Forum Tunisien de Discussions Libres et Constructives |
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| Doc à Tunis 2009 | |
| | Auteur | Message |
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trainspotting Homo Habilis
Nombre de messages : 939 Age : 43 Date d'inscription : 12/01/2008
| Sujet: Doc à Tunis 2009 1/4/2009, 03:46 | |
| Bon voici ma pré-liste à priori:
- Mercredi l'ouverture: Let's make the money (s'il y a possibilité) 19h30 Théâtre municipal
- Jeudi : 15h 46 : one hundrerds meters away (théatre ) ou le début de la faim (mondial)
18h30: ma fille la terroriste (africa)
21h : Tambogrande (mondial)
Vendredi:
15h 52 (trop de choix ) à priori the blood of kouan kouan (Théâtre)
19H war made easy (théâtre)
Samedi:
18h30 : L'argent du charbon (mondial)
Dimanche
15h La maison de verre (africa)
18h please vote for me (Théâtre) | |
| | | Belial Homulus Administratus
Nombre de messages : 1722 Age : 68 Date d'inscription : 04/07/2007
| Sujet: Re: Doc à Tunis 2009 1/4/2009, 03:58 | |
| Il n'y a pas le programme au complet quelque part sur le net ? | |
| | | trainspotting Homo Habilis
Nombre de messages : 939 Age : 43 Date d'inscription : 12/01/2008
| Sujet: Re: Doc à Tunis 2009 1/4/2009, 10:27 | |
| el bo5l 9atlek enti! il suffisait de mettre doc à tunis dans google
http://docatunis.nesselfen.org/mod09.php?page=programme | |
| | | Kahéna Homo Addictus
Nombre de messages : 1913 Age : 107 Localisation : Behind you Emploi : legal Date d'inscription : 22/02/2008
| Sujet: Re: Doc à Tunis 2009 2/4/2009, 14:00 | |
| Wow il a l'air intéressant Tambogrande aussi (Dans un village péruvien, producteurs de mangues et de citrons, s’opposent à l’exploitation abusive d’une entreprise canadienne d’extraction d’or: Manhattan Minerals. Ce film a obtenu 19 prix internationaux.) j'avais repréré aussi le doc sur les enfants soldats au Liberia: 21 000 innocents à l'Africart. | |
| | | trainspotting Homo Habilis
Nombre de messages : 939 Age : 43 Date d'inscription : 12/01/2008
| Sujet: Re: Doc à Tunis 2009 2/4/2009, 14:04 | |
| mon problème c'est que tambogrande tombe en même temps que lets make money ce soir , or j'ai raté ce dernier hier, le théatre affichait complet | |
| | | Kahéna Homo Addictus
Nombre de messages : 1913 Age : 107 Localisation : Behind you Emploi : legal Date d'inscription : 22/02/2008
| Sujet: Re: Doc à Tunis 2009 2/4/2009, 14:46 | |
| - trainspotting a écrit:
- mon problème c'est que tambogrande tombe en même temps que lets make money ce soir , or j'ai raté ce dernier hier, le théatre affichait complet
Ah oui je ne l'avais pas vu non plus, pour "Lets make money" il doit etre bien intéressant aussi, mais c'est un doc qui peut aussi vite nous embrouiller si les explications sont complexes. | |
| | | OverDrive homulus magnus celer
Nombre de messages : 2123 Age : 49 Date d'inscription : 02/07/2007
| Sujet: Re: Doc à Tunis 2009 2/4/2009, 16:45 | |
| Moi je penche plutôt vers "let's make money". Mon apriori est que je préfère un film qui me permet de voir dans la réalité qu'un film qui me transmet des impressions sur l'injustice et la lutte. Je sais que l'injustice existe mais il ne suffit pas de la constater ou d'arriver à sympathiser avec ceux qui la subissent pour finir ensuite pro-chavez par exemple. | |
| | | Belial Homulus Administratus
Nombre de messages : 1722 Age : 68 Date d'inscription : 04/07/2007
| Sujet: Re: Doc à Tunis 2009 3/4/2009, 02:47 | |
| Il parait que le 4ème Art fait partie des salles aussi, mais je ne l'ai pas vue mentionnée dans le site. En tout cas demain (ou plutôt aujourd'hui) Vendredi, j'y serais à 18h30. | |
| | | lilia Homo Addictus
Nombre de messages : 1290 Age : 39 Date d'inscription : 04/02/2008
| Sujet: Re: Doc à Tunis 2009 3/4/2009, 10:46 | |
| Je suis allée voir « Silence » de Karim Souaki hier, c’était prévu qu’on le passe en deuxième projection à Ibnou Rachiq après « Taste the Revolution » (palestinien), mais apparemment il y a eu un problème, et du coup il n’ont passé que Silence, mais c’était loin d’être regrettable ! Un documentaire tunisien que j’ai trouvé fort intéressant, tellement doc dans le sens où le réalisateur n’a épargné aucun détail aussi « choquant » il puisse être pour certains.. je le recommande vivement ! un documentaire à voir pour ceux qui ne l’ont pas vu encore. Le personnage principal est Jimmy (pour Jimmy Hendrix), un homme vivant avec le virus du VIH, oui c’est du SIDA dont il s’agit, cet homme de 52 ans enfant de la Goulette respire, mange, sort, parle, rit et pleure avec le SIDA… Le documentaire nous montre un Jimmy se remémorant la façon dont il a été atteint ou plutôt les raisons qui ont fait de lui ce qu’il est. Il nous montre un Jimmy qui ne se soucie qu’à éveiller la jeunesse et la rendre consciente du danger qui la menace, chaque jour il fait sa randonnée en distribuant des préservatifs aux jeunes garçons en leur disant : allez ne soyez pas timides je sais que vous en auriez besoin, il n’y a pas de quoi avoir honte, c’est pour vous, votre survie en dépend. Un jimmy qui essaie de rendre « la chose » moins déprimante dans la mesure du possible.. Ce documentaire nous rapporte des témoignages des amis Jimmy dont certains sont dans le même cas que lui, eux aussi atteints, eux aussi « marchant dans le couloir de la mort »comme ils disent.. Et ils assument, ils disent : « maintenant on paie la facture » trop lourde mais payée quand même, ils disent :« elloum ba3d el 9dha bed3a » oui ça sert rien de se morfondre ! Ce documentaire est un cri, un cri lancé contre le silence, un silence de tout un pays, un pays qui se dit avant-gardiste, avant-gardiste comment, de quelle manière et dans quel sens je l’ignore. Un cri lancé contre les médias qui ne font pas ce qu’ils devront faire, que sait-on du SIDA autre que les quelques notions enseignés seulement en 3 ème année secondaire (9 ème année de l’enseignement de base) pour ceux qui n’ont pas suivi la filière scientifique ! Un cri contre le silence qui règne dans les foyers, Non on doit pas en parler.. c’est tabou ! des traditions qui se sont enracinés alors que la religion elle-même favorise le dialogue, et ne favorise pas la pudeur pour ce genre de questions.. mais que faire face à une société qui préfère se mentir à elle-même plutôt qu’avouer son mal, que faire « lorsque même quand on fournit un minimum d’effort pour informer les gens à travers une émission télévisée qui porte sur ce virus et les rapports sexuels, un « bon père de famille » ricane en disant que c’est pas bon à voir en présence de sa fille et de son épouse parce que ça parle de sexe, alors qu’il se gêne pas de regarder les spots publicitaires de NANA non allergiques et qui absorbent les odeurs » c’est ce que l’un des amis de Jimmy a remarqué, et combien il a raison !La volonté est pourtant là ! on a montré des membres de l’association des maladies sexuellement transmissibles et du sida, dans une classe d’un lycée entrain de montrer aux élèves comment ça se transmet, et la façon dont on utilise le préservatif. Un cri contre les statistiques.. on en est à 1500 cas dont 500 décès, et si on compte les non déclarés, ceux qui sont allés se soigner à l’étranger et autre exemples, on est à 8000 cas ! Un cri contre ceux qui voient les malades comme des paralysés, comme des sous-hommes, comme inexistants ! C’est aussi un cri contre les malades eux même, qui estiment qu’ils doivent garder le silence pour punir des autres, comme eux même ont été puni, « on me l’a pas signalé, alors pourquoi devrais-je le signaler à mon tour » Certains diront que c’est assez « cru », avec de « gros mots », personnellement je suis contente que ce fût le cas dans ce documentaire particulièrement, ils ont été spontanés, sincères, mais surtout loin d’être silencieux… A la sortie du film, j’ai entendu un garçon dire à son ami en guise de commentaire : « s’il avait été clubiste, il n’aurait pas attrapé cette maladie… hahaha» c’est parce qu’on avait montré Jimmy au stade en tant que espérantiste, et le garçon c’est tout ce qu’il a retenu, eh oui on en est encore loin… | |
| | | lilia Homo Addictus
Nombre de messages : 1290 Age : 39 Date d'inscription : 04/02/2008
| Sujet: Re: Doc à Tunis 2009 3/4/2009, 12:29 | |
| - Belial a écrit:
- Il parait que le 4ème Art fait partie des salles aussi, mais je ne l'ai pas vue mentionnée dans le site. En tout cas demain (ou plutôt aujourd'hui) Vendredi, j'y serais à 18h30.
si Belial, y'en a : http://docatunis.nesselfen.org/mod09.php?page=programme c'est juste qu'au lieu de mettre vendredi, il l'ont mis samedi sinon mes films à moi seront pour le dimanche vu que j'ai à faire le samedi : * l'événement spécial : Farah réalisé par Frédérci Mitterrand au Mondial à 15h " En janvier 1979, la révolution islamique entraînait la chute du régime du Shah d’Iran. Farah Pahlavi, dernière Impératrice d’Iran, vit en exil depuis bientôt trente ans. Malgré l’éloignement de son pays natal et les menaces constantes qui pèsent encore sur elle et ses enfants, elle continue à défendre la mémoire de son mari, Reza Shah. Ce documentaire éclaire de façon inédite le parcours hors du commun de l’épouse du Shah, et la suite d’événements extraordinaires, à la fois exaltants et douloureux, qui ont jalonné sa vie."* Bent Eddar au Cinémafricart à 16H30 de Fatma Chérif " Thouraya travaille comme femme de ménage dans la maison de mes parents. Je la suis dans ce lieu qui délimite notre familiarité, nos conversations tournent autour du rapport entre les hommes et les femmes, du désir, du droit à l’avortement, de la science, de la religion... Autant de sujets qui nous distinguent en soulignant nos origines sociales différentes. Autant de sujets qui nous rapprochent malgré tout...» et je ne sais plus quoi d'autres ! | |
| | | lilia Homo Addictus
Nombre de messages : 1290 Age : 39 Date d'inscription : 04/02/2008
| Sujet: Re: Doc à Tunis 2009 6/4/2009, 00:47 | |
| Farah
je suis allée voir le documentaire sans connaître grand-chose sur sa vie sinon qu’elle a épousé le shah Reza qui est tombé amoureux et ensuite s’est marié avec Soraya, oui Soraya elle, je connaissais son histoire, quand mes parents parlait d’elle c’était avec enthousiaste qu’ils le faisaient et après avoir vu le film retraçant sa vie, j’ai compris pourquoi, moi aussi je suis tombée sous son charme et le charme de son histoire, de sa vie loin d’être toute en rose, de façon que j’ai eu comme une sorte « rancune », du dépit peut-être envers celles qui lui ont succédé à savoir Faouzia et Farah Diba.
En présentant son film, Frédéric Mitterrand avait dit :« on peut ne pas être d’accord avec ce qu’elle dit ou ne pas la croire,mais cela serait faire preuve d’ignorance et d’intolérance que de ne pas l’écouter ! »
Elle a commencé son récit en disant, qu’elle n’aime pas beaucoup en parler, qu’elle n’aime pas se plaindre et pour ne pas le faire à chaque fois elle se rappelle d’un ami à elle qui disait : « i hate the persons who feel sorry for themselves »
Elle admire le shah pour ce qu’il était, pour l’image de l’Iran qu’il essayait de peindre, pour tout ce qu’il n’a pas eu le temps de faire. N’est ce pas sous son règne qu’il y a eu le mouvement de la femme.
Elle raconte son enfance, son adolescence, sa famille, son amour pour son père mort alors qu’elle n’avait que 9ans, le dévouement de sa mère et son sérieux quant à l’éducation de sa fille, qui l’encourageait à poursuivre ses études, d’ailleurs Farah elle-même refusait tout engagement avant qu’elle ne les termine.
Elle fait la connaissance de celui qui sera son futur époux en France où elle suivait ses études d’architecture, elle faisait partie de la délégation d’étudiants iraniens, elle était toute fière et heureuse de l’avoir salué et parlé racontait-elle à sa mère, il semblait fort, beau, imposant mais avait une telle tristesse au fond des yeux… lui aussi séduit à son tour par sa personne, son naturel, et son intelligence, impressionné par le fait qu’elle avait suivi des études d’architecture, chose non très courante pour une fille et iranienne de surcroît ! ils commencent à sortir ensemble pour ensuite la demander en mariage, pour elle c’était le coup de foudre et c’était un oui sorti tout direct, un oui franc et sans aucune hésitation ! elle devient reine d’Iran…
Elle raconte les différents périples, les bassesses comme il y en a dans chaque coure, elle raconte son amour pour son peuple et sa patrie,comment avec son mari, ils aspiraient à un Iran qui soit modéré, ouvert et en progrès incessant. Mais voilà que les religieux islamistes aidés par les communistes qui ne voulaient pas de la monarchie, prennent en un an le dessus contraignant le shah ainsi à l’exil, quittant son pays et tout pour ce dont il a sacrifié sa vie, les larmes aux yeux, la tête haute malgré tout ! Pendant leur exil, elle se rappelle que le Shah lui avait dit : « je ne t’ai jamais senti autant ma femme qu’en ce moment » et elle avait été tellement touchée par cet aveu, heureuse certes, mais aussi peinée d’avoir découvert qu’auparavant elle était occupée par ses « tâches » de reine et d’impératrice, de telle manière qu’elle avait tendance à ne pas faire attention à son couple.
Elle raconte sa douleur et son amertume, se sentant déracinée, désirant toucher sa terre et saluer les femmes iraniennes qui l’aiment tellement, tout cela à cause de ces personne qui sous couvert de démocratie, ont réussi à manipuler la population, pire même, des criminels qui au nom de la religion se croient tout permis…
Sabiha Un documentaire tunisien réalisé par Samed Hajji, un documentaire qui donne la parole à une femme de 44 ans, sabiha, « artiste illettrée »dans une région du nord-ouest de la Tunisie.
Un documentaire de 24minutes à travers lequel, on oublie notre monde, notre bulle et notre vie à nous pour faire un saut dans d’autres lieux, pour un avoir aperçu de ce que c’est qu’une vie difficile, de ce que c’est que des rêves non réalisés, des ambitions avortées, et des désirs inavoués.
Un aperçu de ce que c’est que l’âme d’un artiste, qui ne vit qu’à travers son art et que par lui, la poterie ! Elle dit que cette boue qu’elle a entre les mains c’est ce qui constitue son essence même.
Elle seule subvient aux besoins de toute la famille composée de sa mère, son frère inactif et invalide suite à un accident, sa belle sœur et leurs enfants. Quant à elle, elle ne s’est pas mariée, tous ses prétendants voulait qu’elle « quitte » son travail, qu’elle ne fasse plus de la poterie, elle dit, qu’ils ne comprennent pas ce que cette boue est pour elle, ils ne comprennent pas son art et elle refuse de le laisser tomber, d’où son refus, maintenant elle se dit que « son train a déjà sifflé ».
Elle dit qu’elle ne peut savourer les moments joyeux, qu’elle ne peut rire, et si jamais elle le fait, elle se demande pourquoi l’avoir fait, par contre, ses larmes en tendance à couler facilement, et alors elle se sent apaisée…
Bent Eddar, Un documentaire réalisé par Fatma Chérif. En regardant ce documentaire, on a comme l’impression qu’il aurait pu être réalisé par chacun d’entre nous, la caméra aura peut-être changé « d’angles » selon les orientations propres de celui qui la tient, mais l’idée directrice sera la même.
C’est dans sa maison à elle que tout se passe, dans la maison parentale de la réalisatrice, tenant sa caméra, et allant de chambre en chambre tantôt suivant la femme de ménage « thouraya » , le personnage principal, tantôt revenant au salon pour filmer ses parents avec leur amis entrain de parler de choses et d’autres…
Ce sont surtout les passages marquants la vie de la femme de ménage qui intéressait la réalisatrice, on le sentait par sa façon dont elle posait ses questions, et sa manière d’aborder les différents sujets avec elle.
Il y a eu un peu de tout, je ne dirais pas un échange au vrai sens du terme, ou du moins s’il le eut été c’est que c’était assez « unilatéral » si on veut.
Elles ont parlé de la virginité, et son importance dans la ville natale de thouraya au point qu’à une certaine période, elle pensait que le fait de sortir avec des garçons, ou « akel hajét el sghar kima el bouss walla haja » 9lét hiya, risquait de lui faire perdre sa virginité, chose à laquelle elle tient parce que sans , elle ne pourra plus rien faire, ni mariage, ni avenir..
Elles ont parlé de fantasmes et de désirs, thouraya est mariée, et dit « qu’elle n’en a envie qu’une fois tous les 3 mois, quand elle se sent en forme, ki tebda chéykha » elle dit qu’elle pense être « froide dans son corps » ou peut-être la faute est à son mari, réfléchit-elle, elle se le demande, « de toute les manières c’est sans importance »
Elle raconte sa nuit de noce, comment son mari, n’avait pu le faire durant les 5 ou 6 premiers jours, et elle rit :-)
Elle raconte, qu’après tout qu’est ce qu’une jeune fille aspire de son mariage autre chose que de trouver un mari, qui ne soit ni alcoolique, ni coureur de jupons, qui soit gentil avec elle, qu’ils s’entraident, et fin de l’histoire .
Elle raconte comment sa mère avait épousé son père avant même qu’elle n’ait eu ses règles, et qu’avant de dormir, son père chantait des berceuses à sa jeune épouse.
Elles ont parlé de religion, exposant chacune,Thouraya et Fatma son point de vue, cette dernière affirmant qu’elle ne croit qu’en la science parce qu’elle lui apporte des preuves concrètes, chose que la religion ne peut faire, alors thouraya lui demande comment l’homme a-t-il été crée sinon que par le fait d’un Dieu, Fatma rétorque qu’il y a la théorie du « singe » finalement thouraya lui dit : garde ta science pour toi et laisse la religion tranquille !
Elles ont parlé de l’avortement, et alors une deuxième femme de ménage avait dit que son père interdisait à sa mère qu’elle utilise l’appareil, il préfère qu’elle avorte, et alors thouraya a répondu : « il a dû avoir peur qu’elle ne perde son appareil sexuel avec hahahah », la fille elle, elle était plutôt contre l’avortement « car après tout c’est une vie qu’on tue » disait-elle. Fatma a aussi filmé sa famille parlant de cette question puisque c’est de sa sœur dont il s’agit, et comment grâce à Bourguiba, c’est devenu un acquis des plus précieux.
Un documentaire qui ne manque pas de spontanéité je dirais. | |
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| | | | Doc à Tunis 2009 | |
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