Frodon Sacquet

Limbo

Suis je bête.
excentrique, à la périphérie du temps qui passe, les tristesses qui s'estompent.
Ma main cherche un chemin, mon buste vers l'avant feignant progresser vers un futur.
Ma raison me regarde comme si je devais la prendre par la main cette fois...
Je suis las des fois tu sais. Je n'ai pas les réponses et ma raison sans vouloir me quitter me regarde en spectatrice.
Les tristesses s'estompent, le voyageur s'arrête. Le temps passe.

Quelque part, dans sa solitude, le monde autour on dirait aux aguets guettant son pas de plus vers sa destiné. Je n'ai pas les réponses bon sang! Qu'attendez vous?
J'ai appris à avancer à toucher mon chemin, à quoi à servi mon pas décidé? Qu'ai je fait subir à ce coeur, des soubresauts, des spasmes?

J'ai peut être le temps.

OverDrive a écrit:

et ma raison sans vouloir me quitter me regarde en spectatrice.

parce que quelque chose l'étreint
dans ce récit humain
Elle se dit :
"... Qu'avons-nous fait de nos vies ?"

elli chba3 eyba3ba3 walla el falfsa walidat el 7aja el mochb3a.
Donc vu que c'est un vendredi après midi, fin de semaine et tout

A hurricane in a bottle.

I've always wondered that If I stop and look inside I can find things that are scary. I know there, in the moisture, in the area between mind and guts, where the processes that even if stinky assist life, there's a world.
Here I open the fence so something comes out.
Lucky you or poor you I don't know. There I'm the king and the rules are mine.

So,

I was born in my blood, my name wasn't mine pain made me breath, pain still keeps me moving sometimes. I'm now the master of pain because she has nothing left to teach me.
I was born and I didn't understand either alone nor with. I didn't know with or without.
Pain, hunger which is an other word for pain kept me going.
War is the nearest thing to that era, something that once started keeps you moving while in pain.
I think that If I decide to stop breathing I can endure pain till death, may be it's a delusion.

You took your first breath, you accepted the fight, now call it life or what ever...

I feel the alligator, the fish and the bee. They told me that there's strates in the brain. I feel all of them, and sometimes I lessen to all of them.

I may be obsessed by theses processes, this overwhelming need to take the first breath and keep breathing.

I'm told to come from a place of love but frankly who really knows how it feels "a place of love".

may be the blood I was born in was "a place of love"...

I'm back there, I gather all of them, the alligator, the fish and the bee...

I'm seeing you my friend, how it feels there?

J'utilise l'anglais par pudeur en quelque sorte. J'ai l'impression que j'écris pour moi où que je rend moins accessible ce que j'ai du mal à partager ou afficher.

Donc une nouvelle enfournée de galettes de maïs transgénétiques effet frankenstein garanti

L'arche de la bite perdue.

C'est un tronc, c'est un arbre, que dis je, une péninsule dit Cyrano De Bergerac à quelques détails prêts.

Le monde tourne atour d'une bite, la bite universelle qui rend l'air doux et par sa présence bienveillante, rappelle au monde ce qu'il a à faire. Non vénérer la bite mais garder la bite en tête.

Le futur du monde se dessine dans l'horizon de la bite, omnibondante. Les livres anciens, les nouveaux aussi ne font qu'esquisser le futur orgasmique du monde.

Chacun de son instrument ne fait que chanter les louanges de l'éternel retour ... à la verticale.

Que y'a t'il au delà de la bite se demandaient les philosophes. Leurs quêtes loin d'être futiles servaient à se représenter toutes les facettes de la bite canonique, modèle et avatar de toutes les bites.

Au lendemains qui chantent ... ahhhhhahhahahahah mmmm

Citation :

Au lendemains qui chantent ... ahhhhhahhahahahah mmmm

*mode chaddit rouhi chaddit rouhi lin ma3adech*

nchallah bellotf Hov'

*se met en mode autocoupauculisation*

je vois k'une muse t'habite

BoukhaGold a écrit:

je vois k'une muse t'habite

Bon on peut appeler ça comme ça

Do' > Hov' bi5ayr

ma5mej mo55ek sab3a altaf

Le sablier qui marche au sable.

Façonner du sable, fabriquer des remparts en sable, se remplir la panse de sable et puis attendre la marée. Le sable retourne au sable, après le flux le reflux.

Le dégout du sable.

Le temps s'écoule mais que reste t'il? qu'est ce qui rempli la panse?

Pourquoi le sable?

La faim et le sable.

Plus de sable, pourquoi faire?

La faim est juste mais l'avidité appellerait elle le sable?

J'en ai fait tout un tas je sais .. de sable

tu as le sable ... émouvant

Ma rose rouge

Mon coeur tremble, mes mots s'éparpillent.
J'ai des trous de mémoire.
Je tiens à ma façade mais elle se fissure.
Ma rose a peu de patience.
Ma rose me regarde et regarde à travers moi tous ces autres qui sont passés par là.
Ma rose est belle, ma rose est inquiète, ses épines cachent mal son frétillement.
Je donnerai ma main et mon sang pour tenir ma rose.
Je veux de l'aire et le doux éclat du soleil pour ma rose.
Je l'admire même si elle me garde à distance, même si entre elle et moi persistent les épines du passé et les blessures.
Elle est ma rose, pas que je la possède, mais parce qu'elle est proche de mon coeur, fière et qu'elle me regarde.
Ma douleur passée et la rose.

Sec sec ça gratte !

Beurrer ma tartine,
Un peu de crème hydratante et hop!
Encore sec.

Du yaourt, du chocolat fondu, sans trop de sucre.

De la fraise en confiture.

ça gratte toujours.

J'ai le verbe sec, la phrase dépouillée, le regard qui gratte et décolle des lambeaux.

J'entends le crissement du métal, je sens le goût métal sang.

Tordu de partout mais il reste encore du fil de fer à retordre.

Ton baiser, ma colère, l'humidité de ton baiser qui déglingue tout.

On entend un bruit de ferraille et ma fuite accompagnée d'un bruit de casseroles.

Merde! j'ai attrapé la rouille.

Deux thème ce soir:
d'abord, une volée lyrique, du vent, des éclairs et les dieux, la puissance des éléments.
Puis un truc intimiste, genre la gravure sur un grain de riz, pour montrer la délicatesse et la douceur qui persistent même si j'ai exprimé de l'agressivité par ailleurs.


Moralité on cherche le contraste.

Let's play!

L'aigle a t'il un coeur?

L'aigle a t'il un coeur ou juste des ailes et des sers ?

La mort vient elle d'en haut ou d'en bas?
Elle caresse tes chevilles pour se glisser le long de tes jambes.
Est ce plutôt la piqûre du scorpion qui t'emballe le coeur et te bouffe la cervelle?

D'en haut, comme un froid qui te consume lentement ou une foudre qui t'annihile.

Mon ennemi intime. Nous deux enlacés. Ta mort, ma mort et les dieux spectateurs. Qui de nous désire la délivrance? Qui a perdu le sens et est doucement attiré par le néant? De quoi as tu peur?
Ta vérité et ma vérité cette fois, que la vérité triomphe.

Toi t'as renoncé. T'as marché des nuits entières. T'as accepté d'être un mercenaire. Personne n'est témoin de ton courage ou de tes défaillances. Personne ne se rappelleras ton nom. Une sentinelle de plus. T'es l'instrument du destin.

Que veut ton âme? que cherche notre âme?

Un aigle au loin. Lui de là haut il voit déjà le jour mais nous deux dans cette vallée sombre et cette rencontre voulu par le destin.

Un clin d'oeil.

Aucun regret.

Je ne pouvais pas deviner ce qui allais sortir avant de commencer.
maintenant la deuxième.

Bien sur j'arriverai à écrire la deuxième partie si j'arrive à enlever la chanson de metallica de mes oreilles


Le petit ruisseau et la mouche.
Près du ruisseau un pot de miel.
Le souvenir de ton parfum s'estompe doucement.
L'instant fugace et l'eau qui coule inexorablement.
Elle était là ma princesse. ici sous le ciel, près du ruisseau.
à travers les roseaux mon regard qui alla chercher sa silhouette.
La caresser du regard, le reflet de l'eau, ses cheveux châtains.
Elle me souriais sans me voir.
Tant de beauté, je ne sais qui des deux ses yeux ou la source.
Une source de bonheur et mon coeur est joyeux.

La mouche était utile pour faire abstraction de la chanson que j'écoutais