tatoum Homo Habilis
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| Sujet: Monsieur NETANYAHOU bienvenue en France 1/11/2012, 22:50 | |
| premier cadeau simple en entrée waou que de surprises à l'occasion de la visite en France de monsieur netanyahou, les autorités de notre pays n'ont pas eu la main legere . ------------------------------------------------------------------ Le premier ministre israélien assistera jeudi à une cérémonie à l'école Ozar Hatorah de Toulouse, où Mohamed Merah a tué quatre personnes. Toulouse Benyamin Nétanyahou ne sera pas seul, jeudi 1er novembre, à Toulouse, pour la cérémonie d'hommage aux victimes de Mohamed Merah à l'école Ozar Hatorah. «Le chef de l'État, François Hollande, a fait savoir qu'il accompagnerait le premier ministre israélien. C'est un témoignage fort à la communauté juive toujours endeuillée par la tragédie du 19 mars dernier», souligne Nicole Yardéni la présidente régionale du Conseil représentatif des institutions juives de France. À Toulouse, Nétanyahou apportera tout le soutien de son peuple à la communauté juive de France. «Il l'avait promis lors de l'enterrement des victimes à Jérusalem», rappelle Arié Bensehmoun, le président de la communauté juive de Toulouse. «Avec la présence du chef de l'État français jeudi à Toulouse, le programme de cette visite devrait subir de nouvelles modifications de manière à effectuer le rassemblement sur un lieu unique. Ceci pour des raisons de sécurité évidentes!» insiste Nicole Yardéni. Selon le programme initial, Benyamin Nétanyahou est attendu en début d'après-midi à Toulouse. Il doit d'abord se rendre en présence du grand rabbin de France, à l'école Ozar Hatorah, rebaptisée Or Torah pour y célébrer une cérémonie religieuse. Puis, le chef de l'État français et le premier ministre israélien sont ensuite attendus à la grande synagogue de l'Espace du judaïsme, où Benyamin Nétanyahou a prévu de délivrer un message à la communauté juive de France. «En raison de la présence de François Hollande, il n'est pas impossible que cet hommage toulousain se déroule à l'école, un lieu symbolique pour toute la communauté juive, toujours meurtrie après ce drame. Dans ce cas, cette cérémonie serait diffusée sur de grands écrans à la synagogue. Cela reste une hypothèse que nous examinons actuellement», explique Nicole Yardéni. Depuis plusieurs jours maintenant, les réunions de travail se multiplient à l'ambassade d'Israël à Paris, ainsi que sur le terrain. Les services de sécurité français et leurs homologues israéliens préparent le dispositif policier pour accueillir Benyamin Nétanyahou et François Hollande, ainsi que les nombreux invités. Le 19 mars dernier, trois enfants, Myriam, Aryeh, Gabriel, et un enseignant, Jonathan Sandler, avaient été tués par Mohamed Merah devant l'enceinte et à l'intérieur de cet établissement, situé dans le quartier Jolimont de Toulouse. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Deuxième cadeau en dessert L'imam tunisien Mohammed Hammami, qui officiait à Paris, a été expulsé mercredi du territoire français pour avoir "valorisé le jihad violent, proféré des propos antisémites et justifié le recours à la violence" contre les femmes, a annoncé le ministère de l'Intérieur. (c) Afp
PARIS (AFP) - Les autorités françaises ont expulsé mercredi un imam tunisien vivant de longue date en France et accusé de prôner le "jihad violent", la violence contre les femmes et l'antisémitisme. Mohamed Hammami, 77 ans, était le responsable religieux de la Mosquée Omar, dans le centre de Paris. "Lors de ses prêches", indique le ministère français de l'Intérieur, l'imam "a tenu des propos ouvertement hostiles envers les valeurs de la République". "Il a valorisé le djihad violent, proféré des propos antisémites et justifié le recours à la violence et aux châtiments corporels contre les femmes", accuse le ministère. Son expulsion a été confirmé par son fils, Hamadi Hammami. "Je crois qu'il a été arrêté par la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur, le contre-terrorisme), dans la rue, aujourd'hui à Savigny-le-Temple (banlieue de Paris) où il habite", avant d'être conduit à l'aéroport, a déclaré à l'AFP le fils du religieux. "Je suis très inquiet car mon père est cardiaque (...) et ma mère, qui est handicapée à 80 %, se retrouve toute seule", a-t-il souligné. "Nous avons décidé d'être intransigeants à l'égard de tous ceux qui profèrent des discours de haine à l'égard de la République et de nos valeurs et de procéder à l'expulsion de responsables, de militants religieux qui prônent un islam radical", a commenté le ministre de l'Intérieur Manuel Valls à la presse. L'avocat de l'imam, Me Salah Djemai, a qualifié cette mesure d'expulsion de "procès médiéval". "Par une motivation à l'accent populiste et stéréotypée amplifiant les propos franchement nauséabonds de son prédécesseur, le nouveau ministre de l'Intérieur se défoule contre un vieillard finissant, n'ayant plus aucune attache avec son pays d'origine", a-t-il dit dans un communiqué. A la sortie de la mosquée Omar, mercredi après la prière, les fidèles tombaient des nues: "On l'avait vu vendredi dernier pour la fête de l'Aïd, c'est lui qui avait guidé la prière", s'étonnait l'un d'eux. "Il n'a rien à voir avec le monstre qu'on décrit", s'exclame un autre. Mohammed Hammami, qui a cinq enfants et 19 petits-enfants, avait été accusé en janvier par l'ancien ministre de l'Intérieur Claude Guéant d'avoir tenu "des propos violemment antisémites" et d'avoir appelé "à fouetter, +à mort+, la femme adultère". Agé et peinant à se mouvoir, M. Hammami avait contesté la totalité des accusations. Il appartenait à l'association Foi et Pratique, qui se réclame de la mouvance rigoriste tabligh, et officiait régulièrement à la mosquée Omar. L'association Foi et Pratique qui, de source ministérielle, rassemble quelque 2 à 3.000 pratiquants, connaît de sérieuses difficultés de trésorerie, depuis que ses comptes sont bloqués. Elle constitue la branche minoritaire du Tabligh, mouvement piétiste de prédication et d'éducation religieuse, qui compte entre 50 et 100 lieux de culte en France, et dont le centre principal est installé en Inde, près de Lahore, à la frontière avec le Pakistan. L'imam tunisien avait été hospitalisé début février et le 5 mai, ses avoirs avaient été gelés par le ministère de l'Economie, ainsi que ceux de son épouse. Le 15 mai, la commission d'expulsion, dont l'avis n'est que consultatif, avait rendu un avis défavorable à l'expulsion de l'imam, estimant que son "expulsion porterait atteinte à sa vie familiale" Depuis le début de l'année, il a été contrôlé à sept reprises aux frontières et était rentré lundi de Casablanca, au Maroc, selon une source proche du dossier. Fin mars, la France avait fermé ses portes à plusieurs prédicateurs "extrémistes" invités à un rassemblement en région parisienne: l'influent Cheikh sunnite qatari Youssef Qaradaoui, le Palestinien Akrima Sabri, les Saoudiens Ayed Bin Abdallah Al Qarni et Abdallah Basfar, et l'Egyptien Safwat Al Hijazi.
cet imam est un extrémiste certes ca ne me fait ni chaud ni froid qu'il se fasse lourder chez lui, on a pas besoin de débile en France, mais de la part du ministre de l'interieur maintenant juste avec la visite de netanyahou ca sonne comme un cadeau de bienvenue voir une allégeance ... LES AUTORITES FRANCAISES NOUS ONT MONTRE LA QU'ELLES SAVENT ACCUEILLR LES V.I.P ....
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