[MONDE] ENVIRONNEMENT - CRISE & RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE

Pour une fois qu'un pays arabe fait parler de lui en des termes positifs

Spoiler:

http://www.lemonde.fr/sciences-et-environnement/article/2008/01/21/abu-dhabi-lance-un-projet-de-ville-ecologique-modele-en-plein-desert_1001779_3244.html

Si ca se concretise .. c'est une bonne nouvelle

quand les finances se mettent en noce avec les sciences
une innovation à suivre

Homo Habilis Nombre de messages : 507 Date d'inscription : 10/07/2007

faut noter que c dans le golf ou il y a le plus d'emission de CO2 per capita!!! (ils sont bien loin devant les americains)

Autre projet de ville écologique, Perpignan (sud de la France) réalisera au cours de l'année 2008 des travaux pour le plus grand chantier solaire au monde à engager une ville vers l'énergie positive : 100% de son électricité fournit par des énergies renouvelables d'ici 2015.

Spoiler:

Belle ambition ! Souhaitons qu'elle soit mise en oeuvre jusqu'au bout.

Rappelons l'intérêt du développement durable et des nouvelles stratégies économiques d'approvisionnement : le nucléaire basé sur la fission de l'uranium est, comme le pétrole, voué à la disparition, faute d'uranium (d'ici à 60 ans au rythme actuel mais sans doute plus vite si d'autres pays se mettent à faire du nucléaire).
En attendant la maitrise de la fusion nucléaire avec le projet ITER (L'International Thermonuclear Experimental Reactor est un projet de réacteur expérimental à fusion nucléaire -à ne pas confondre avec la fission nucléaire. L'objectif de ce type de réacteur est d'obtenir un moyen de production énergétique massive, car l'aboutissement à un projet industriel permettrait d'exploiter une source d'énergie quasi inépuisable et peu polluante) il faut absolument investir massivement dans toutes les énergies renouvelables.

Sujet: Global Earth 11/9/2008, 14:15

"Nouveau monde, nouvelles normes, nouvelle civilisation du risque".

La troisième édition de l'Université de la Terre("Global Earth" en anglais) se tiendra au siège de l'UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture) à Paris en France, les 18 et 19 octobre 2008, et aura pour thème "Réinventer le Progrès".

Cette rencontre internationale entre l' "économie" et l' "écologie" a pour objectif de réconcilier les intérêts respectifs de tous les participants au profit du bien-être des hommes et du respect des équilibres écologiques. Plus de 10,000 visiteurs, dirigeants du monde économique, intellectuels, experts, leaders d'opinion, étudiants, etc., sont attendus. La participation du public à cet événement est gratuite, sur la base d'une inscription préalable et en nombre limité.

Dernière édition par Phidias le 31/12/2008, 20:23, édité 2 fois

[MONDE] ENVIRONNEMENT - CRISE & RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE 20080923-glacier-m

À l'ouest du Groenland, le glacier d'Ilulissat, classé au patrimoine mondial de l'Unesco, poursuit son recul de plusieurs kilomètres. Ce site est l'un des exemples les plus frappants du réchauffement climatique observé dans l'Arctique

Citation :: Mardi 23 septembre 2008
FRANCE 24

Un désert de glaces défile à travers le hublot de l'hélicoptère survolant à basse altitude le panorama grandiose du fjord d'Ilulissat, à l'ouest du Groenland, une merveille classée au patrimoine mondial de l'Unesco.

L'appareil se pose sur un promontoir de granit au bord de Kangia, --nom du fjord d'Ilulissat en groenlandais-- offrant un paysage saisissant de sculptures de glaces enchêvétrées, qui avancent à 2 mètres à l'heure vers la mer, pour y déverser des icebergs impressionnants.

Au loin se profile le front imposant du glacier d'Ilulissat (Sermeq Kujalleq en groenlandais) qui poursuit inexorablement son recul de plusieurs kilomètres, en vêlant avec un fracas assourdissant une cascade de morceaux de glace, un des exemples les plus frappants du réchauffement climatique observé dans l'Arctique.

"Nous ne pouvons plus pêcher et chasser comme avant car la glace dans la baie n'est plus aussi épaisse que par le passé", reconnaît Erik Bjerregaard, directeur d'hôtel à Ilulissat, qui, comme nombre d'habitants d'Ilulissat, a ses propres chiens pour ses randonnées en traîneau en hiver.

Site le plus visité du Groenland, tant par les touristes que par les scientifiques et personnalités politiques de par le monde, ce grand glacier fissuré par des mares d'eau bleu-émeraude est "malade", selon les glaciologues.

Il est en passe de se désintégrer selon des estimations récentes des scientifiques américains qui analysent quotidiennement des images satellites de la Nasa.

Poursuivant sa contraction, reculant de quelque 15 km au cours des 5 dernières années, sa bordure n'avait jamais été aussi loin à l'intérieur des terres en 150 ans d'observations et de relevés topographiques.

Selon Jason Box professeur associé au département de géographie de l'université de l'Ohio, ce glacier ne s'est pas contracté aussi loin depuis au moins 4.000 à 6.000 ans.

Glacier le plus actif de l'hémisphère nord, il produit 10% des icebergs du Groenland, ou quelque 20 millions de tonnes de glace par jour. Il est le plus rapide aussi (plus de 40 mètres par 24 heures).

A 250 km au nord du cercle arctique, Ilulissat, village aux maisons colorées au bord de la baie de Disko parsemée d'icebergs, les quelque 4.500 habitants et presqu'autant de chiens ont ressenti eux-aussi le réchauffement du climat.

Au port, l'un des plus importants pour la pêche à la crevette et de flétan les pêcheurs sont contraints d'aller de plus en plus loin pour attraper leurs prises.

"A cause de climat plus chaud" constaté au cours des 10 dernières années, "il y a de plus en plus de baleines, comme la baleine à bosse dévoreuse de plancton dont se nourrit aussi le flétan qui se raréfie", se lamente un pêcheur, Karl Thomasson.

Ce réchauffement est confirmé par le Centre américain de données sur la neige et la glace (NSIDC, National Snow and Ice Data Center), qui a relevé que l'étendue de la banquise en Arctique a atteint un niveau minimum, le 12 septembre, de 4,52 millions de km2.

Un niveau s'approchant du record de 4,13 millions de km2, atteint l'an dernier contre 7,7 millions de km2 de 1979 à 2000.

C'est le second niveau le plus bas enregistré par le NSDIC depuis 35 ans lorsque le centre a commencé à photographier en 1979 la glace par satellite.

Les glaciers du Groenland fondent maintenant deux fois plus rapidement qu'il y a deux ou trois ans, selon des mesures par radar et satellites, constate le professeur Soeren Rysgaard de l'Institut de ressources naturelles du Groenland à Nuuk.

Pour le chercheur danois Abbas Khan, à l'institut de recherche spatiale de Copenhague, qui étudie sur le terrain le mouvement des glaciers groenlandais, "la glace fond maintenant dans certains endroits sur la côte-est quatre fois plus rapidement qu'avant".

La rubrique est alarmiste et catastrophiste. Mais la nature ne connaît pas les frontières et jeux et enjeux géo-politiques. S'informer de ce qui se passe loin de soi pour comprendre les décisions en faveur de l'environnement et d'un Développement Durable et Responsable.

y en a marre de nous culpabiliser avec cette histoire de réchauffement machin..
claude allègre avait raison de dénoncer cette arnaque

ben oui tu as raison manchou, on n'a qu'à continuer la déforestation des espaces verts, produire plus de gaz à effet de serre, après tout on s'en branle nous il nous reste combien de temps à vivre 60 ans tout au plus, la terre restera vivable d'ici là.

... le jour où l'humanité a épuisé le produit global de la Terre

Citation :: LE MONDE | 24.09.08 | 14h08 • Mis à jour le 24.09.08 | 14h08

Mardi 23 septembre, rien n'a changé dans le quotidien des Terriens. Pas de pénurie dans les magasins d'alimentation, pas de coupure d'eau ou d'électricité inhabituelle. Pourtant, selon l'organisation non gouvernementale canadienne Global Footprint Network, le 23 septembre, un événement important a eu lieu. C'était le "Global Overshoot Day", littéralement "le jour du dépassement global". Il signifie que, entre le 1er janvier et le 23 septembre, l'humanité a consommé les ressources que la nature peut produire en un an. A partir du 24 septembre, et jusqu'à la fin de l'année, l'humanité vit en quelque sorte au-dessus de ses moyens. Pour continuer à boire, à manger, à se chauffer, à se déplacer, elle surexploite le milieu naturel et compromet sa capacité de régénération. Elle entame donc son capital.

Le "jour du dépassement", image destinée à frapper les esprits, a été inventé par les créateurs du concept d'empreinte écologique. Dans la foulée du Sommet de la Terre de Rio, en 1992, les universitaires William Rees et Mathis Wackernagel ont mis au point une méthode permettant de mesurer l'impact des activités humaines sur les écosystèmes. Il s'agit de quantifier les surfaces biologiquement productives nécessaires pour construire villes et infrastructures, pour fournir les ressources agricoles, aquatiques et forestières que nous consommons et pour absorber les déchets que nous produisons, y compris le CO2 issu de la combustion des énergies fossiles. L'unité de mesure utilisée pour calculer l'empreinte écologique d'un individu, d'une ville, ou d'un pays est l'"hectare global", dont les capacités de production et d'absorption de déchets correspondent à la moyenne mondiale.

Selon les calculs de Global Footprint Network, les besoins de l'humanité ont commencé à excéder les capacités productives de la Terre en 1986. Depuis, sous l'effet de l'augmentation de la population mondiale, la date à laquelle l'humanité a épuisé les ressources théoriquement produites en un an n'a cessé d'avancer. En 1996, notre consommation dépassait de 15 % la capacité de production du milieu naturel, et le "jour du dépassement" tombait en novembre. En 2007, c'était le 6 octobre.

DISPARITÉS

L'outil utilisé par le Global Footprint Network permet de quantifier l'évolution de la consommation de ressources dans le temps et de sensibiliser aux conséquences de leur surexploitation. Il autorise aussi des comparaisons entre régions du monde. Les habitants des Emirats arabes unis ont l'empreinte écologique la plus élevée : chaque habitant consomme chaque année l'équivalent de 12 hectares globaux. Les Américains les suivent de près, avec 9,5 ha. La France se situe au 12e rang mondial, avec un peu moins de 6 ha. Les habitants du Bangladesh, de la Somalie et de l'Afghanistan sont les plus petits consommateurs de ressources au monde, avec moins d'un demi-hectare.

Gaëlle Dupont

Depuis 22 ans nous vivons comme des flambeurs, avec une tendance à consommer toujours plus des ressources que ... nous n'avons plus. Faut-il que la moindre goutte d'eau soit payante, que chaque humain porte un masque à oxygène pour vivre, que l'agriculture ne soit que synthétique et plus jamais naturelle ...
La problématique est de trouver l'équilibre entre des modes de vie et des ressources, avec une approche globale et non chaque pays fait selon ses envies.

El_Manchou a écrit:: y en a marre de nous culpabiliser avec cette histoire de réchauffement machin..
claude allègre avait raison de dénoncer cette arnaque

Horreur ! El Manchou se range derrière un jospiniste pour esquiver un sujet chmeta

Si personne n’intervient, le changement climatique pourrait accélérer l’extinction de plus d’un million d’espèces en à peine 50 ans

En ce qui concerne la population humaine, le changement climatique met en péril nos ressources en eau ainsi que la productivité agricole. D’ici 2020, entre 75 et 250 millions d’individus dans le monde devraient manquer d’eau.

Partout dans le monde, les glaciers ne cessent de fondre à une vitesse impressionnante. La fonte rapide des glaciers de l’Himalaya dans les régions de l’Inde, du Népal et de la Chine va entraîner des inondations et des avalanches majeures.

À proximité de l’équateur, les populations connaissent déjà de gros écarts de précipitations tandis que le niveau de la mer menace les quelque 643 millions d’individus qui vivent en région côtière. Et comme c’est souvent le cas, ce sont d’abord les familles les plus pauvres qui risquent de souffrir le plus du changement climatique.

Aujourd’hui, la déforestation constitue l’un des facteurs majeurs du changement climatique. Elle est responsable chaque année de 25 % des émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial (soit plus que les émissions de tous les autobus et camions du monde entier réunis).

L’une des solutions pour réduire les effets du changement climatique serait d’éviter la déforestation et de revaloriser nos forêts. Aujourd’hui, près de 14 millions d’hectares de forêts sont détruits chaque année et environ 100 tonnes de dioxyde de carbone relâchés dans l’atmosphère par hectare détruit.

Pour assurer l’avenir de notre planète mais aussi celui des générations futures (dont les enfants et petits-enfant d'El Manchou), Conservation International encourage une éthique mondiale reposant sur des décisions éclairées, des actions quotidiennes, la réduction significative des émissions de gaz à effet de serre et le développement de sources d’énergie de substitution mais aussi des politiques pertinentes en matière d’environnement.

Cet été, les passages du nord-ouest et du nord-est de l'Arctique ont été, pendant plusieurs semaines, libres de glaces, a annoncé l'Agence spatiale européenne. Une première depuis les débuts de l'observation satellitaire, il y a 30 ans

Citation :: Lundi 06 octobre 2008
Par AFP

La banquise arctique, qui a enregistré en août la deuxième plus forte fonte pour la saison d'été depuis le début des observations satellitaires il y a 30 ans, a totalement disparu dans les deux passages en septembre. "C'est la première fois, selon nos archives, que ces deux passages historiques ont été ouverts la même année", a souligné dans un communiqué le responsable scientifique du Centre national américain de glaciologie (NIC), Pablo Clemente-Colon. Ils se sont tous les deux refermés le 22 septembre.

La branche la plus longue du passage du Nord-Ouest, la voie Amundsen, proche des côtes canadiennes, a été ouverte dès juillet. La branche la plus directe, un peu plus au Nord, était devenue navigable le 18 août, selon les observations réalisées notamment avec le satellite européen Envisat.

Quant au passage du Nord-Est, il est devenu libre le 5 septembre avec l'ouverture du détroit de Vilkitski, selon l'Esa. C'est la deuxième année consécutive qu'il est ouvert.

L'ouverture de ces passages à la navigation permettrait aux navires marchands des économies de temps et de fuel dans les transports entre l'Europe et l'Asie, réduisant le trajet de plus de 4.000 km.

Des mesures effectuées le 26 août montraient que la superficie de la banquise n'était que de 5,26 millions de kilomètres carrés, soit moins que les 5,32 millions de km2 enregistrés le 21 septembre 2005, deuxième record de fonte estivale de l'Arctique.

Le record absolu de fonte a été atteint en 2007, avec seulement 4,24 millions de km2 de banquise restant à la fin de l'été.

Moins de glaçons qui flottent sur les océans ... c'est plus de place pour les navires. Et des routes plus courtes. Les catastrophes ont leurs avantages aussi ...

... et du pétrole à extraire du sous sol marin!

El_Manchou a écrit:: y en a marre de nous culpabiliser avec cette histoire de réchauffement machin..
claude allègre avait raison de dénoncer cette arnaque

La controverse existe sur le réchauffement climatique. Mais de plus en plus d'études confirment un sérieux impact depuis le siècle dernier. C'est donc de moins en moins une arnaque. Ne tardons pas à en comprendre les conséquences pour nous.

Spoiler:

Le changement climatique favorise la propagation de maladies infectieuses

Le changement climatique favorise la propagation de maladies infectieuses qui pourraient faire des ravages parmi les animaux et les hommes, ont averti des experts de la Société pour la conservation de la faune sauvage, mardi à Barcelone.

Citation :: AFP - mardi 7 octobre 2008, 14h35
"La plus grande menace du changement climatique est peut-être la propagation de maladies émergentes", a déclaré Steven Sanderson, président de cette ONG (Wildlife conservation society) basée à New York.

Une liste de 12 agents pathogènes - comme le virus Ebola ou le H5N1 de la grippe aviaire - a ainsi été établie dans un rapport de cette organisation présenté lors du congrès de l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) sur la biodiversité.

Intitulé "La douzaine mortelle: les maladies de la faune sauvage à l'heure du changement climatique", ce rapport donne des exemples de maladies infectieuses qui pourraient exploser à la suite d'un changement de températures ou d'une augmentation des niveaux de précipitation.

Parmi les cas évoqués figurent la peste et le choléra, les parasites externes et intestinaux, la tuberculose et la fièvre jaune, la maladie du sommeil et la maladie de Lyme, transmise par un tique parasite qui suce le sang des mammifères ou encore les "marées rouges" dues à la prolifération d'une microalgue (Karenia brevis) produisant une neurotoxine.

"Toute perturbation dans l'environnement a des effets immédiats sur les animaux sauvages parce qu'ils ne peuvent pas s'adapter rapidement", a souligné à cette occasion le docteur William Karesh, qui a participé à l'étude.

Cette liste de 12 maladies est "juste un échantillon", a-t-il souligné, précisant qu'elles avaient été sélectionnées en raison de leur impact potentiel sur la santé humaine.

Les risques sont encore à l'étude. Mais autant savoir rapidement le genre de conséquences dont s'inflige l'homme en laissant filer au delà du point de non retour le réchauffement climatique.

Les catastrophes naturelles en 2008 : 220 000 morts et 200 milliards de dollars de dégâts

Citation :: Infographie
LEMONDE.FR | 30.12.08 | 17h04 • Mis à jour le 30.12.08 | 17h09

A l'heure des bilans de fin d'année, celui-ci, tragique, nous fait prendre conscience de la crise mondiale dans le secteur de l'Environnement. Faisons en sorte que ce siècle soit celui d'actions responsables et de notre réconciliation avec la Nature ...

maintenant que le pétrole a baissé fortement, on va recommencer à polluer sans complexes Very Happy

Ghoul a écrit:: maintenant que le pétrole a baissé fortement, on va recommencer à polluer sans complexes

Hélà oui à court terme, toutefois la baisse du pétrole est provisoire. Son coût va retrouver un plus haut niveau, ce qui est fortement souhaitable pour inciter à développer d'autres Energie, dont l'Energie Solaire..

Phidias a écrit:

Ghoul a écrit:: maintenant que le pétrole a baissé fortement, on va recommencer à polluer sans complexes

Hélà oui à court terme, toutefois la baisse du pétrole est provisoire. Son coût va retrouver un plus haut niveau, ce qui est fortement souhaitable pour inciter à développer d'autres Energie, dont l'Energie Solaire..

Ce qu'il faut développer c'est comment stocker l'électricité produite par les panneaux solaires pour pouvoir utiliser la nuit l'électricité accumulée pendant la journée.
Sinon il y a des idées sympa du style on utilise les déchets ménagers pour servir de combustible dans les centrales thermo-électriques ça permet de faire d'une pierre deux coups.

Sinon pour les sceptiques du réchauffement climatiques, le taux de CO2 et de méthane ont atteint une valeur jamais égalée depuis au moins 800000 ans (d'après les forages glaciaires) et ça a augmenté depuis l'essor de l'industrie soit à partir du 19ème siècle.
Pour ceux qui pensent que c'est l'activité solaire qui en est la cause (comme Mr Claude Allègre) il y a pleins d'arguments qui ont cassé sa théorie :
1- Le soleil a un cycle de 11 ans de forte et de basse activité et on n'en voit pas la répercussion sur le taux de gaz à effet de serre.
2- quand le réchauffement climatique est du au soleil ça touche d'abord la haute atmosphère puis la basse, quand c'est l'activité humaine c'est l'inverse, et ce qu'on observe c'est que c'est plutôt la basse couche atmosphérique qui se réchauffe en premier.

Ces données sont confirmée depuis les années 1970 grâce aux mesures prélevées grâce aux satellites.

Qui sont les climatosceptiques ? soit les lobbies pétroliers, les producteurs de voitures, en gros ceux qui polluent et que ça n'intéresse pas qu'on réduise la production de gaz à effet de serre. Sinon une autre catégorie ce sont de vieux scientifiques américains anti communistes qui considère les écologistes comme des néo communistes, anti capitaliste et anti américains.
Leurs méthodes : un peu comme les religieux qui sont contre la théorie de l'évolution, les producteurs de cigarettes qui étaient contre les théories selon lesquelles le tabac causerait les cancers du poumon les méthodes de ces gens consistent à critiquer les travaux de recherches de leurs ennemies, trouver la faille dans l'article, dire que les méthodes ne sont pas rigoureuses donc on est pas sur et il faut tout rejeter en attendant que ça se fasse mieux.

(mes sources l'avant dernier journal la recherche sur l'effet de l'activité solaire sur le réchauffement climatique et la conférence de jean jousel prix nobel de la paix et physicien)

Hmm oui la situation devient critique.
Hier sur bbc on a annoncé que le grand récif corallien est a son plus bas taux de croissance depuis 400ans, Causes ? Échauffement climatique et acidité de la mer en constante augmentation.
C'est très inquiétant, les récifs coralliens étant des zones de biodiversité extraordinaire !

[MONDE] ENVIRONNEMENT - CRISE & RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE _45340704_death3hr

[MONDE] ENVIRONNEMENT - CRISE & RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE _45340704_death3hr

source

En fait l'acidité des océans est liée au taux de co2 dans l'atmosphère, plus il y en a plus l'eau en absorbe et ça la rend plus acide.

supracrevette a écrit:: En fait l'acidité des océans est liée au taux de co2 dans l'atmosphère, plus il y en a plus l'eau en absorbe et ça la rend plus acide.

Oui ! D'autant plus qu'il y a des solutions pour diminuer les emissions de co2, et qui consistent a le noyer dans les oceans !

Holy Trousers a écrit:

supracrevette a écrit:: En fait l'acidité des océans est liée au taux de co2 dans l'atmosphère, plus il y en a plus l'eau en absorbe et ça la rend plus acide.

Oui ! D'autant plus qu'il y a des solutions pour diminuer les emissions de co2, et qui consistent a le noyer dans les oceans !

S'il y a trop de co2 dans l'eau, ça veut dire trop d'acidité et donc des espèces pourraient mourir et enchainer un dérèglement de l'écosystème. La solution est de réduire les émissions (où au moins pas les augmenter).

Homo Genius Nombre de messages : 2119 Date d'inscription : 03/07/2007

sans oublier que le jour où l'océan ne pourra plus en absorber, il rejettera tout ...

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