et plus le film avance, plus je perds de l'interét. Cette vieille femme extrêmement gentille et naïve m'a assez tapé sur les nerfs avec ses comportements enfantins. Jusqu'à ce qu'arrive le "subplot" de l'adolescente qui s'est suicidée...

Même si ça commençait à accrocher un peu à ce moment là, c'était vraiment très secondaire comme histoire. Une façon de plus de nous montrer comment Mija fait face à un problème de grande taille, et en même temps comment les parents se foutent totalement des autres. Leurs enfants ont commis un crime, et la seule chose à laquelle ils pensent c'est comment sauver leur futur. Peu importe s'il y a des morts, s'ils encouragent leurs enfants à devenir des criminels, l'important c'est de se sauver la face...

La suite ici.

Belial a écrit:

La suite ici.

Poetry (Lee Chang-Dong, 2010, Corée du Sud)

Mija a 65 ans. Elle travaille en tant que femme de ménage, et s'occupe seule de son petit fils. À cet âge, elle ne sait plus vraiment que faire de sa vie, jusqu'au jour où elle décide de rejoindre un cours de poésie...

J'étais assez hésitant d'aller voir ce film. Généralement ce n'est pas le style que je cherche dans le cinéma coréen, ou pas le style que je cherche tout court. Une vieille femme qui s'intéresse à la poésie, c'est vraiment l'un de mes derniers soucis.

Et plus le film avance, plus je perds de l'interét. Cette vieille femme extrêmement gentille et naïve m'a assez tapé sur les nerfs avec ses comportements enfantins. Jusqu'à ce qu'arrive le "subplot" de l'adolescente qui s'est suicidée...

Même si ça commençait à accrocher un peu à ce moment là, c'était vraiment très secondaire comme histoire. Une façon de plus de nous montrer comment Mija fait face à un problème de grande taille, et en même temps comment les parents se foutent totalement des autres. Leurs enfants ont commis un crime, et la seule chose à laquelle ils pensent c'est comment sauver leur futur. Peu importe s'il y a des morts, s'ils encouragent leurs enfants à devenir des criminels, l'important c'est de se sauver la face...

La suite ici.

Le film a reçu énormément de critiques élogieuses dans la presse française donc j'avais un bon apriori. J'ai trouvé le film trop long j'aurais bien aimé qu'ils nous enlèvent les récitations de poèmes, Mija la grand mère est touchante et pleine d'élégance, les personnages ont des attitudes assez surprenantes comme les pères qui gardent la bonne humeur et le sourire alors qu'ils ont appris que leurs fils avaient violé une jeune fille qui s'était suicidée...puis il y a la scène dans la baignoire qu'on n'attendait pas de voir tellement le film paraissait plein de pudeur au début!
06/10