En marge du changement du changement.... c'est rimbaldien :p

Je crois savoir ou se cache un de nos proches...alternaute

Citation :

La Presse Tribunes
Allocution du Chef de l’Etat à l’ouverture, vendredi, du Conseil des ministres
Le discours de la méthode
Par Pr Mohamed ZINELABIDINE (sociologue, universitaire)
Le discours présidentiel du 22 janvier 2010 illumine les temps, conjugue l’œuvre politique à sa pérennité et son ingéniosité. Largement ancré dans l’attente d’une Tunisie singulière, ce discours est avant-gardiste.
Il ouvre en même temps de nouvelles voies et répond à de réelles attentes. Comment ne pas en être saisi, ravi et rassuré lorsque c’est le Président Ben Ali lui-même qui s’y engage et s’y emploie? Comment ne pas en être fier et enthousiaste quand le ton solennel, courtois et ferme du Président — au-delà des contextes – déploie la grandeur de ce sauveur de la nation, ce montreur de conduite et éclaireur des chemins difficiles. Sans conteste, c’est cette image à laquelle tiennent les Tunisiens, celle de voir leur Président à l’acte et à la directive, comme de toujours. Les Tunisiens tiennent à cette psychologie implicative et monstrative du Président, l’intensité du regard de ce Président dont la force et la portée continuent à galvaniser la motivation du peuple et à stigmatiser sa réaction. C’est ce Président dont les Tunisiens associent l’action et la réussite à l’aspiration et l’inspiration militantes et édifiantes depuis qu’il a sorti le pays du bourbier des années 1987, reconstruit son avenir les années 1990 et projeté son mérite les années 2000. Nous avions besoin de ce discours, de cette présence et de ce chef pour y croire encore, toujours et davantage. Ce discours vient donc à pic pour accompagner d’autorité et de bonne volonté l’étape à construire. Si 1987 a été un contexte de frayeur et d’inquiétude, 2010 est autrement un jalon de consolidation et de marche inéluctable pour le développement et le progrès durables pour tous. S’il y a lieu de souligner la fermeté du discours, on ne reste pas insensible à sa grande ouverture et à sa générosité. Tout ce qu’il faut pour œuvrer à hisser le pays au peloton des pays les plus avancés. Comment manquer, dans ce contexte, les renvois emblématiques et conceptuels de ce discours? Le Président Ben Ali a fait de son discours une lettre cartésienne, clarté et rationalité l’impriment. Il rappelle aux ministres que la politique est un devoir rendu à la Nation, une obligation à laquelle le ministre en tant qu’homme ou femme politique se doit de suivi et de réalisation inlassables dans le cadre des objectifs voulus et tracés par le Président de la République à échelle quinquennale. Son discours est aussi rousseauiste, il définit les règles du contrat social entre politiques et citoyens où le droit est vecteur et moteur de toute entreprise civique, sens et substance de tout projet politique. Un Etat de droit acheminé pour et par le citoyen qui en réclame les droits et en assume les devoirs.Le discours du Président Ben Ali est spinozien, il insiste sur les droits de l’Homme, la liberté d’opinion, le pluralisme, le volontarisme et la responsabilité individuelle et collective. C’est en même temps un discours wébérien dans le sens où la communication est le maître mot d’une société qui construit ses ponts, ses reliquats et ses interactions selon les modes de partage et l’ interdépendance culturelle et communautaire. C’est un discours volontariste et initiatique qui exhorte à une plus grande marge d’initiative de la part du décideur, du médiateur et du citoyen afin de maintenir constamment l’écoute des préoccupations et les difficultés, d’où l’efficience du bureau des relations avec les citoyens qui sera rattaché directement au ministre, selon tutelle et secteur. Il a aussi rappelé le rôle du Premier ministre, comme coordinateur de l’ensemble des départements et facilitateur de travail entre opérateurs au sein du gouvernement dans le dessein de réaliser au mieux les objectifs promus, de même qu’il s’agit de raffermir les liens entre ministre et secrétaire d’Etat et éviter de sombrer dans les questions de rivalité et de leadership inconcevables et intolérables au regard du respect de la hiérarchie qui doit prévaloir dans les départements ministériels. C’est que le Président de la République entend circonscrire les marges de déraillement et de prise de pouvoir douteuse afin d’éviter l’amalgame des prérogatives et les dysfonctionnements d’instances. Il veille ainsi à ce que chaque responsable conduise son action dans le respect de la hiérarchie attribuée au gouvernement, au Premier ministre, aux ministres et aux secrétaires d’Etat, chacun dans son rôle, tous ensemble pour mettre en exergue le programme présidentiel de l’étape en cours. Stéfan Zweig a eu cette citation conditionnelle: «Les miracles ne se produisent que dans l’âme de celui qui les attend». Le Président Ben Ali nous rappelle toujours qu’il est de notre droit de rêver, de prospérer et de croiser les miracles. Il y ajoute qu’il y a une méthode à cela et que toute réussite est aussi prise de responsabilité et conscience des impératifs de la conjoncture mutante. Il interpelle ainsi le devoir de chacun à réaliser et se réaliser, au-delà des confusions d’attribution ou des précautions excessives et préjudiciables.

M.Z.

PS. MZ je te tiens de la-bas

qu il est beau et doté d un grand génie notre grand président ....................

lool mr margo .... ton hypothése est subtile mais pas assez parcimonieuse et à côté de la plaque surtout .

M.Z

chidd-min-ghadi a écrit:

lool mr margo .... ton hypothése est subtile mais pas assez parcimonieuse et à côté de la plaque surtout .

M.Z

SS rancune c'etait une note d'humour...

Tu m'rassures.

ama ce M.Z c'est un vrai cireur de pompes.Faire 5ans d'études sociologiques pour en arriver là...c'est rimbaldien dans le sens où il a fait don de son "derriére" .

En tout cas la ressemblance est frappante!

Bref vu que personne ne commente cet article... édifiant... permettez moi cette maxime:

"Il n'y a pas plus dangereux qu'un ignorant lettré."

Que veux-tu commenter? cirage de pompe sous forme de masturbation intellectuelle indigeste, voyage dans l'absurde...

Mal écrit surtout. Fourre tout.
On va à la recherche du klem s3ib, la surcharge des phrases, un peu comme les mercedes auquelles on colle des adhésifs ou les maisons où 5 styles différents se disputent avec du glin glin à l'intérieur, des dorures.
On voit qu'il réfléchi en arabe et écrit en français.
Il fait illusion devant de parfaits ignorants mais c'est une honte à lire.
Bravo à l'université qui donne des diplômes et de la supposée autorité à ces ignorants.
Très difficile de les déloger alors qu'ils sont bardés de diplômes.