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| [MONDE] Attentats en série | |
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Phidias Homo Pacificus
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| Sujet: [MONDE] Attentats en série 28/7/2008, 23:05 | |
| Attentats en série envoyé par lemondefr
IRAK, INDE, TURQUIE, plus d'une centaines de civils ont péris, plus de 200 blessés, par une série d'attentats ces dernières 48 heures. Quatre attentats-suicides ensanglantent l'Irak => 55 morts - Citation :
- LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 28.07.08 | 10h11 • Mis à jour le 28.07.08 | 16h32
AP/ADIL AL-KHAZALI
Trois femmes kamikazes ont fait exploser des bombes sur l'itinéraire du pèlerinage chiite de Kazimiya, lundi matin 28 juillet, faisant au moins 25 morts et 70 blessés.
Au moins 55 personnes ont péri, lundi 28 juillet, dans une série d'attentats qui ont frappé l'Irak. Au moins 28 personnes ont été tuées et 92 autres blessées, dans trois attentats-suicides à Bagdad. Apparemment commis par trois femmes kamikazes, ils n'ont pas été revendiqués. Mais la mouvance islamiste Al-Qaida recrute de plus en plus souvent des femmes pour perpétrer des attentats-suicides, car elles échappent plus facilement aux contrôles de sécurité que les hommes.
Ces attentats visaient des groupes de fidèles chiites qui se dirigeaient vers le sanctuaire de Kazimiya, situé dans le nord de la ville, où un million de personnes sont attendues jusqu'à mardi pour commémorer la mort de l'imam Moussa Al-Kazim. Les explosions ont eu lieu à proximité du quartier de Karrada, dans le centre de la capitale, qui se situe sur l'itinéraire emprunté par une grande partie des pèlerins pour se rendre au sanctuaire. Dimanche, dans le sud de la capitale, des inconnus avaient déjà tiré sur des fidèles qui se rendaient à pied au mausolée, tuant sept d'entre eux.
ATTENTAT À KIRKOUK Les pèlerins chiites ont fréquemment été la cible d'Al-Qaida, organisation à dominante sunnite, mais les derniers rassemblements religieux se sont déroulés sans effusion de sang, profitant de la diminution des violences dans l'ensemble du pays. En 2005, le pèlerinage de Kazimiya avait été marqué par une gigantesque bousculade sur un pont menant au sanctuaire provoquée par la rumeur d'un attentat. Près d'un millier de fidèles avaient péri. Le pont, depuis resté fermé, devrait rouvrir après le pèlerinage de cette année.
Peu après les attentats de Bagdad, onze personnes ont été tuées et 54 autres blessées lorsqu'un kamikaze a déclenché sa ceinture d'explosifs au milieu d'une manifestation à Kirkourk, dans le nord du pays. Une séquence filmée par la télévision kurde montre des milliers de Kurdes manifestant contre la réforme des élections provinciales, puis un mouvement de panique après une explosion. Alors que les Kurdes ont aujourd'hui consolidé leur pouvoir au sein du nouvel Irak, ils exigent le rattachement de la ville à leur région autonome située à une cinquantaine de kilomètres plus au nord.
L'explosion a été suivie d'un mouvement de panique de la foule, au cours duquel des coups de feu ont été tirés, faisant 16 morts et 72 blessés supplémentaires, selon Mohamed Al-Barazenchi, de la police de Kirkouk. Le bilan, toujours provisoire, atteint 27 morts et 126 blessés.
L'Inde frappée par deux séries d'attentats meurtriers => 49 morts - Spoiler:
LE MONDE | 28.07.08 | 14h31 • Mis à jour le 28.07.08 | 14h31 NEW DELHI CORRESPONDANCE
Samedi soir 26 juillet, une série de 17 explosions a tué 49 personnes et fait au moins 160 blessés en l'espace d'une heure et demie à Ahmedabad, la sixième plus grande ville indienne, située dans l'ouest du pays. Les bombes, remplies de boulons et d'écrous, visaient des marchés et des hôpitaux dans dix quartiers de la ville où cohabitent hindous et musulmans. Certaines étaient placées dans de petites boîtes métalliques ou dans des sacs posés à l'arrière de bicyclettes.
Les mesures de sécurité venaient pourtant d'être renforcées, vingt-quatre heures après l'explosion de huit autres bombes à Bangalore, capitale informatique de l'Inde, qui ont tué deux personnes et fait une douzaine de blessés. D'après les premiers éléments de l'enquête, les modes opératoires étaient identiques. Dimanche 28 juillet, la police a affirmé avoir désactivé deux bombes dans une voiture à Surat, au sud d'Ahmedabad.
Quelques minutes avant les explosions survenues à Ahmedabad, une organisation dénommée Les Moudjahidins indiens a revendiqué les attentats en transmettant, par voie électronique, aux médias indiens un manifeste de 14 pages intitulé "La Montée du Djihad". Les auteurs du texte y affirment vouloir venger les violences "antimusulmanes" qui ont ensanglanté le Gujarat en 2002. Dans cet Etat de l'ouest de l'Inde, des émeutes avaient été déclenchées juste après la mort de 40 pèlerins hindous, brûlés vifs dans un train à 200 kilomètres d'Ahmedabad. En deux semaines, 2 000 personnes, dont une majorité de musulmans, avaient été tuées.
APPEL AU CALME Samedi soir, deux des bombes ont explosé dans la circonscription du ministre en chef du Gujarat, Narendra Modi, critiqué pour avoir encouragé les pogroms antimusulmans en 2002. Une autre explosion a eu lieu sur un pont qui avait été le théâtre de violents affrontements. Les autorités craignent de nouveaux heurts entre hindous et musulmans dans une ville encore fragilisée par les tensions communautaires. L'armée a été déployée dans les quartiers sensibles. Le premier ministre indien, Manmohan Singh, a condamné les attentats et appelé la population au calme.
Le groupe des Moudjahidins indiens est connu pour avoir revendiqué une série d'attentats qui ont fait 61 morts à Jaipur, la capitale du Rajasthan, en mai 2008. Il regrouperait, au sein d'une alliance disparate, les groupes islamistes du Harkat-ul-Jihad-al-Islami (HUJI) et du Lashkar-i-Taiba, liés à Al-Qaida. Le premier opère à partir du Bangladesh, le second à partir du Pakistan.
Le Mouvement indien des étudiants islamiques (SIMI), banni du territoire indien en 2001 après avoir fait allégeance à Al-Qaida, fait aussi partie du groupe des Moudjahidins indiens. Des camps d'entraînement du SIMI ont été découverts pour la première fois, en 2007, dans le sud de l'Inde. "Ils utilisent pour l'instant des bombes de faible intensité, sans doute pour expérimenter et tester les capacités de leurs hommes. Ils ont réussi à Bangalore et à Ahmedabad. La prochaine fois, ils pourraient utiliser des explosifs plus sophistiqués", estime un fonctionnaire des services de renseignement.
L'opposition accuse le gouvernement de laxisme après les 11 attentats qui ont fait quelque 550 morts en moins de trois ans en Inde. Lal Krishna Advani, leader du parti nationaliste hindou Bharatiya Janata Party (BJP) a dénoncé l'absence de lois antiterroristes et la "faiblesse des services de renseignement indiens". Ces derniers pâtissent en effet d'un manque de coordination avec les services de police des Etats, indépendants du pouvoir central.
A moins d'un an des élections législatives, les attentats meurtriers de Bangalore et d'Ahmedabad risquent d'affaiblir la coalition au pouvoir. Le gouvernement qui a obtenu à l'arraché, mardi, un vote de confiance au Parlement, est déjà fragilisé par la mauvaise conjoncture économique, notamment une inflation record.
Julien Bouissou
TURQUIE : 17 personnes tuées suite à deux explosions à Istanbul - Spoiler:
Lundi 28 juillet 2008
Une double explosion a frappé un quartier commerçant d'Istanbul faisant au moins 17 morts. Le gouverneur d'Istanbul parle d'"attaque terroriste". Selon une chaîne de télévision, la police privilégie la piste des rebelles kurdes du PKK. Lundi 28 juillet 2008 Par Reuters (texte) / Marion Gaudin (vidéo) ISTANBUL, 28 juillet (Reuters) - Deux bombes ont explosé dimanche soir à Istanbul, faisant 17 morts selon un dernier bilan, et exacerbant les tensions quelques heures avant le début des délibérations de la Cour Constitutionnelle turque sur le sort de l'AKP. Selon l'agence anatolienne de presse qui cite des responsables, le bilan du double attentat qui a frappé un quartier animé de la plus grande ville de Turquie s'est alourdi lundi à 17 morts, après qu'une personne eut succombé dans la nuit à ses blessures. Plus de 150 personnes ont également été blessées, selon les autorités. Au lendemain des attentats, 50 sont toujours hospitalisées, dont six dans un état grave. Le Premier ministre Tayyip Erdogan a annulé sa réunion hebdomadaire avec les membres du gouvernement pour se rendre sur le lieux des attentats, a déclaré à Reuters un responsable du gouvernement. "Nous combattons le terrorisme depuis 30 ou 35 ans. Ce combat ne s'achèvera que lorsque nous l'aurons remporté", a déclaré le chef du gouvernement aux habitants du quartier. "Aujourd'hui est un jour d'unité", a-t-il ajouté. Ces attaques sont survenues dans un contexte politique tendu, à la veille d'une audience potentiellement décisive pour l'avenir politique de l'AKP, le parti islamiste modéré au pouvoir. La Cour constitutionnelle a commencé à délibérer sur une demande de dissolution de la formation du président Abdullah Gül et d'Erdogan pour atteinte au principe de laïcité de l'Etat fondé par Kemal Atatürk. "Notre problème n'est pas que l'AKP soit dissous ou non. Notre problème, en cet instant, est de préserver l'unité de notre pays pour l'emmener dans une nouvelle direction", a ajouté Erdogan à Istanbul.
PAS DE REVENDICATION "Les attentats qui ont eu lieu dans une rue bondée à une heure d'affluence et sans distinction entre hommes et femmes, jeunes, vieux et enfants, ont montré encore une fois le visage sanglant, la cruauté et le désespoir du terrorisme", déclare de son côté le chef d'état-major de l'armée turque, le général Yasar Buyukanit, dans un communiqué. "J'ai l'espoir que les auteurs de cet attentat inhumain seront arrêtés et présentés devant la justice", ajoute-t-il. La zone piétonne où ont eu lieu les explosions était toujours bouclée et la police ne laissait passer que les commerçants du quartier. "Nous connaissons les assassins", affirmait lundi le quotidien Sabah qui a publié en "une" une photo montrant les corps de victimes jonchant la rue piétonne. L'attentat, le plus sanglant dans la ville depuis une vague d'explosions en novembre 2003, n'a pas été revendiqué. Selon la presse, trois personnes ont été interpellées par la police qui suit la piste des rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). Selon les journaux, la guérilla kurde a utilisé par le passé le même explosif que celui employé pour les attentats de dimanche. Le PKK a toutefois condamné le double attentat, rapporte l'agence de presse Firat, proche des séparatistes, sur son site internet.
Les habitants sont sortis dans les rues après une première explosion avant d'être fauchés par un deuxième engin explosif, dissimulé dans une poubelle à une cinquantaine de mètres, dans une rue piétonne où les Stambouliotes ont l'habitude de se réunir en famille pour dîner, boire le thé ou déambuler. Des équipes de la police scientifique passent au crible le lieu des attentats et la police examine les enregistrements des caméras de surveillance situées dans le secteur. Le gouverneur d'Instanbul, Muammer Guler, s'est dit certain de la nature "terroriste" de ces attentats, qu'il a qualifiés de "haineux", mais il a exclu qu'ils aient été le fait de kamikazes. Des mouvements islamistes, des séparatistes kurdes et des activistes d'extrême gauche ont commis des attentats à l'explosif à Istanbul par le passé.
Dernière édition par Phidias le 17/1/2009, 12:10, édité 1 fois | |
| | | Max Maitre du Monde
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| Sujet: Re: [MONDE] Attentats en série 29/7/2008, 10:59 | |
| meme en palestine les Hamas et le Fatah se font la guerre par attentats interposes | |
| | | Phidias Homo Pacificus
Nombre de messages : 5257 Localisation : ... dans le désert Date d'inscription : 04/07/2007
| Sujet: Re: [MONDE] Attentats en série 3/8/2008, 13:04 | |
| La série continue. Un attentat fait près de 20 morts en Somalie. Les victimes sont des femmes qui nettoyaient un quartier... Les suspects sont les opposants islamistes. - Citation :
- Publié le 03/08/2008 à 11:28 Le Point.fr
lepoint.fr (avec agence)
Une vingtaine de personnes, pour la plupart des femmes qui balayaient les rues de Mogadiscio, ont été tuées dimanche par l'explosion d'une bombe. L'explosion s'est produite dans le quartier K4 du sud de Mogadiscio où plusieurs dizaines de femmes étaient employées par des associations locales à nettoyer les rues, laissant des scènes de carnage sur la chaussée. "Elles étaient en train de balayer la rue quand une énorme explosion a secoué tout le quartier. J'ai compté jusqu'à quinze corps, pour la plupart des femmes déchirées en morceaux", a affirmé Hasan Abdi Mohamed, un témoin. Selon ce témoin, une quarantaine de personnes ont été blessées.
"Le nombre de victimes ne cessent de grimper", a assuré un autre témoin, Ali Hasan Adan, alors que des habitants s'efforçaient d'organiser les secours et de transférer les blessés à l'hôpital. "Il y a environ quinze morts pour le moment et un grand nombre de blessés mais je ne sais pas combien", a ajouté ce second témoin. "Il y a du sang partout, des morts, des blessés dans toute la rue", a-t-il ajouté.
"Je n'ai jamais vu un tel carnage, d'après ce que j'ai pu voir, ce sont toutes des femmes qui nettoyaient le quartier", a-t-il poursuivi.
Climat d'insécurité A l'hôpital Medina, le principal de la ville, le docteur Dahir Mohamed Mohamoud a indiqué que 47 blessés avaient été admis, dont cinq étaient décédés de leurs blessures, ce qui porterait le bilan à au moins vingt morts. "C'est le plus grand nombre de victimes civiles que nous recevons en un seul incident depuis plusieurs semaines", a expliqué le médecin en précisant que trois des décédés étaient des femmes.
Aucune revendication n'a été enregistrée, mais ce genre d'attentats est généralement attribué par les autorités aux militants islamistes qui entretiennent un climat d'insécurité depuis qu'ils ont été chassés du pouvoir fin 2006 lors d'une intervention des troupes éthiopiennes venues soutenir le gouvernement de transition somalien. Le quartier où s'est produit l'explosion est d'ailleurs fréquemment le théâtre d'attaques d'insurgés contre les forces éthiopiennes et les soldats somaliens.
Crise politique Le gouvernement somalien avait conclu en juin, sous l'égide de l'ONU, une trêve avec une partie de l'opposition islamiste, dénoncée cette semaine par les insurgés du mouvement des Shebab. Un cessez-le-feu aurait dû intervenir le 9 juillet, pour une période initiale de trois mois, mais l'accord a divisé l'opposition, la frange la plus dure insistant pour que les troupes éthiopiennes quittent le pays avant le début des négociations.
Les combats entre insurgés et troupes éthiopiennes et du gouvernement, quasi quotidiens depuis plusieurs mois, se sont poursuivis dans toute la Somalie, en guerre civile depuis la chute de l'ancien président Mohammed Siad Barre en 1991. Depuis, plus d'une dizaine d'initiatives de paix ont échoué. La crise a pris une tournure politique cette semaine avec la démission annoncée des deux tiers du gouvernement et le limogeage du maire de Mogadiscio par le Premier ministre Nur Hasan Husein. Samedi, dix des quinze ministres du gouvernement de transition ont affirmé vouloir démissionner en raison de l'inaction du gouvernement et d'une "utilisation erronée des ressources de la nation". D'autre part, jeudi, le maire de Mogadiscio Mohamed Omar Habeb, accusé d'abus de pouvoir et de corruption, avait été limogé par le Premier ministre.
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| | | Phidias Homo Pacificus
Nombre de messages : 5257 Localisation : ... dans le désert Date d'inscription : 04/07/2007
| Sujet: Re: [MONDE] Attentats en série 3/8/2008, 13:16 | |
| - Dr Denfer a écrit:
- meme en palestine les Hamas et le Fatah se font la guerre par attentats interposes
Et heureusement qu'Israël et là pour leur porter secours ... Proche-Orient: des dizaines de Palestiniens réfugiés en Israël regagnent Gaza - Spoiler:
Dimanche 3 août 2008 Publié le 03/08/2008 à 09:37 - Modifié le 03/08/2008 à 10:13 AFP Par Jean-Luc RENAUDIE
Plusieurs dizaines de Palestiniens qui avaient fui en Israël les forces du Hamas ont regagné dimanche la bande de Gaza alors que l'Etat hébreu assurait que la trêve conclue en juin avec le mouvement islamiste tenait toujours.
Un premier contingent de 32 membres du Fatah sur les plus de 180 qui avaient trouvé refuge samedi en Israël sont retournés dans la bande de Gaza dimanche matin tandis que les autres devraient en faire autant dans la journée, a indiqué à l'AFP un haut responsable israélien qui a précisé qu'ils avaient reçu des assurances sur leur sort.
Une vingtaine d'autres membres du Fatah blessés durant des affrontements avec le Hamas, qui ont fait samedi neuf morts et des dizaines de blessés, devaient continuer à être soignés dans des établissements israéliens, a poursuivi ce responsable, qui a requis l'anonymat.
Ces violences interpalestiniennes sont les plus meurtrières depuis la prise du pouvoir du mouvement islamiste dans le territoire en juin 2007. Elles ont eu lieu lorsque les forces du Hamas ont voulu arrêter dans le quartier de Choujaïya des membres du clan familial Helis (pro-Fatah), accusés par les islamistes d'être responsables d'un attentat à la bombe le 25 juillet.
Cet attentat commis près d'une plage de Gaza avait coûté la vie à cinq membres des Brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas, et à une fillette de cinq ans. Le Fatah a démenti toute implication. Interrogé sur le sort à Gaza des membres du Fatah qui étaient passés en Israël, le responsable israélien a affirmé à l'AFP que des "assurances sur leur sécurité avaient été fournies par une tierce partie étrangère", une allusion à une intervention en coulisse de l'Egypte.
Pour sa part, le numéro deux du gouvernement israélien Haïm Ramon a souligné à la radio de l'armée que l'aide accordée aux militants du Fatah "ne constituait pas une violation de la trêve" des violences instaurée le 19 juin entre Israël et le Hamas par l'intermédiaire de l'Egypte.
"Nous nous sommes engagés à ne pas lancer d'attaque dans la bande de Gaza, ce qui a été le cas, et en échange le Hamas ne doit pas tirer de roquettes vers le territoire israélien", a poursuivi M. Ramon.
Une porte-parole de l'armée a toutefois indiqué les forces déployées autour de la bande de Gaza avaient reçu ordre de "faire preuve d'une vigilance renforcée" au cas où le Hamas déciderait de reprendre ses tirs de roquettes vers le territoire israélien.
"Notre position de principe est que nous devons collaborer et aider ceux parmi les Palestiniens qui se battent contre l'Islam radical, qui sont opposés au terrorisme et soutiennent les négociations", a ajouté M. Ramon. "C'est pourquoi nous prenons position lorsque ces Palestiniens sont en difficultés", a poursuivi le numéro deux du gouvernement.
Selon la radio militaire, l'ouverture exceptionnelle du point de passage de Nahal Oz pour laisser passer les membres du Fatah a été décidée par le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, personnellement sollicité par le président palestinien Mahmoud Abbas ainsi que des responsables égyptiens. Israël a bouclé la bande Gaza à la suite de la prise de contrôle du territoire par le Hamas, lors d'un coup de force en juin 2007 contre le Fatah de M. Abbas, qui ne contrôle plus aujourd'hui que la Cisjordanie.
Depuis l'attentat du 25 juillet, le Hamas a arrêté plus de 300 personnes, pour la plupart membres du Fatah, dans la bande de Gaza. Le Fatah a également lancé une vague d'arrestations de membres du mouvement islamiste en Cisjordanie.
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| | | tun-68 Homo Habilis
Nombre de messages : 175 Date d'inscription : 04/05/2008
| Sujet: Re: [MONDE] Attentats en série 3/8/2008, 17:36 | |
| - Phidias a écrit:
- Dr Denfer a écrit:
- meme en palestine les Hamas et le Fatah se font la guerre par attentats interposes
Et heureusement qu'Israël et là pour leur porter secours ...
Proche-Orient: des dizaines de Palestiniens réfugiés en Israël regagnent Gaza
c'est limite comme point de vu. | |
| | | Phidias Homo Pacificus
Nombre de messages : 5257 Localisation : ... dans le désert Date d'inscription : 04/07/2007
| Sujet: Re: [MONDE] Attentats en série 4/8/2008, 02:19 | |
| - tun-68 a écrit:
- Phidias a écrit:
- Dr Denfer a écrit:
- meme en palestine les Hamas et le Fatah se font la guerre par attentats interposes
Et heureusement qu'Israël et là pour leur porter secours ...
Proche-Orient: des dizaines de Palestiniens réfugiés en Israël regagnent Gaza
c'est limite comme point de vu. La terreur qu'exerce les islamistes du Hamas et les non moins violents partisans du Fatah sur eux-mêmes et leurs compatriotes palestiniens ne peut être niée. - Spoiler:
Rafles et brutale répression du Fatah par les islamistes du Hamas à Gaza LE MONDE | 02.08.08 | 13h22 • Mis à jour le 03.08.08 | 09h50
Les miliciens islamistes ont sonné à l'interphone de Moussa Abdel-Rahman, un résident du centre-ville de Gaza, vers deux heures du matin. C'était dans la nuit du samedi 26 au dimanche 27 juillet, vingt-quatre heures après la mort de cinq militants du Hamas et d'une fillette dans l'explosion d'une bombe plantée en bordure du front de mer. Une attaque attribuée sans la moindre preuve aux "putschistes de Ramallah", une allusion au clan du président palestinien Mahmoud Abbas.
"Descend, on veut te poser des questions", a intimé une voix peu amène. Employé de l'Autorité palestinienne, âgé d'une trentaine d'années, Moussa Abdel-Rahman ne fait pas partie du Fatah, dont plus d'une centaine de militants avaient ce soir-là déjà été raflés par les policiers du Hamas. Toutefois, par prudence, il demande à son oncle, sympathisant islamiste, de le rejoindre en bas de l'immeuble. En descendant les escaliers, il remarque à une porte enfoncée qu'un autre locataire, un ancien de la garde présidentielle, a reçu une visite nocturne.
"Ils étaient deux, cagoulés et armés, raconte Moussa Abdel-Rahman. Ils m'ont demandé les clés de ma voiture, en prétextant qu'elle appartenait à l'Autorité palestinienne. J'ai répondu que c'était un véhicule privé. Mon oncle s'est porté garant de ma bonne foi. Ils ont fait demi-tour en me demandant d'apporter les papiers le lendemain."
Deux jours plus tard, les mêmes miliciens retournent chez la famille Abdel-Rahman. Ils confisquent la clé du club de jeunes que dirige le père de Moussa et lui interdisent de le rouvrir. "Les agissements du Hamas sont incroyables, dit Moussa. Ils sont en train d'imposer leur pouvoir à toute la bande de Gaza. Ils veulent créer leur propre Etat et se débarrasser de l'OLP" (Organisation de libération de la Palestine).
L'ampleur de la répression qui s'est abattue sur la bande côtière palestinienne est sans équivalent depuis la prise de pouvoir du Hamas en juin 2007. En une semaine, près de 300 militants du Fatah ont été jetés dans les geôles du Hamas. Vendredi 1er août, les deux plus hauts dirigeants locaux du Fatah, Ibrahim Abu Najja et Zakariya Al-Agha, ont également été arrêtés.
APPÉTIT DE POUVOIR D'après le Centre palestinien pour les droits de l'homme, plus de cent cinquante institutions et associations, dont certaines n'ont aucun lien avec le Fatah, ont été fermées de force. "Ils ont même confisqué les repas d'un camp d'été géré par l'Unrwa", l'agence des Nations unies en charge des réfugiés, soupire Jaber Wisha, le sous-directeur du Centre pour les droits de l'homme.
Fayçal Abou Shakhla, un député du Fatah, renchérit : "Dans mon bureau, ils ont pillé jusqu'aux tasses à café. La férocité de leur répression est inexplicable. A moins de considérer que le Hamas veut empêcher la reprise du dialogue avec le Fatah pour construire à Gaza son propre émirat."
Une rumeur insistante dans les rues de Gaza évoque aussi un autre scénario : la chasse aux militants du Fatah aurait pour but de dissimuler des divisions au sein de la branche armée du Hamas, d'une profondeur telle qu'elles auraient abouti à l'attaque de vendredi. "Khalil Al-Haya (un responsable du mouvement islamiste), qui a perdu un neveu et dont le frère a aussi été blessé dans l'explosion, n'a pas prononcé l'oraison funèbre des victimes, avance un bon connaisseur de la nébuleuse Hamas, qui tient à conserver l'anonymat. Le premier ministre Ismaïl Haniyeh est resté muet pendant plusieurs jours. Pourquoi ?"
Dans la cour ombragée de son domicile, Khalil Abou Leïla, un dirigeant du Hamas, oppose un sourire dédaigneux à ces accusations. Il commence par évoquer le harcèlement que subissent en Cisjordanie ses "frères" islamistes, fréquemment arrêtés et parfois torturés par les services de sécurité de l'Autorité palestinienne.
En représailles aux rafles de Gaza, une centaine de ces militants ont été emprisonnés avant que le président Mahmoud Abbas n'annonce leur libération, jeudi 31 juillet. L'idée que le Hamas succombe exactement aux mêmes dérives ne l'effleure pas. "Nous avons besoin de vérifier que tous les lieux que nous avons fermés n'abritent pas des activités subversives", dit-il. Quant à l'implication du Fatah dans l'attentat, il n'en doute pas. "Son but est le même que celui d'Israël : détruire la résistance."
Auprès des partis de gauche, étrangers à la vendetta Hamas-Fatah et de plus en plus inquiets de l'appétit de pouvoir des "meshayekh" (barbus), ce discours ne passe plus. "En juin 2007, le Hamas s'est emparé des places militaires, dit Rabah Mohanna, un responsable du FPLP (Front populaire de libération de la Palestine). Aujourd'hui, il met la main sur la société civile. Le jour où ils négocieront avec le Fatah, ils seront en position de force."
Benjamin Barthe
Et dans ce contexte de guerre civile, de guerre tribale, c'est bien "l'ennemi" Israël qui sert de recours de survie ... - Spoiler:
Israël autorise un clan proche du Fatah à fuir les attaques du Hamas LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 03.08.08 | 09h23 • Mis à jour le 03.08.08 | 14h24
Alors que les combats entre le Fatah et le Hamas redoublent d'intensité, les autorités israéliennes avaient autorisé, samedi, plus de 180 Palestiniens proches du Fatah à fuir la bande de Gaza et passer en Israël, selon un porte-parole de l'armée. Dimanche, une trentaine de ces Palestiniens, membres du clan familial Helis, lié au Fatah, ont été renvoyés vers la bande de Gaza. Les autres devraient en faire autant dans la journée, a indiqué un haut responsable israélien cité par l'AFP, précisant qu'ils avaient reçu des assurances sur leur sort.
La décision d'ouvrir le point de passage de Nahal Oz pour laisser passer les Palestiniens, "un geste humanitaire" selon l'armée israélienne, a été prise par le ministre de la défense israélien, Ehoud Barak, sur une demande directe du président palestinien Mahmoud Abbas et de responsables égyptiens. Haïm Ramon, vice-premier ministre israélien, avait justifié cette décision en déclarant que "la position de principe" du gouvernement israélien "est d'aider ceux parmi les Palestiniens qui se battent contre l'Islam radical, qui sont opposés au terrorisme et soutiennent les négociations". "C'est pourquoi nous prenons position lorsque ces Palestiniens sont en difficultés et demandent à passer à Ramallah [en Cisjordanie] d'où ils vont participer à la lutte contre le Hamas", avait ajouté Haïm Ramon, assurant que la trêve conclue avec le Hamas est toujours en vigueure. AFFRONTEMENTS MEURTRIERS Il semble que la décision de renvoyer ces mêmes Palestiniens à Gaza soit le fait de Mahmoud Abbas lui-même, selon des responsables israéliens citées par l'Associated Press et l'AFP. Un porte-parole du Hamas a annoncé que les hommes ont été arrêtés dès leur sortie du territoire israélien. Ceux qui ne se sont pas livrés "à des actes criminels" seront relâchés, a-t-il précise.
Neuf personnes, trois membres des services de sécurité du Hamas et six partisans du Fatah, ont été tuées et plus de 90 autres blessés à Gaza samedi, après une escalade qui aura duré une dizaine de jours. Les nouveaux troubles, les plus meurtriers entre les deux factions depuis que le mouvement islamiste a pris le contrôle du territoire, en juin 2007, ont débuté quand le Hamas a accusé le clan Helis d'être à l'origine d'un attentat à la bombe qui a coûté la vie à cinq militants du Hamas et une fillette de cinq ans, le 25 juillet.
Malgré les démentis du Fatah, l'incident a jeté le feu aux poudres dans la ville de Gaza. Samedi, la tension est encore monté d'un cran quand le Hamas a accusé le Fatah d'avoir enlevé à Naplouse, en Cisjordanie, Mohammad Ghazal, un de ses dirigeants politiques. Ce dernier a ensuite été relâché, a déclaré sa famille. Pour le ministère de l'intérieur du Hamas, l'implication du Fatah et du clan Helis dans l'attentat ne fait aucun doute. "La famille Helis est devenue une force militaire et ses membres ont attaqué, enlevé et même tué des gens. Il faut mettre un terme à ces attaques contre des citoyens innocents", a affirmé un de ses porte-paroles. Depuis le 25 juillet, le Hamas a arrêté plus de 300 personnes, pour la plupart membres du Fatah, dans la bande de Gaza. Parallèlement, le Fatah a lancé une vague d'arrestations de membres du mouvement islamiste en Cisjordanie.
http://www.lemonde.fr/web/video/0,47-0@2-3218,54-1078871@51-1077970,0.html | |
| | | Max Maitre du Monde
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| Sujet: Yémen: 16 morts dans un attentat contre l'ambassade américaine, al-Qaïda soupçonnée 18/9/2008, 09:50 | |
| - Citation :
- Yémen: 16 morts dans un attentat contre l'ambassade américaine, al-Qaïda soupçonnée
AFP AFP - Mercredi 17 septembre, 19h34
SANAA (AFP) - L'ambassade des Etats-Unis au Yémen, qui avait déjà échappé cette année à une attaque d'Al-Qaïda, a été la cible mercredi d'un attentat mené à l'aide de deux voitures piégées qui a fait au moins 10 morts, en plus des six assaillants, selon une source officielle. (Publicité)
Selon le ministère de l'Intérieur, six soldats et quatre civils, dont une ressortissante indienne, ont péri dans cette attaque, l'une des plus sanglantes de l'histoire du Yémen.
Un mystérieux groupe se présentant sous le nom de "Jihad islamique au Yémen" a revendiqué l'attentat dans un communiqué parvenu à l'AFP, mais dont l'authenticité ne pouvait être établie.
Il a aussi menacé de prendre pour cible les chancelleries de Grande-Bretagne, d'Arabie saoudite et des Emirats arabes unis à Sanaa.
Selon un communiqué de l'ambassade, des membres des forces de sécurité yéménites et "plusieurs citoyens yéménites qui attendaient d'entrer dans l'ambassade" ont été blessés.
Le président américain, George W. Bush, a vu dans l'attentat un rappel que son pays est "en guerre contre les extrémistes", et a assuré que ces derniers ne viendraient pas à bout de la détermination américaine.
"Cet attentat porte toutes les marques d'un attentat d'al-Qaïda", a déclaré le porte-parole du département d'Etat américain, Sean McCormack.
Selon le ministère de l'Intérieur du Yémen, deux voitures piégées ont été utilisées dans l'attentat. Elles ont "tenté de forcer le cordon de sécurité de l'ambassade des Etats-Unis, mais les gardes de sécurité ont réussi à (provoquer) leur explosion loin du bâtiment, provoquant la mort des six assaillants, dont un portant une ceinture d'explosifs", a déclaré un responsable du ministère, cité par l'agence officielle Sana.
Le bâtiment abritant la chancellerie est situé à environ 150 m de l'entrée du complexe et de la route.
L'explosion a été d'une telle violence que des morceaux de chair sont retombés à une centaine de mètres de là, selon des résidents.
Selon plusieurs témoins, un kamikaze a fait exploser un véhicule à l'entrée du complexe, provoquant un incendie. Juste avant, une fusillade nourrie entre des hommes armés à bord d'un véhicule et les gardes avait duré une vingtaine de minutes.
Les accès à l'ambassade ont été bloqués par les forces de sécurité tandis que les employés étaient cloîtrés dans le complexe situé dans un quartier d'ambassades dans l'est de Sanaa.
Le 18 mars, l'ambassade avait déjà été la cible d'un attentat aux obus de mortier, revendiqué par les "Brigades Jund Al-Yemen" (soldats du Yémen), branche locale du réseau Al-Qaïda.
Ses auteurs avaient manqué leur cible, mais un projectile avait frappé une école pour jeunes filles voisine de l'ambassade, tuant un policier et une élève.
Le "Jihad islamique au Yémen" ne s'était manifesté qu'une fois, pour revendiquer un attentat suicide contre le QG de la police de Sayoun (est), le 25 juillet, qui avait fait un mort et 17 blessés.
Mais l'attentat avait été également revendiqué par Al-Qaïda.
Dans son communiqué, le groupe affirme qu'il compte "poursuivre la série d'explosions selon le plan préétabli et (visant) d'autres ambassades", se référant à un précédent communiqué daté de mardi dans lequel il menaçait de s'attaquer aux ambassades d'Arabie saoudite, de Grande-Bretagne, des Etats-Unis et des Emirats arabes unis si les assaillants blessés le 25 juillet n'étaient pas libérés.
L'attentat de mercredi est le plus meurtrier au Yémen depuis un attentat suicide d'Al-Qaïda à l'aide d'un canot piégé contre le destroyer américain USS Cole, le 12 octobre 2000, dans lequel 17 marins américains étaient morts, en plus de ses deux auteurs.
Le Yémen est un allié important de Washington dans la lutte contre Al-Qaïda. Cet attentat "désespéré" est "une riposte des terroristes aux mesures gouvernementales prises à l'encontre des groupes terroristes", a déclaré le ministre des Affaires étrangères yéménite, Abou Bakr Al-Kourbi, lors d'une rencontre avec les ambassadeurs de l'Union européenne à Sanaa, selon l'agence Saba. | |
| | | El_Manchou Homo Genius
Nombre de messages : 4435 Localisation : Damous el Hajja Emploi : Chasser le 5wenji et la voilée Date d'inscription : 29/07/2007
| Sujet: Re: [MONDE] Attentats en série 18/9/2008, 12:53 | |
| non, arrête, tu es un islamophobe. cette attentat est le fruit de l'axe américano-sioniste et c'est à cause du mossad et des israéliens qui tuent nos frères falestiniens... | |
| | | Max Maitre du Monde
Nombre de messages : 6294 Age : 104 Date d'inscription : 30/06/2007
| Sujet: [Terrorisme] une bombe dans le cul 5/10/2009, 12:38 | |
| Les terroristes islamistes ne sont pas en manque d'inspiration concernant les techniques d'attentats sucide. Cette fois, ca se passe en Arabie Saoudite et le kamikaze voulant faire exploser un prince, a foutu la bombe dans le cul pour la dissimuler et ensuite il s'est fait exploser via un telephone mobile. http://fr.news.yahoo.com/80/20091005/tfr-l-explosif-en-suppositoire-nouvelle-a7ee481.html - Spoiler:
L'explosif en suppositoire, nouvelle arme des islamistes
il y a 1 heure 43 min Le Figaro Jean-Marc Leclerc
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La scène se déroule à 5 000 km de Paris. Le 28 août dernier, Abul Khair, un islamiste recherché, se présente au palais du prince Mohammed bin Nayef, responsable de la lutte antiterroriste en Arabie saoudite et, par ailleurs, fils du ministre de l'Intérieur du royaume. C'est l'heure de la traditionnelle réception organisée pour la rupture du jeûne. L'homme vient se rendre et implorer la clémence du prince, dit-il. Mais à peine le maître des lieux s'approche-t-il que le terroriste manipule un téléphone mobile. Une explosion retentit. Par miracle, Mohammed bin Nayef s'en sort avec quelques égratignures. Son visiteur, quant à lui, est éparpillé dans la pièce en soixante-dix morceaux. Il s'est fait sauter avec sa bombe. Lire la suite l'article
Ce que l'enquête va déterminer par la suite a justifié une note secrète de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), nouveau service antiterroriste français confié au préfet Bernard Squarcini, mais aussi une réunion d'urgence de l'Unité de coordination de la lutte antiterroriste (Uclat), placée auprès du directeur général de la police nationale : Abul Khair n'a pas utilisé un explosif attaché à sa ceinture pour atteindre sa cible, technique classique chez les kamikazes. Il portait sa bombe - et c'est une première, soulignent les analystes du renseignement - à l'intérieur du corps. «Un explosif ingéré en somme, ou plutôt introduit comme un suppositoire. Autant dire indétectable. Le kamikaze n'avait plus qu'à le déclencher grâce à son téléphone mobile que les cerbères du palais n'ont pas eu la présence d'esprit de lui retirer», commente un haut fonctionnaire Place Beauvau.
Dans la note des services antiterroristes transmise il y a quelques jours au ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, les experts de la Place Beauvau alertent sur ce nouveau «mode opératoire» d'al-Qaida. Car cet attentat a été officiellement revendiqué par la branche de l'organisation terroriste dans la péninsule arabe.
C'est la branche sodomite d'al quaida ? Se foutre une bombe dans le cul, ca doit surement faire mal, et je suppose que le mec a du beaucoup d'entrainer avant ... Tu me diras en Arabie Saoudite, il doit y avoir pas mal d'entraineurs. | |
| | | The_Acro_bat Homo Addictus
Nombre de messages : 1437 Localisation : Nulle part ailleurs Emploi : Tire-fesses Date d'inscription : 07/07/2007
| Sujet: Re: [MONDE] Attentats en série 5/10/2009, 12:42 | |
| Faraj Fouda a déjà trouvé un truc pareil dans les livres des wahabites :
من نوقض الوضوء وضع صديقك إصبعه في دُبُرِكَ | |
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