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| WESTERN : Multiplicité d’un genre (Cycle mars de CINEFILS EL Hamra – Présentation & Programmation) | |
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ismael Australopithecus
Nombre de messages : 62 Date d'inscription : 08/12/2007
| Sujet: WESTERN : Multiplicité d’un genre (Cycle mars de CINEFILS EL Hamra – Présentation & Programmation) 28/2/2008, 13:16 | |
| - Spoiler:
WESTERN : Multiplicité d’un genre (Cycle mars de CINEFILS EL Hamra – Présentation & Programmation)
Western : nous savons tous ce que signifie ce terme. Mais connaissons-nous vraiment ce genre cinématographique? Son évolution, ses mutations, sa multiplicité ? Mis à part quelques films de Sergio Leone que nous voyons tous les ans à la télévision, que savons-nous, qu’avons-nous vus de la somme immense de westerns produits ? Bien que né et profondément façonné par la géographie de l’Ouest américain, le Western deviendra très vite la mythologie moderne d’une super puissance naissante. Mythologie car elle sublime d’une part la geste collective de la conquête de l’Ouest en en faisant un modèle constitutif de la nation. Mythologie car au sein même de cette sublimation, le dénie du génocide du peuple indien en tant qu’habitant naturel et légitime de ces terres y est aussi constitutif d’un refoulé national. Il est intéressant de noter à ce propos, que la fin du Western en tant que genre coïncide avec l’affirmation progressive dans les films des torts commis envers les indiensainsi que celles envers le Mexique, comme un écho au sein du Western des luttes politiques et la contestation de la guerre du Vietnam pendant les années 60 – 70. Ainsi voir des westerns aujourd’hui est d’une certaine manière comprendre ce qu’est l’Amérique, ou plutôt comprendre rétrospectivement l’évolution de l’idée qu’elle s’est faite d’elle-même à travers le 20ème siècle et celle du regard qu’elle a jeté sur sa propre histoire à travers le médium cinéma. Dans cette perspective, nous avons voulut notre sélection des films aussi éclectique que possible, en commençant le cycle par un grand classique « tardif » puis en le mettant en perspective par 3 grandes œuvres, chacune transgressant le genre. Mardi 4 mars 2008 à 18h30 LA PRISONNIERE DU DESERT de John FORD (1956 - 2h) Avec John WAYNE Mardi 11 mars 2008 à 18h30 LA HORDE SAUVAGE de Sam PECKINPAH (1969 - 2h15) Avec William HOLDEN Mardi 18 mars 2008 à 18h30 LITTLE BIG MAN de Arthur PENN (1970 - 2h20) Avec Dustin HOFFMAN Mardi 25 mars 2008 à 18h30: DEAD MAN de Jim JARMUSCH (1995 - 2h15) Avec Jonny DEPP 40 ans séparant donc notre premier et notre quatrième film : l’un étant un sommet du Western par un maître incontesté, l’autre une relecture décalée à un moment où le genre n’existe plus en tant que telle depuis plus d’une décennie déjà. Aussi, par des choix diversifiés de formes et de contenus, de sujets et de traitements, nous espérons de cette façon lever des idées reçues qui peuvent être liées au Western, à savoir entre autres celle que tous ses films se ressemblent et que quand on en a vu un, on les a tous vu. Rien n’étant plus faux à nos yeux, l’évolution du genre témoignant d’une complexité et d’une multiplicité qui n’ont d’égal que la diversité et les contradictions de l’Amérique elle-même. Ce cycle est proposé en partenariat avec l’ Association Tunisienne pour la Promotion de la Critique Cinématographique, que nous remercions chaleureusement pour son concours. Nous vous rappelons pour finir que comme à notre habitude, chaque long métrage est précédé par un court proposé par L’Agence du Court et du Doc. La sélection de ce mois étant la suivante (dans l’ordre de projection) : Et on a remonté la pente (19min, 2007) de Faouzi Chalbi Contretemps (11min, 2006) de Amine Chiboub Comme un air (9min, 2006) de Yohann Gloaguen Le pâtre des étoiles (22min, 2004) de Mourad Ben Cheikh Par ailleurs, pendant le mois de mars, deux évènements exceptionnels viendront émailler notre activité hebdomadaire du mardi, évènements dont nous vous parlerons plus longuement très bientôt. Quant au mois de d’avril, il sera consacré à un cycle intitulé : Cinéma abstrait : Paradoxes et plasticités. El Hamra – 28, rue El Jazira – 1000 Tunis Tel & Fax : +216 71 320734 Blog de Cinéfils : http://cinefils.over-blog.com/
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| | | Max Maitre du Monde
Nombre de messages : 6294 Age : 104 Date d'inscription : 30/06/2007
| Sujet: Re: WESTERN : Multiplicité d’un genre (Cycle mars de CINEFILS EL Hamra – Présentation & Programmation) 28/2/2008, 13:23 | |
| je connais 3 des 4 films qui seront visionnes LA HORDE SAUVAGE, LITTLE BIG MAN et DEAD MAN | |
| | | Krishna's Child Homo Addictus
Nombre de messages : 1540 Age : 60 Date d'inscription : 31/10/2007
| Sujet: Re: WESTERN : Multiplicité d’un genre (Cycle mars de CINEFILS EL Hamra – Présentation & Programmation) 28/2/2008, 13:34 | |
| il n'y a que dead man que je n'ai pas vu... Mais ca vaut le coup de les revoir! | |
| | | ismael Australopithecus
Nombre de messages : 62 Date d'inscription : 08/12/2007
| Sujet: Re: WESTERN : Multiplicité d’un genre (Cycle mars de CINEFILS EL Hamra – Présentation & Programmation) 10/3/2008, 16:01 | |
| - Spoiler:
Je vois que nous sommes tombés sur des spécialistes ... En tout cas, le cycle continue : DANS LE CADRE DU CYCLE WESTERN : MULTIPLICITES D'UN GENRE, ORGANISE EN COLLABORATION AVEC L'A.T.P.C.C. PROJECTION DEBAT LE MARDI 11 A 18H30 DE
LA HORDE SAUVAGE DE SAM PECKINPAH
LE DEBAT SERA ANIME PAR NACER SARDI (MEMBRE DE L'A.T.P.C.C)
LE LONG METRAGE SERA PRECEDE PAR UN COURT METRAGE TUNISIEN
CONTRETEMPS DE AMINE CHIBOUB
UN DEBAT SE FERA AUSSI SUR LE COURT
EN PRESENCE DE SON REALISATEUR " 1969. Les années 1960 prennent fin, et avec elle sonne le glas de l’American Way of Life, et son de son hégémonie sur le monde. Rétrospectivement, la guerre du Vietnam apparaît comme le début réel de la déliquescence de la toute-puissance de l’après seconde guerre mondiale pour l’Oncle Sam. C’est également rétrospectivement que 1969 marque une date dans le monde du cinéma, et plus particulièrement de ce genre si américain qu’est le western. L’individu seul en butte au monde, le fantasme de la conquête vers l’ouest, le désir de pallier l’absence d’histoire réelle pour une nation avec une histoire fantasmée... Les belles années du genre sont derrière lui, nous dit-on. Et parmi les plus définitifs de ses fossoyeurs, Sam Peckinpah. Peckinpah, le mauvais garçon du western, l’apôtre d’une violence choquante univoque et complaisante, réalise cette année-là un western définitif, La Horde sauvage. Une bande de hors-la-loi, menée par le vieillissant Pike Bishop (William Holden), sévit à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique. Alors que son « dernier coup » - il voulait se retirer - rate complètement, Bishop et sa bande de vieux briscards s’acoquinent avec la junte militaire mexicaine, pour finir par prendre le parti du peuple contre les galonnés, dans une ultime révolte suicidaire. " (Lire l'intégraluté de l'article sur critikat.com, ici.) « J’ai fait La Horde sauvage parce que j’étais très en colère, disait Peckinpah, en colère contre toute une mythologie hollywoodienne, contre une certaine manière de présenter les hors-la-loi, contre un romantisme de la violence. Dans La Horde sauvage ce n’est pas un jeu. J’ai voulu que le public participe à la violence. C’est lui qui tire à la mitrailleuse, et puis tout d’un coup, quand il commence à être excité, je l’oblige à voir la réalité, je le plonge dans le sang, dans la boue, je lui mets le nez dedans. » (Lire l'intégralité de la fiche du film sur le site de la Cinémathèque de Toulouse, ici.) " Trente ans après sa production (1968), le chef d’oeuvre de Sam Peckinpah est enfin visible en France et en salles dans sa version director’s cut. « La Horde sauvage », succès publique et critique n’a pu que souffrir de la reconnaissance entravée de son cinéaste maudit. Peckinpah, s’il est honoré par nombre de ses pairs néanmoins fils prestigieux (Scorsese, Woo, Tarantino, Kitano le revendiquent...), ne possède pas l’aura glorieux des légendes passées. Il est pourtant l’auteur génial de nombre de grands films : à « La Horde sauvage » il faut ajouter « Coups de feu dans la sierra », « Les Chiens de paille », « Pat Garrett et Billy le Kid » ou « Apportez-moi la tête d’Alfredo Garcia » ... Peckinpah revisite par l’achèvement les fondements patriotiques d’une nation. L’Ouest n’est plus. Heureuse et amère car nostalgique, « La Horde sauvage » est l’oeuvre d’un fils de cinéma, fruit d’un mariage tardif entre classicisme et modernité. enfanté par l’aurore et le zénith, mais père du crépuscule. " (Lire l'intégralité de l'analyse sur objectif cinéma, ici.)
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| | | Phidias Homo Pacificus
Nombre de messages : 5257 Localisation : ... dans le désert Date d'inscription : 04/07/2007
| Sujet: Re: WESTERN : Multiplicité d’un genre (Cycle mars de CINEFILS EL Hamra – Présentation & Programmation) 11/3/2008, 00:17 | |
| j'adore La Horde Sauvage un chef d'oeuvre des "films d'hommes" la morale suicidaire du scénario fait du bien au pays des happy end
et dans le genre western, Peckinpah, avec Hawks et Mann, est un de mes réalisateurs préférés
alors ceux qui ont l'occasion, allez-y ! | |
| | | ismael Australopithecus
Nombre de messages : 62 Date d'inscription : 08/12/2007
| Sujet: Re: WESTERN : Multiplicité d’un genre (Cycle mars de CINEFILS EL Hamra – Présentation & Programmation) 14/3/2008, 18:05 | |
| LITTLE BIG MAN d'Arthur PENN
CE FILM SERA PROJETE CE MARDI 18 MARS A 18H30 - Spoiler:
"Plutôt qu'un western, déclarait Arthur Penn, Little Big Man serait un film sur la guerre de colonisation, un film qui se situerait non sur une frontière géographique mais sur des limites mouvantes d'une nation avant tout commerçante. Jack Crabb est moins un personnage de western qu'un visiteur de l'Ouest, un individu qui est entre deux cultures et qui, quoi qu'il arrive, essaie de vivre à l'endroit où il se trouve. Jack Crabb est quelqu'un qui passe toujours à côté des choses, qui reste à l'écart des événements définitifs. Il faut remarquer que toute son histoire part de l'affirmation suivante : je suis le seul survivant blanc de la bataille de Little Big Horn, alors que nous savons, nous, qu'il n'y en eut aucun."
Depuis quelques temps déjà, Arthur Penn rassemblait de la documentation sur la mémoire du peuple indien. Plus de dix ans après son premier film, Le gaucher (1958), il souhaitait renouer avec le western, mais en envisageant d'en contourner la tradition d'une façon ou d'une autre. Il découvre alors le roman de Thomas Berger, Mémoires d'un Visage pâle. L'approche de ce livre correspond assez bien à ses premiers travaux : réfléchir sur l'exploitation des Indiens par les Blancs, sur le caractère "guerre coloniale" de la conquête de l'Ouest. Il déclarera plus tard : "Je me moque de ce qu'on appelle la véritable histoire de l'Ouest, rendue avec les yeux des Blancs." Commence alors un gigantesque travail d'adaptation et des recherches dans les réserves indiennes pour découvrir des vétérans ayant souvenir de la bataille de Little Big Horn, tragique et dernière bataille du major-général Custer qui coûta la vie à son régiment tout entier, en juin 1876 (16 officiers, 252 soldats, 9 civils tués). Les films consacrés à ce personnage et ses exploits véhiculèrent longtemps une vérité officielle basée sur de faux rapports militaires. Ce n'est qu'après la seconde guerre mondiale qu'apparurent des tentatives de remise en cause à partir d'ouvrages historiques sérieux, dégagés de la "pression patriotique". Le scénario de Little Big Man, tourné en 1970, était prêt six ans plus tôt, mais le coût du film a été jugé trop élevé par les Studios, ce qui en a retardé la réalisation. Le fait que l'histoire fasse la part belle aux Indiens aurait également eu un effet dissuasif. Arthur Penn a donc tourné Bonnie and Clyde puis Alice's Restaurant avant de pouvoir mettre en scène cette adaptation du roman de Thomas Berger. Le scénario est signé Calder Willingham. Celui-ci a collaboré avec Stanley Kubrick sur le script des Sentiers de la gloire, ainsi que sur Spartacus, même s'il n'est pas crédité pour ce film. "
Lire la suite de l'article sur dvdclassik.com, ICI)
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| | | ismael Australopithecus
Nombre de messages : 62 Date d'inscription : 08/12/2007
| Sujet: Re: WESTERN : Multiplicité d’un genre (Cycle mars de CINEFILS EL Hamra – Présentation & Programmation) 22/3/2008, 12:03 | |
| DEAD MAN de Jim JARMUSH CE FILM SERA PROJETE LE MARDI 25, A 18H30, EN CLOTURE DE NOTRE CYCLE : WESTERN - MULTIPLICITES D'UN GENRE - Spoiler:
" Dead Man est beaucoup plus qu’un curieux western post-moderne teinté d’un sens de l’humour particulier. C’ est une réflexion fascinante sur la mort, une profonde remise en question du mythe américain, ainsi qu’un vibrant poème sur la beauté de la nature. Le film a aussi le mérite d’explorer la culture amérindienne avec un profond respect de celle-ci, sans la moindre trace d’une morale facile comme celles de The Searchers ou de Dances With Wolves. Mais c’est surtout un voyage fascinant que l’on partage avec William Blake et duquel on sort changé, en regardant la vie d’un œil different. Un voyage qui mérite d’être fait maintes fois afin d’en capturer toutes les subtilités. Dead Man est le chef d’œuvre de Jim Jarmusch, une réinvention du western, un véritable western existentialiste pour être plus précis, qui s’avère être l’aboutissement de son style personnel, ainsi que l’exploration la plus profonde de ses thèmes habituels. Sans aucun doute, l’un des meilleurs films des années 1990, sinon de tous les temps. " (Lire l'intégralité de l'article sur Panorama Cinéma , ici.) " Daté et localisé (1850, Etats-Unis), Dead manest l'histoire d'une progression - ou bien d'une régression - dans un espace et un temps qui ne tiennent ni de la carte ni du calendrier. Le film d'une échappée imposée par un refus et un dégoût de la civilisation blanche et par une nostalgie de l'Amérique précolonisée. De la vision hyperréaliste du début (la ville de Machine comme un véritable cloaque, les faces de dégénérés des pionniers...), le film s'enrichit progressivement d'autres tonalités - absurde, burlesque, contemplative- pour finir complètement hébété. Multipliant les registres sans quitter l'épure du rythme, Jarmusch fait insensiblement basculer son film du réalisme vers le mythologique. Le long prégénérique qui impose avec insistance au spectateur le rythme de la locomotive n'est pas un maniérisme mais le passage obligé pour pénétrer dans le film, s'habituer à son pouls de plus en plus lent, ample et organique. C'est par ce tempo et par l'étrange consistance qu'il confère aux images de la nature que Dead man peut évoquer par moments La forêt interdite de Nicholas Ray ou La Nuit du chasseur. Western par nécessité plus que par choix, Dead man, film merveilleux, n'a rien du revival ou du pastiche. Le génie y est simplement le lieu propice à ce voyage à rebours qui n'est ni pessimiste ni mortifère - on rit beaucoup en le voyant - mais l'aspiration à un ailleurs où les inadaptés pourraient trouver asile. Ainsi, Dead man éclaire a posteriori l'œuvre antérieure de Jarmusch et fournit une explication de la tristesse de ses personnages : ils voulaient être indiens. " (Lire l'intégralité de l'article sur les Inrocks , ici.) " Faiseur d’intrigues lilliputiennes, négligent les plus élémentaires règles de syntaxe, Jim Jarmusch ne se résout à empoigner la caméra qu’une fois toutes les pièces du puzzle réunies. Ses longs métrages, imprégnés de prose désenchantée, ne se soucient guère de la cohérence d’une histoire ou de la rigueur des jointures. Dead Man mûrit lentement, à partir de notes de voyage, de visions sépulcrales, et conserve ce caractère flottant, indécis. ... Jarmusch fait primer l’atome sur le noyau dur. Aux déferlements de la raison, il préfère les intermittences et les dérives. Les césures narratives sont autant d’enjambements et de respirations limpides, à la manière d’un quatrain ou d’une élégie. Récréations simultanées, flash-backs contradictoires, ressassements des mêmes situations: Jarmusch distord le temps en imposant un montage musical et incisif. Neil Young compose instinctivement la bande originale de Dead Man. " (Lire l'intégralité du portrait de Jim Jarmush sur Film Culte , ici.)
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| | | ismael Australopithecus
Nombre de messages : 62 Date d'inscription : 08/12/2007
| Sujet: Re: WESTERN : Multiplicité d’un genre (Cycle mars de CINEFILS EL Hamra – Présentation & Programmation) 25/3/2008, 11:51 | |
| Projection de ce soir mardi 25 : (C.M.) Le pâtre des étoiles de Slim Benchikh / DEAD MAN de Jim JARMUSCH EN CLÔTURE DE NOTRE CYCLE WESTERN : MULTIPLICITÉS D'UN GENRE, ORGANISE EN COLLABORATION AVEC L' A. T. P. C. C. PROJECTION DÉBAT LE MARDI 25 MARS A 18H30 DE DEAD MAN DE JIM JARMUSCH (1995 - États-Unis - 1h45) AVEC JOHNNY DEPP, ROBERT MITCHUM, IGGY POP, JOHN HURT, LANCE HENRIKSEN... Musique de Neil Young LE DÉBAT SERA ANIME PAR SLIM BENCHIKH (SPÉCIALISTE DES GENRES AU CINÉMA) LE LONG MÉTRAGE SERA PRÉCÉDÉ PAR UN COURT MÉTRAGE TUNISIEN LE PÂTRE DES ÉTOILES DE MOURAD BENCHIKH (2004 - Tunisie - 20min) Compétition officielle Court-métrage J.C.C. 2004 UN DÉBAT SE FERA AUSSI SUR LE COURT EN PRÉSENCE DE SON RÉALISATEUR Prochaine projection EVENEMENT Jeudi 27 mars à 18h30 (C.M.) La falaise de Faouzi BENSAIDI MILLE MOIS de Faouzi BENSAIDI Projection débat en présence du réalisateur « Entre sécheresse attentive des plans et bouffées de fantaisie froide (...), le film distille une sorte de néoréalisme gris et trouve dans le ballet de gestes simples et anodins la matière d'une féerie morne et désenchantée. » Vincent Malausa - Cahiers du Cinéma
« Mille mois s'offre au public comme une ode au cinéma pur. Le plan chez Bensaïdi est éminemment l'illustration du temps par le mouvement dans l'espace, une maîtrise de la lumière et de la mise en scène excluant par cette astreinte toute narration pléonastique. » Mériam Azizi - AfriCiné
Prochaine projection CYCLE Mardi 1er avril 08 à 18h30 FILMS EXPERIMENTAUX ET VIDEOS D’ART Des années vingt à nos jours : DUCHAMPS, LEGER, PAIK, BRAKHAGE… 2h | |
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| Sujet: Re: WESTERN : Multiplicité d’un genre (Cycle mars de CINEFILS EL Hamra – Présentation & Programmation) | |
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