Sacré nom d'une pipe

Un peu d'histoire

Egypte antique : les prostituées égyptiennes sont les premières
femmes à se mettre du rouge à lèvres, pour signaler leur spécialité.
Leur religion encourage cette pratique : c’est en le suçant qu’Isis,
déesse de la fécondité, redonne la vie à Osiris, dieu des morts.

1er siècle av JC : Cléopâtre aurait un jour gagné le surnom de Cheilon («grosses lèvres») en exerçant ses talents buccaux sur une centaine d’hommes de garde.

Babylone : les prostituées phéniciennes aiment enduire de miel les sexes virils avant de les lécher.

1er siècle ap. JC : les Anciens Romains méprisent les fellateurs,
qui «phénicianisent» (se laissent pénétrer dans la bouche). On menace
les voleurs de les «irrumer». «Les voleurs, si je les surprends, je leur mets dans la bouche», signalent les panneaux devant les jardins potagers. Terrible menace assurément.

Vème siècle : chez les catholiques irlandais, la fellation est punie de quinze ans de prison au même titre que l’homicide.

XIXème siècle : Le Grand Larousse donne pour troisième définition du mot «éjaculation» : «courte prière, récitée avec ferveur».

1850 : le Révérend Père Louvel décrit, dans son Traité de chasteté, la fellation comme «une
criminelle profanation de la chair et un abus abominable des organes
génitaux qui dénote un penchant irrésistible à la luxure».

1891 : Verlaine écrit dans son recueil de poèmes Hombres : «Pourléchant le périnée/ Et les couilles d’un mode lent/ Au long du chibre contourné/ S’arrête à la base du gland». Ça rime !

1899 : Clemenceau prononce l’épitaphe suivant à la mort du président Félix Faure dans les bras d’une poule de luxe : «Il s’était cru César et il est mort Pompée !»

1910 : l’Anglais Aleister Crowley publie un traité où il présente
seize manières de «manger» le pénis : comme une asperge, un morceau de
fromage, un épi de maïs...

1966 : France Gall, âgée de 19 ans, chante sans les comprendre (dit-elle) les paroles que Gainsbourg lui a mises en bouche : «Lorsque le sucre d’orge/ Parfumé à l’anis/ Coule dans la gorge d’Annie/ Elle est au paradis».

1972 : sortie du film X Deep Throat (Gorge Profonde) avec Linda Lovelace. L’histoire : une jeune fille s’aperçoit que son clitoris se trouve sur sa glotte.

1986 : Dans le film Le Diable au corps, la jolie Maruschka
Detmers pratique la première fellation non-simulée du cinéma
«officiel». Cette scène lui vaut 857 interviews.

1999 : En hommage à Magritte, le 172ème San Antonio est publié sous le titre Ceci est bien une pipe !
http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/

Citation :

1986 : Dans le film Le Diable au corps, la jolie Maruschka
Detmers pratique la première fellation non-simulée du cinéma
«officiel». Cette scène lui vaut 857 interviews.

ben, c'est une très libre adaptation du bouquin de Radiguet ce film

Contrairement aux catholiques, les musulmans toléraient cette pratique entre mari et femme, à ce que je crois.

Ah la fellation! une pratique vieille comme le monde (comme viennent les dates listées plus haut de le prouver). Qu'elle serve à attiser les préliminaires ou qu'elle se substitue carrément au rapport sexuel , elle demeure une forme de sexualité parallèle, comme le cunnilingus, (tiens par la même occasion, tu ne pourrais pas nous trouver un petit historique à ce sujet aussi supracrevette? :p) qui, à mon humble avis ne pourrait jamais remplacer le plaisir inouï d'un vrai rapport qui, selon moi toujours, représente l'ultime partage du plaisir et de la jouissance.

Aahahahaha je l'aime bien celle la

tsssss.. En tout cas ça ne detend pas celui qui la "fume"

jijigabanna a écrit:

tsssss.. En tout cas ça ne detend pas celui qui la "fume"

Oui c'est vrai

supracrevette a écrit:

XIXème siècle : Le Grand Larousse donne pour troisième définition du mot «éjaculation» : «courte prière, récitée avec ferveur».

pfff n'importe quoi c'est pas mal cela dit

Pour la pipe c'est comme avec tout ce qui tout touche au sexe, faut aimer le faire et ne pas l'aborder avec des préjugés.
@ jiji: pourquoi classer la fellation en "séxualité parallèle"? limiter la sexualité au seul coït est injuste et sert surtout a perpétuer les tabous et autres idées obscurantistes. Je suppose que c'est pas ce que tu voulais dire (sorry ken nchedd 3al kelma) mais ca me gene quand on commence a classer les trucs en normal, parallèle, anormal...

Camellia a écrit:

supracrevette a écrit:

XIXème siècle : Le Grand Larousse donne pour troisième définition du mot «éjaculation» : «courte prière, récitée avec ferveur».

pfff n'importe quoi c'est pas mal cela dit

Pourquoi "n'importe quoi" au contraire le vocabulaire sexuel et celui spirituel est très proche. On parle d'extase, les soufistes en Islam parle de désir et leurs poèmes sont plein d'érotisme. Ils cherchent la communion avec dieu comme la communion entre deux amants. Ils comparent le désir spirituel au désir d'une femme. Freud parle de "sublimation du désir sexuel".

Donc je vois tout à fait la référence à l'éjaculation pour la montée soudaine de ferveur au cours de la prière. Nietsche parle sous un jour moins glorieux des manifestations du phénomène religieux comme perversion dues au dénie du désir sexuel ce qui ne fait que l'amplifier et le dévier. Le refoulement du désir sexuel immédiat de la femme pour un homme qui ne conduit pas à la "sublimation" mais à la déviation du désir sexuel sous des formes "aberrantes".

Dans le panthéon hindous et le gréque, les rapports entre dieux et dieux& mortels sont légion. Il y'à souvent l'histoire du dieu qui plante une graine de sa divinité chez une mortelle. Cette graine peut se manifester en héros ou en Titan.

Pour ne pas faire long, le sexe, la spiritualité, la religion se suivent et se recoupent.

Un extrait du grand Larousse est un article humoristique...

décidément ma "pertinence" et la tienne sont deux droites parallèles dans un espace euclidien.

OverDrive a écrit:

Un extrait du grand Larousse est un article humoristique...

décidément ma "pertinence" et la tienne sont deux droites parallèles dans un espace euclidien.

Non, tu es à côté de la plaque, je ne parlais pas de la définition du Larousse. L'article humoristique, c'est le post de supracrevette. Je ne sais pas où elle l'a déniché, mais j'espère que tu avais compris que tout ce qui y était expliqué n'était pas à prendre au premier degré...

Et puis, on ne parle pas de la pertinence "de quelqu'un" mais de la pertinence d'une parole prononcée, d'une intervention, d'un discours, d'une tirade, etc.

Bref, we're done here.

La prochaine fois que tu met hors sujet ou à côté de la plaque j'en aurais à "ta pertinence" et tu comprendras alors le sens que j'attribue à ce mots. Il y'a des manières et des manières de discuter.

Datura a écrit:

(au passage, Nietzsche n'a strictement rien à voir avec le reste de ton post)

...

Datura a écrit:

Et puis, on ne parle pas de la pertinence "de quelqu'un" mais de la pertinence d'une parole prononcée, d'une intervention, d'un discours, d'une tirade, etc.

T'es ici pour discuter ou pour donner des leçons de français ?

OverDrive a écrit:

La prochaine fois que tu met hors sujet ou à côté de la plaque j'en aurais à "ta pertinence" et tu comprendras alors le sens que j'attribue à ce mots.

Je n'essaierai même pas de déchiffrer.
(NB : une relecture est conseillée avant d'envoyer quoi que ce soit )

OverDrive a écrit:

Il y'a des manières et des manières de discuter.

... dixit Monsieur "j'ironise pour mieux rabaisser".
Ce n'est pas moi qui suis venue te donner une leçon - sur un ton ultra condescendant - à la manière de l'Encyclopédie Universalis avant même d'avoir cherché à saisir où tu voulais en venir. Il serait bon de balayer devant sa porte, de temps en temps...

ça, c'est bas !

J'ai envie d'ecrire quelque chose mais je n'ai rien a dire tellemnt le post de Datura m'a impressione.

Datura a écrit:

OverDrive a écrit:

La prochaine fois que tu met hors sujet ou à côté de la plaque j'en aurais à "ta pertinence" et tu comprendras alors le sens que j'attribue à ce mots.

Je n'essaierai même pas de déchiffrer.
(NB : une relecture est conseillée avant d'envoyer quoi que ce soit )

OverDrive a écrit:

Il y'a des manières et des manières de discuter.

... dixit Monsieur "j'ironise pour mieux rabaisser".
Ce n'est pas moi qui suis venue te donner une leçon - sur un ton ultra condescendant - à la manière de l'Encyclopédie Universalis avant même d'avoir cherché à saisir où tu voulais en venir. Il serait bon de balayer devant sa porte, de temps en temps...

Je n'ai vraiment plus envie de me disputailler parce que je n'ai pas l'intention de donner de l'eau au moulin de la croisade contre les "hommes", ni je suis le type à proposer une opposition dans ta "revanche contre les hommes".
Tu viens de me confirmer que le ton caustique existait bel et bien parce que t'as lu de la condescendance dans mon post. Donc les "t'es hors sujet" et "t'es à côté de la plaque" sont des munitions que tu m'a asséné pour corriger un tort imaginaire ou réel. Il m'arrive de reproche aux gens leur propre tendance à la condescendance, le tour pourrait me revenir des fois. Je ne suis pas parfait mais perfectible.

Et pourtant, je ne mérite pas cette attitude rêche de ta part.

Datura a écrit:

La phrase "je vous laisse entre hommes" était surtout destinée à Phidias pour son total manque de respect à mon égard (sans raison aucune ici). Une attitude, qui, à mes yeux (mais sûrement ai-je une vision assez idéaliste de l'homme) ne peut être le fait d'un Homme, un vrai.

tu sais moi aussi je préfère les hommes, les vrais. D'autant qu'eux savent pratiquer la fellation avec plus de sensibilité et un meilleur tempo que bien des femmes.

Par ailleurs, Datura, sur la forme tu t'exprimes dans un excelent français. Toutefois avec un style un peu trop souvent forcé sur l'exagératoire, empruntant parfois à la pédanterie pour masquer des lacunes argumentaires. Ce qui te rend si drôle et nous pousse à en rajouter Qu'importe, en attendant que l'experte Supra ouvre le sujet sur le cunni, je te fais des bisous

Alors, finalement, c'est ça, ta réponse !?? des petits émoticones puérils pour cacher (en vain) ton embarras, une tentative infructueuse de faire de jolies phrases bien construites, et des critiques absurdes basées sur du néant ? C'est dommage que tu n'élèves pas la barre un peu plus haut en apportant autre chose qu'un post creux, ç'aurait pu devenir intéressant. Mais quelle idée de te surestimer aussi...

Phidias a écrit:

tu sais moi aussi je préfère les hommes, les vrais. D'autant qu'eux savent pratiquer la fellation avec plus de sensibilité et un meilleur tempo que bien des femmes.

Par ailleurs, Datura, sur la forme tu t'exprimes dans un excelent français. Toutefois avec un style un peu trop souvent forcé sur l'exagératoire (?), empruntant parfois à la pédanterie pour masquer des lacunes argumentaires. Ce qui te rend si drôle et nous (?) pousse à en rajouter Qu'importe, en attendant que l'experte Supra ouvre le sujet sur le cunni, je te fais des bisous

C'est bien, tu sembles en connaître un rayon question hommes et fellation... des expériences à partager avec les membres du forum peut être ?

A défaut de t'excuser pour ton irrespect (je n'en attends pas tant de toi, je te rassure) tu pourrais au moins expliquer où se situent exactement mes "lacunes argumentaires" (... que je rigole un bon coup), car, je veux bien qu'une expression quasi parfaite renvoie forcément chez toi à une forme de pédantisme (n'oublie pas qu'Overdrive et moi nous exprimons presque de la même façon, ce serait bien dommage que tu l'insultes aussi dans la foulée...); mais des difficultés à argumenter, vraiment, je ne vois pas. Peut être pourrais tu nous en dire un peu plus là dessus ? Enfin, loin de moi l'idée de t'en demander trop bien sûr, j'ai bien vu que les attaques sans fondement étaient ta spécialité, et que tu préférais faire dans l'humour grossier et lourdaud plutôt qu'apporter quelque chose de constructif (fellation, cunni, et blablabla... on croirait lire un ado boutonneux ). Et puis, juste à titre de précision, le "nous pousse à en rajouter" est inapproprié, à moins que tu sois schizo, la première pers. du sing. était amplement suffisante : tu es le seul à jouer le gros lourd ici, et aussi le seul à rire de tes âneries ; même Holy (que je ne porte pourtant pas dans mon coeur) garde un minimum de correction et de constance dans ses attitudes.

Pour finir, tes bisous, tu peux te les garder hein... J'ai beaucoup de défauts, mais l'hypocrisie n'en fait pas partie.

bént omm'ha !!

Ghasslétou wou chéllétou.

Wallahi na77itli 5amja sghira 3la 9albi, hé si chésmou 9addéch yétla3wék ki 7nach el 5ra wou 9addéch ydarra3 el 5watér


ayya wé7éd ytérjémlou.