quelqu'un peut developper?

Citation :

hormones peuvent altérer notre jugement.

entre une secretaire bombasse (decolte genereux, voix agreable et suave, sourire a tomber, cul bien roule, demarche sexy) mais un peu nulle et une autre moche (genre ugly betty) mais tres comptemente ... tes hormones vont te pousser a choisir la super bombe

Certaines filles en période de règles sont très nerveuses et peuvent avoir des réactions exagérées qui frolent la crise d'hystérie et c'est hormonal

j'ai lu ou entendu quelque part qu'on a découvert qu'en état de colère le cerveau secrete une enzyme qui en modifie le fonctionnement au point que les jugement et les décisions en sont altérés

ok j'aurais du specifier : quels sont neurotransmetteurs qui alterent nos jugements

correction :en fait on a constaté que le QI baisse en état de colère.

j'ai pas retrouvé la source alors à prendre avec des pincettes...

Notre cerveau étant une centrale électrique ou la connexion des différents neurones implique des neurotransmetteurs, tout est histoire de biochimie (selon certaines théories).
La schizophrénie par exemple ne serait que le reflet d'un dérèglement du taux de "dopamine", neutransmetteur bien connu, dans certaines structures du cerveau.
La mélancolie est bien traitée par les molécules qui inhibent la recapture de la "sérotonine", autre neuromédiateur. Bon nombre de nos hormones (même l'insuline) jouent un rôle de neuromédiateurs au niveau du cerveau!
En gros, ce serait la faute aux neuromédiateurs

kaaboura>
C'est l'explication biologique, où qui tente d'attribuer à des causes biologiques certains phénomènes.
Je crois plutôt qu'on est entrain de traiter le symptôme ce qui est efficace à un certain degré.
On sait que certains troubles ont des causes biologiques mais ceci n'implique pas que tous les troubles ont des causes biologique. Il nous arrangerait qu'il y'ait des causes biologique car il est plus aisé d'intervenir par la chimie que essayer de sonder les causes psychogènes.
Plus facile d'avaler une pilule que de voir un psy ou autre, en plus la molécule on sait comment qu'elle agit et son effet se reproduit d'un malade à un autre alors que la prise en charge psychologique n'est pas si évidente et les résultats ne sont pas garantie.

En résumé: Il y'a des troubles à cause biologique mais réduire tout à des causes biologique n'est pas évident pour le moment.

En fait je crois que réduire le psyche à un simple modèle biologique qui subit et qui ne produit pas est simpliste. Ces troubles biologiques peuvent certes être (dans bien des cas) la cause d'un désordre psychique ou comportemental mais ils peuvent aussi en être la conséquence: le stress est bel et nien inducteur d'une hypersécretion d'adrénaline mais celle-ci entretient aussi le stress tant qu'elle est présente.
Le processus cognitif qui peut être mis en évidence par des examens d'imagerie, se manifeste par une activité accrue des neurones qui sécrètent des neurotransmetteurs: penser se traduit biochimiquement et comme tout modèle biologique, il subit mais également, il agit!

ça complète mes notions, merci.